Pour penser à autre chose...

~'Maitresse'~

/!\ Domination, language crue, femmeXfemme et bien sûr contenu interdit au moins de 18 (n'est-ce pas les petits mineurs qui passent par ici ?🤨)

Ma maîtresse m'a ordonné d'aller porter des porte-jarretelles bien sexy avec une jupe super courte qui ne couvrait à peine les fesses ainsi qu'un soutien-gorge bien dentelé et peu couvrant. Elle s'est ensuite assise sur le bout du lit fasse à une chaise sur laquelle elle m'as demandé de faire un striptease. J'exécutai absolument tous ce qu'elle me demandais, ou plutôt tous ce qu'elle m'ordonnait. J'étais à ses ordres. Une pauvre petite chienne, en besoin de sexe.

Débarrassée de mon haut ainsi que de la jupe -me restant seulement le porte-jarretelles- mon intimité dévoilée, elle m'ordonna ensuite de me glisser sur le lit puis elle m'attacha les mains avec des menottes de velours, j'étais sur le ventre. Mes fesses à sa vue perverse. Elle commença par un massage du dos pour ensuite descendre à mes jambes, puis à mes fesses pour finir à mon entre jambes sans jamais aller plus loin que les lèvres intérieures. C'était un supplice... elle passait a seulement quelques millimètres du lieu de satisfaction. Mais la ne faisait que commencer la délicieuse torture sexuelle...

Elle se mis ensuite à lécher, sucer, embrasser chaque parties de mon corps à sa vue toujours en évitant les parties érogènes tel que le cou ou bien l'entre jambes.
Ensuite elle me détacha afin de me tourner pour que lavant de mon corps soit à sa vue. Elle traça mes courbes de ses doigts délicats...bien évidement en évitants toujours mes parties du plaisir. Elle répéta l'opération qu'elle avait exécuté auparavant sur mon arrière, elle m'embrassa, me lécha, me mordit... et vous commencez à connaître la chanson, sans jamais passé sur mes parties érogènes.

L'envie irrésistible de me toucher ne faisant que croître au fur et à mesure. Mon cœur commençais à s'emballer petit à petit.
« Je vais te détacher mais tu n'auras en aucun le droit de te toucher ou que se soit, sans mon accords, c'est compris ? » me dit-elle de façon autoritaire.
Je sortis alors un petit « Oui » légèrement intimidé face au ton qu'elle avait employé.
« Oui qui ?! » me reprit elle a l'ordre.
« Oui maîtresse »
« Déshabille moi. » m'ordonna-t-elle.
« Oui maîtresse »

Je commença alors à la déshabiller, commençant par sa robe. Je la pris par le bas commençant doucement à la relever. Je commençai à découvrir alors son bas de sous vêtements tout en dentelles et parfaitement transparent. M'attendant à découvrir un haut similaire, je fis surprise de découvrir sa délicieuse poitrine imposante retombante devant mes yeux alors que je finissait d'enlever sa robe.

J'avais chaud. Très chaud. Mon cœur continuait sa course de plus en plus effrénée lorsqu'elle m'ordonna l'action suivante :
« A genoux. Et enlève ma culotte, sans jamais quitté des yeux mon intimité au risque de recevoir une punition. Tous cela délicatement. Très délicatement ! »
« A vos ordres maîtresse. »

C'est alors que je m'exécuta, me mettant à genoux je commença alors à fixer son intimité moyennement cacher par sa lingerie transparente, son imposante poitrine tout droit dans mon champ de vision. Je déglutis, tous cela devenait très long mais j'aimais ça, j'aimais tellement ça ! Je commença alors a descendre la dernière barrière de son intimité sans quitté des yeux sa cavité luisante de mouille. L'ascension jusqu'à ses genoux fus longue, d'autant plus longue lorsqu'elle me fixais tout du long.
La culotte arrivée à destination, je sentis ses long doigts me relever le menton pour la regarder dans les yeux.
« Tu es une bonne petite pute. Maintenant retourne sur le lit et laisse toi faire. »
J'exécutais pendant qu'elle cherchais quelque chose dans un placard. Elle revint avec une boule à mettre dans ma bouche pour ne pas que je puisse parler, ainsi qu'une autre paire de menottes en velours. Elle m'enfilât le tout et je me retrouverais alors sur le dos, les deux mains ainsi que les pieds liés par les menottes, un truc dans la bouche qui m'empêchait de parler sans oublier mes porte-jarretelles. Elle me positionna à genoux, j'étais à sa merci, mon intimité était totalement dévoilée à sa vue, assurément dégoulinante de mouille dû à mon excitation grandissante, qui commençait d'ailleurs à atteindre son summum.

Je l'entendis activer un vibrato -du moins c'est ce que j'en déduisit au vu du son vibrant qu'émanait cet objet. J'allais être enfin récompensé ! me dis-je. Mais au lieu de sentir des vibration, je sentis qu'elle m'enfonça un objets tout autre dans mes fesses, que je déduisît être un plug anal. Légèrement déçu de ne pas recevoir satisfaction j'entendis alors :
« Tu ne pensais tout de même pas que j'allais déjà te récompenser ? me révéla-t-elle en éteignant le vibrato. J'ai ajouté une petite décoration pour plus de plaisir visuel, ça te vas très bien ma belle. »
Me dit-elle avec une voix qui sonnait si sensuelle qu'elle m'en donna des frissons tout en léchant ma fesses droite.
C'est alors que je laissa échapper un léger gémissement à travers ce qui obstruait mes conditions vocales.
« Oh ne jouit pas maintenant il serait dommage que je te punisse si près de la fin. »
C'est alors qu'elle me retourna sur le dos et me détacha les pieds « Pour avoir une meilleure vue sur ta putain de chatte, tu es si désespérée ma belle. » elle m'écartât alors d'un coup mes jambes de part et d'autre de mon corps, formant des angles droits. 'Baise-moi !' Pensais-je très fort, à vrai dire c'était la seule pensée que j'avais en tête en cet instant 'Pitié Baise-moi ! Je t'en supplie baise-moi ! Baise-moi !!' Mon cœur tenant une cadence bien trop rapide.

Des larmes commençait à couler lorsqu'elle commença à toucher mes seins puis à sucer mes tétons son corps se pressant contre le miens, sa poitrine imposante bougeante au rythme de sa bouche contre mon ventre. C'était plaisant, mais pas assez. De plus grosses larmes de supplications coulèrent le long de mes joues, ma cyprine atteignait, j'en suis sûr, le matelas dorénavant. Son regard était posé sur moi, c'était un regard de satisfaction. Elle m'enleva alors ce qui m'obstruais la parole. J'avais tellement envie de la supplier de lui crier de me prendre, là, maintenant mais je ne dis rien. De peur d'être punie et d'attendre encore plus longtemps mon moment de satisfaction.
« Tu es une très bonne petite pute dis-moi. Et tu es tellement désespérée ! Ria-t-elle. Lorsque, et seulement lorsque que je te l'aurais autorisé tu pourras jouir aussi fort que tu le souhaiteras. » me dit-elle toujours malaxant ma poitrines et suçant mes tétons durcis.
« D-d'accord... m-maîtresse... » lui répondis je en bégayant.

C'est alors qu'elle s'ôta de moi et enfila un porte-jarretelles habillé d'un god en forme de penis à l'avant. Elle se positionna ensuite sur moi, ses seins contres les miens, sa tête dans mon cou me le suçant vivement. D'une mains elle commença à masser mon bouton du plaisir et de l'autre elle tenait son faux membre afin de le poster face à mon trou plus que lubrifier de cyprine.

Le plaisir me montais d'un coup rien qu'au contact de ses doigts de fées contre mon clitoris gonflées de plaisir et se décupla d'autant plus lorsque sans prévenir elle enfonça toute la longueur du membre en moi. « Mmmmh !! », un gémissements incontrôlable sortis de ma bouche et se décupla au premier coup de rein qu'elle m'offrît. Ma tête me tournais au contact de mes parois contre l'objet et de ses merveilleux mouvements de doigts. J'avais qu'une seule envie à l'instant c'était de jouir, j'avais tellement été patiente, mais il fallait encore tenir. Son autre main s'était déplacé à mon seins m'offrant toujours plus de sensations.

Un deuxième coup de reins se fit ressentir. Plus violent que le premier. « Aaah ! », Un gémissement de plus se fut entendre de ma part. Plus fort que les précédents.
Puis un troisième coup de reins toujours plus violent. Et elle commença à accélérer la cadence tous devenant de plus en plus fort, et comme si cela était possible, le membre s'enfonçant de plus en plus dans ma cavité. J'avais envie d'exploser ! J'en criait, j'en pleurais et surtout j'en tremblais ! C'est alors que dans ses tout derniers coup de reins, les plus puissants elle m'autorisa alors a jouir.
« Jouis maintenant ! Vas-y crie ! Je veux qu'on t'entende à l'autre bout de la terre ! »
« OUIII !! AHHH ! », c'est alors qu'un cri sorti de la plus grande des satisfactions que je n'ai jamais ressentis, ce n'est pas pour autant qu'elle arrêtais ses vas et viens me faisant durer cette jouissance toujours plus longtemps...
« Tu as été parfaite ma petite chienne, tu mérite du repos, surtout pour ce qui t'attend demain. Dors maintenant. » me dit-elle après m'avoir ôter de mon accoutrement.
« Merci maîtresse. » lui murmurais-je avant de tomber dans les bras de Morphée.

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N.A. : c'était la première fois que j'écrivais un lemon dites moi ce que vous en avez pensé pour que je puisse m'améliorer par la suite et vous offrir une bien meilleure expérience ! (Seules les critiques constructives sont les bienvenues.) merci à vous !

Au plaisir de vous revoir mes amours, prenez soins de vous bisouuus !