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•••Des minutes passa , toujours accrocher à ma mère, elle pleurait silencieusement.

Mère : ya Allah ! ...Qu'on t'il fait à ma fille.

Plus tard, mon Baba rentra .
Mère se rince le visage pour ne pas que baba soupçonne ses larmes.
Pourquoi baba ne devrait il pas savoir ?.. parceque mon Baba est souffrant et la peur que sa maladie ne surgissent empêche ma mère à tout lui raconter .

Baba : Que faites vous tous enfermer ? Le repas est il prêt ?

Mère : o..oui?

Baba : D'accord ! Appel les enfants.

Mère : oui!

Baba : je ne vois pas ma princesse...elle est où Aïda ?

Mère : elle ..elle s'est endormie tôt.

Baba : oh! Elle à manger avant ?

Mère : oo..oui!

***

Cette nuit , je me suis réveillée en criant heureusement que mère était rester veiller sur moi.

Mère : shuut! Calme toi ...

Je m'accroche à elle en panique.

Mère : as tu vu leurs visages ?..hum.

Moi : Ils..ils m'ont ( touchant ma tête) mon voile...ils m'ont là ! ( Touchant ma poitrine)..ils..

Mère ( pleure) : shuut ! Ne dit plus rien ..ne dit plus rien mon enfant.

C'était comme ça chaque matin, plus les jours passaient, plus la peure me possédait.

Mon Baba n'en sut rien et je restais enfermer dans ma chambre, ma mère trouva un prétexte à mon père et moi je n'osais pas voire mon baba .

Je parlais à personne sauf à mère.
Oumar frappa à ma porte avant de rentrer, quand il pénétra ma chambre je lu de la tristesse dans ses yeux ,il prit place près de moi.

Oumar : ...tu ne veux rien me dire?

Je le regarde sans rien dire.
Je sentis ses dents grincer, il n'était pas en colère contre moi je le savais, il s'en veut de n'avoir pas pû me sauver des griffes de ses hommes.

Moi : Oumar..

Il baissa la tête.

Oumar : je m'en veux tellement...

Moi : Oumar..

Oumar : j'ai pas pu protéger ma soeur ..

Moi : Oumar ( je soulève sa tête) ..tu n'y es pour rien mon frère ce n'est pas de ta faute...

Oumar : si! j'ai ...j'ai pas pû joué mon rôle de protecteur...suis désolé Aïda ( pleure) suis vraiment désolé.

Il me prend dans ses bras..

Oumar : ils vont mal payés..tu vas voir.

Son dernier mot avant de sortir.

Je partais plus à l'Institut.
Assise près de mon lit à toujours fixer le vide .
Ma mère apparu..

Mère : Aïda ! ... Halima est là pour toi.
 
Je relève la tête et vois Halima arrêter à la porte, la bouche grandement ouverte.

Elle se mit à marcher lentement jusqu'à moi , ses yeux remplis de larme .

Halima : qui t'a fait ça Aïda ?

Je répond pas et elle me secoue.
Je la regarde sans bouger d'un pouce, elle me prend dans ses bras en pleurant.
Mère sortit ne supportant de me voir dans cet état.

Halima : qu.. qui est ce qui t'on fait ça ?

Je dis toujours rien ..que vais je la dire? Je sais même pas qui ils sont. C'est comme si les mots dans ma bouche refusais de sortir.

Blessure cachée 🥀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant