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  Je n'arrive pas à dormir, comment est ce possible ! Mon cousin est celui qui à violé ma Aïda.

Le lendemain, assise sur la table à manger ma tante servait le déjeuner.

Ma tante : Halima ! Tu manges pas?

J'appercois mouctar sortir de sa chambre en bâillant ! Et mon cœur se serre .

Halima : je n'ai pas faim !

Je me lève et sors de la maison.

Je marche dans la rue en réfléchissant, je voulais aller voir Aïda et tout le raconter, mais j'y arrivais pas.

Je me retourne à la maison et m'enferme dans ma chambre en voulant fermer , mouctar apparu en tenant la porte.

Mouctar : je peux savoir ce qui te prend?

Je répond pas , mes yeux se remplissaient de larmes et je ressentit de la haine pour lui.

Mouctar : bouge ta gueule et répond!!

Halima : sinon quoi ?

Mouctar : ... D'où sors tu cette audace ? Hum?

Halima : je sais tout ce que t'a fait mouctar ! Tout!

Il resta stoïque sur place .

Mouctar : tu écoutes à ma porte maintenant c'est ça ?

Halima ( pleure) : tu me dégoûte..tu n'es qu'un monstre ! Comment as tu oser toucher Aïda ? Pourquoi ? ( Criais je)

Mouctar : ce qui est fait est fait ! Elle se croyait pudique et intouchable et bien je l'es montrer le contraire.

Halima : sache que le bon Dieu vois tout , il ne dors jamais ! Tu vas le payer mouctar..

  Il me saisit le cou .

Mouctar : tu vas faire quoi hein?

Il m'etouffait, j'arrivais pas à bien respirer.

Halima : lâche..moi!

Mouctar : ose me dénoncé et tu verras ! T'a oublier ? Tu n'a pas de famille à part nous !

Il me lâche et je tombe sur mes fesses en toussant, il me prit mes cheveux.

Mouctar : si au hasard quelqu'un d'autre l'apprend ...je te tuerais ! Tu m'entends..Et tu sais que j'en suis capable.

Halima : tu es vraiment sale mouctar ! Tu me dégoûte !

Mouctar : si tu tiens vraiment à ta copine là..tu la fermes où pour une deuxième fois, elle va rejoindre la tombe.

Il sortit en claquant la porte.

                      Aïda...

Des mois s'ecroulerent...

Je suivais des traitements à l'hôpital, j'y allais avec mère chaque jour.

Je me rétablissait petit à petit, mais les blessure cachée ne se cicatrisait pas..

Grâce à baba et à ses conseils je me suis relever , j'allais pas me laisser faire et continuer à me lamenter sur mon sors .

Je me rendais chaque fois à l'orphelinat car je me sentais en l'aise avec les enfants, je restais toujours silencieuse et parfois je me perdais dans mes pensées.

Directrice : c'est bien que tu sois venue ma chère Aïda !

Moi : qui y'a t'il ?

Directrice : nous allons avoir la visite du cheikh de hafsard ! Cette semaine et beaucoup de ménage nous attend !

Moi : bien sûr ! Je serai là pour vous aider ..

J'appelle Halima pour qu'elle me trouve à l'orphelinat et elle me répond pas ...je la texte et elle me répond toujours pas ..

Blessure cachée 🥀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant