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           Dans la peau d'Halima

Après le cours, je rentre à la maison je surprend ma tante et mouctar entrain de discuter.

Mouctar : je ne veux plus aller en prison moi!

Tante : tu n'iras nulle part mon chéri !

Alors comme ça ma tante était au courant aussi.
Je continue de marcher pour rejoindre ma chambre.

Tante : Halima ! Vien ici.

    J'avance vers eux.

Tante : tu me connais n'espas ?  Tu sais qui je suis.. j'ai été ton sauveur, je t'ai accueillis quand tu n'avais plus personne, je t'ai éduquer et nourrit n'espas ?

Halima :( presque en larme) oui!

Tante : bien! Alors tâche de la fermer , sache que si un jour j'apprends ou que mon fils se fasse arrêter à cause de toi ...tu vas me le payer et n'oublie pas que M diaye à déjà envoyé la dot..

Je rentre dans ma chambre et verse presque tout les larmes de mon corps.

Halima : je ne veux pas me marier à cet homme...je ne veux pas !

Mon téléphone sonne et c'est Aïda.

Aïda : Halima ! Tu es à la maison ?

Halima : ...oui Aïda !

Aïda : ok j'arrive !

  No elle ne doit pas venir ici , jamais !

Halima : no! Je veux dire moi j'arrive chez toi d'accord ?

Aïda : d'accord !

  Je prends ma douche, rattrape ma prière et sors .

Nous étions dans sa chambre.

Aïda : Halima ! Tu es vraiment sûr que tu me cache rien ? Tu vas bien ?

Halima :( sourit) bien-sûr ! Qu'est ce que tu racontes.

Aïda : tu sais bien que je suis toujours là pour toi..et qu'on c'était promis de ne rien cacher à l'autre.

Je me suis sentie tellement mal .

Halima : y'a rien Aïda ! T'inquiète pas.

Nous sommes restés un instant.

Halima : ce sont tes tantes là au salon ?

Aïda : oui!

Halima : bon on mange quoi ? J'ai faim!

Aïda ( sourit): allons dans la cuisine.

On sors de la chambre et y'avait Oumar qui était présent au salon.

Tante roughaya : Oumar mon fils , quand est ce que tu comptes te trouver une épouse ?

Oumar : bientôt inchallah !

Tante roughaya : tu sais ! Fatima Ta cousine est maintenant une jolie femme.

Il s'aperçut de notre présence..nos regards se croiserent et je baisse direct la tête.
Pourquoi même ?

Oumar : je ...je n'epouserais que celle que j'aimerais.

On rentre dans la cuisine, Aïda semblait ce perde dans ses pensées....

          
                                  Aïda...

Oumar m'accompagne à l'orphelinat...
Je descends de la voiture et y'avait plein de véhicules garés sur la piste de voiture.

Je voulus me retourner pour rentrer, mais flash était déjà parti..je souffle et rentre.

Ils y avaient des hommes en costume noire qui gardaient à la porte et aux alentours.
Je baisse la tête en tremblant, heureusement les enfants arrosait au jardin je l'es rejoins et ils se jettent tous sur moi en criant.

Eux: Aïda !

Moi : je suis là mes chéris ! Aller maintenant continuons le travail.

On arrose tranquillement.
Plus tard je sentis comme si nous étions observer .
Je relève la tête et vois la directrice, une dame, deux hommes peu âgé et un homme dans la trentaine, il était en jogging militaire et un tee short manche longue de couleur noir qui couvrait une musculature saillant.

Je baisse la tête honteuse d'avoir posé le regard sur cet inconnu en chuchotant des invocations de pardon.

La directrice s'approcha de moi sourire au lèvre.

Directrice : ma chère Aïda !  Je t'attendais justement, vien que je te présente.

J'enlève les gants qui couvraient mes mains, je suit la directrice, la tête baissée.

Elle me présente à la dame et au deux hommes qui semble avoir l'âge de baba , je leur salut respectueusement !

Ensuite nous arrivons au tour de l'homme inconnu !

Directrice : majesté !  Je vous présente Aïda ! Une gentille fidèle à notre ONG.

Je sentis son regard, mais cette fois je ressentis aucune peur .

Directrice : Aïda ! C'est le cheikh de hafsard... cet orphelinat appartenait à son excellence son grand père.

Donc c'est lui le grand cheikh, c'est donc grâce à eux que ces enfants errent pas dans la rue .

Moi : Salam!..votre.. majesté !

Lui : appelé moi Caleb! Aïda ! C'est bien ça ?

  Sans même lever la tête, je lui réponds

Moi : oui!

Directrice : Aïda ma chérie ! On dirait que les enfants n'attendent que toi.. regarde les!

Je me retourne et les voient arrêter à m'attendre , je sourit ..

Je lève la tête et vois le... cheick me regarder   , nos regards se croiserent je ne pût ôter mes yeux du sien , je me perdis dans sa contemplation.

Il est vraiment beau, avec des pupilles comme ceux d'un chat , il avait les cheveux tressés en nattes et cette barbe daignement coiffer.
Il émanait une aura majestueuse et doit faire les 1m 90..

Dieu ! Je reviens à moi c'était la première fois que je me perdais dans la contemplation d'un homme étrangers, même Rashid je n'ai pas oser le regarder de la sorte.

Je pars et rejoint les enfants...

Blessure cachée 🥀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant