Je vous préviens que ces 2 prochains chapitres ne sont là que pour vous faire languir...
Bon couraaaage...On était tous les deux sur mon canapé, moi assise sur ses genoux, ses mains se baladant sur mes courbes.
« Si tu continue de me désobéir, je t'assure que tu ne vas pas pouvoir marcher demain, ça serais dommage n'est-ce pas ? »
« Et si c'est ce que je veux ? »
CLAC
Mes yeux s'ouvrirent en grand et un gémissement incontrôlé sorti de ma bouche après avoir reçu cette fessée. Il est sûr que j'aurais une trace pendant quelques jours.
« Alors tu ne me laisse pas le choix ma belle. »
Je sentais ma culotte se remplir petit à petit, sa voix suave et autoritaire m'excitais tellement, j'avais qu'une envie, c'est qu'il me baise comme jamais l'ont m'as baisé auparavant.
« Maintenant tu obéis et tu enlèves tes vêtements. »
Je me mis alors debout devant lui et commença à enlever tout doucement mon haut. Il ne fallait pas non plus lui donner satisfaction si vite voyons. Je vis alors dans ses yeux de l'impatience, alors comme ça Môsieur était pressé ? Parfait. Je commença ensuite à déboutonner mon pantalon toujours d'une lenteur frustrante pour mon cher DOM.
« Grouille toi si veux voir ma bite entrer en toi ce soir. »
J'hésitais entre obéir ou bien continuer mon spectacle après tout plus cela durais plus cela m'excitais mais j'avais aussi envie de lui, tellement que ma culotte était, j'en suis sur,
remplit d'une flaque de mouille. J'étais peut être une soumise mais j'avais aussi envie de contrôle, il m'en faut beaucoup pour me convaincre. Alors c'est tout naturellement que je fis semblant de ne rien n'avoir entendu et continua ce petit manège. Cela l'énervait que je n'obéissais pas, je le voyais bien dans ses yeux. Et cela me satisfaisait car je sais qu'il peut être bien moins clément et patient, il est bien trop charismatique et autoritaire.
Tout d'un coup il se leva précipitamment vers moi. Un sursaut m'échappa. Il me regarda dans les yeux et de sa voix autoritaire me dit :
« Très bien. Tu veux donc jouer à ça ? Dis-moi, tu veux jouir ce soir ? »
Le voilà donc, cet homme avait tout pour me faire chavirer.
« Oui. »
« Oui qui ? »
Il me regardais fixement et avec un regard menaçant tellement menaçant que j'en perdais mes moyens. Mais je ne voulais pas lui montrer. Je soutenais donc son regard avec beaucoup de difficultés et finit par répondre :
« Oui, monsieur. »
De sa main, il prit une grosse poignée de mes cheveux.
« Je n'aime pas qu'on me désobéisse, alors si tu me désobéis ne serait-ce encore une seule fois, je t'assure que tu ne jouiras pas ce soir jolie cœur. »
Au fur et à mesure de ses mots, il tira de plus en plus fort sur mes cheveux, tellement fort que je suis sûr que si il continuait encore, il en arracherait la touffe. Ça faisait mal et j'aimais ça.
« Est-ce. Clair. ? »
Et à ces mots il tira d'un coup sec sur mes cheveux, une plainte ainsi qu'un gémissement sorti de ma bouche au même moment.
« Han ! O-oui monsieur. »
« Très bien, maintenant étant donné que tu n'as pas l'air pressée, tu vas garder tes sous-vêtements, je vais m'en occuper... »
Dit-il tout en commençant à me caresser et à me donner des baisers dans le cou. Il savait y faire, je n'en avait aucun doute quand je sentis sa langue se mouvoir sous le lobe de mon oreille. Il redescendit à mon cou, puis à la naissance de ma poitrine. Ma respiration commençais à se faire plus rapide. J'avais moi aussi envie de le toucher, j'avais envie d'avoir son corp contre le miens tellement il se réchauffait à chacun de ses contacts. J'en voulais plus, je voulais savoir ce que ça faisait de l'avoir en moi, me remplissant de son membre.
C'est d'un geste impatient que je mis ma main dans ses cheveux alors qu'il continuait de m'embrasser la poitrine. C'est alors qu'il se recula.
« Est-ce que je t'ai dis de me toucher ? »
« T'es trop lent »
Un rire jaune sorti de sa bouche. Je regrettais ce que je venais de dire mais j'avais bien trop de fierté pour le lui avouer.
« Qu'est-ce que je t'ai dit tout à l'heure ma belle ? Rappelle-moi. »
« Oh mince, je ne sais plus, j'ai la mémoire courte »
Dis-je sur un ton innocent mais provocateur.
« Oh donc tu te fous de moi en plus de cela. Je te prévient alors pour la première et dernière fois, ce soir, tu ne jouiras pas. Est-ce bien clair ou dois-je te le faire comprendre par la manière forte ? »
Me menaça-t-il en prenant sa ceinture et d'un coup sec, fouetta le canapé, me faisant encore une fois sursauter. On m'avais déjà fouetté et j'en avait déjà saigné alors je joua la carte de la sûreté et lui répondis :
« C'est très clair, monsieur. »
Je n'arrivais plus à tenir son regard colérique. Et cela me frustrait je n'avais maintenant plus aucun contrôle ni sur moi, ni sur lui. Peut être que si j'obéissais j'aurais alors le droit de jouir ? Mon égo était de toute façon détruit, je ne pouvais pas résister à cet homme, il me donnait des frissons partout, à chaque fois qu'il parlait, qu'il me fâchait, qu'il me touchait, qu'il me punissait... qu'il me dominait... j'avais tellement envie de lui !
« C'est bien. Tu commences à comprendre. Dommage que je dois te punir pour cela. »
Il prit mon poignet de sa forte poigne et m'emmena contre un mur non loin du canapé. J'étais dos à lui, les mains contre le mur.
« Ne bouges pas, compris ? »
« Oui, monsieur »
C'est alors qu'il commença à attacher sa ceinture à mes poignées puis me déplaça légèrement... en face d'une grande fenêtre pour attacher la ceinture à la tringle du rideau. J'étais encore en sous-vêtements mais je savais que dans peu de temps ça ne serait plus le cas.
« Maintenant tu va être bien sage et écarter ces belles jambes pour moi ma belle. »
J'obéis, écartant mes jambes tout en cambrant mon dos
CLAC
Un gémissement de plus sorti de la bouche.
« Répond lorsque je te parle. »
« Oui...Monsieur »
Je sentais sa tête à quelques millimètres de mon oreille.
« Bien. Maintenant nous pouvons passer aux choses sérieuses. »
Je sentais son souffle chaud dans ma nuque puis qui descendis tout doucement jusqu'à arriver à ma culotte. Il l'enleva tout en me léchant la cuisse et lorsque celle-ci fut arriver en bas il continua de souffler sur mon intimité. Je gémissais légèrement puis ceux-ci s'intensifièrent lorsqu'il y ajouta sa langue. Il recula le temps de me dire :
« Tu es tellement trempé et tout cela pour ne pas pouvoir jouir à la fin, quel gâchis, n'est-ce pas jolie cœur ? »
« Oui... Monsieur »
Puis il reprit ses mouvements de langues sur mon clitoris, c'était si bon, je sentais le plaisir me monter de plus en plus, mon corp commença à trembler lorsqu'il accéléra la cadence et qu'il déplaçais toute ma mouille sur toute mon intimité. J'avais envie de jouir ! Je ne pouvais plus tenir encore très longtemps.
« Monsieur.. Mmmmh oui... je vais... haaaan je vais jouir ! Mmmmmh ! »
Et d'un coup, il se retira. Un gros râle de frustration sorti de ma bouche. Alors toute la soirée va être comme cela ? Je ne survivrais jamais.
Il ria tout en se relevant. Me prit les hanches et me dit de sa voix sensuelle :
« Il fallait réfléchir avant de me désobéir ma belle, tout cela est de ta faute la prochaine fois tu ne feras pas la même erreur n'est-ce pas ? »
« Oui Monsieur... pardon Monsieur. »
« Je vais te faire cette délicieuse... et succulente torture... jusqu'à ce que tu me supplies en criant de te faire jouir. Alors à ce moment là j'arrêterais tout et te laisserais à ta frustration. Alors ce programme te plaît ? »
« ... »
Il me tira les cheveux d'un coup sec et d'un ton bien plus autoritaire me dis :
« Je n'ai pas. Entendu. »
Et il retira un coup sur mes cheveux.
« Oui Monsieur ! »
Quel sadique. J'avais envie de l'insulter et en même temps ça m'excitais cette frustration. Il savait y faire c'était sur mais j'avais tout de même envie de jouir et cette torture allait s'avérer insupportable, je le sais, je n'aurais sûrement aucune chance d'avoir un orgasme ce soir...
Il retira sa prise de mes cheveux puis d'un coup expert, décrocha mon soutiens-gorge puis arracha les bretelles ne pouvant pas les enlever normalement à cause de la ceinture tenant mes mains liées.
J'étais maintenant vulnérable non seulement pour lui mais aussi pour toutes les personnes ayant une vue sur la fenêtre de l'appartement. Heureusement qu'elle était un minimum teinté... et c'est à cette pensée qu'il retira la ceinture de la tringle, ouvrit la fenêtre en grand puis me rattacha. Maintenant, j'étais plus que vulnérable...
« Il faut bien des spectateurs à un spectacle. Surtout pour un spectacle comme celui-ci : toi, pathétique et soumise, suppliant de jouir. Mon jolie cœur se sent-elle vulnérable ? »
Dit-il sous un faux ton d'empathie. Quel enfoiré celui là.
« Non monsieur. »
« Eh bien c'est ce que l'on verra dans quelques minutes. »À suivre...
Je fais un deuxième chapitre car celui-ci commence à être un peu long et en plus de ca ça rajoute du suspens en attendant la pub mdrr, va-t-elle finalement pouvoir jouir ou la punition durera-t-elle jusqu'au bout ...?
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Pour penser à autre chose...
عشوائيIci j'écris pour vous, pour que vous puissiez passer un bon moment et penser à autre chose (si tu vois ce que je veux dire 😏). Ce livre contiendra donc des scénarios sexuels. Bonne lectureee !🫶🏻 PS : merci de ne pas signaler ceci est du contenu...