Le monstre et l'immortel

Chapitre 4 : la médecine traditionnelle est la meilleur

La vie dans le vaisseau était petit à petit revenue après que la jeune albinos ait donné des nouvelle, leur capitaine se battait pour revenir, il n'avait pas encore ouvert les yeux, mais c'était en bonne voie. Alors oui les mercenaires ont d'autant plus écouté les directives qu'elle leurs donnait. Yuki avait tous le matériels, produits et plantes qu'elle demandait, en même temps c'était pour le bien de son patient et c'était tous ce qui importait aux membres de l'équipage. Grâce à ses connaissances et à la qualité des consommables qu'on lui avait fournie, la jeune médecin avait recrée un ongulant antique. Plus personne ne se rappelait la formule de ce baume cicatrisant et régénérant, la version la plus proche fessait partie de la médecine traditionnelle chinoise.

Les cheveux attachaient en chignon, un masque sur le visage, un long tablier blanc et des gants au mains, la seul femme sur ce navire se préparait pour refaire le médicament. Elle broya des feuilles de mandragore dans un petit mortier gris clair, écrasant lentement avec le pilon pour en faire sortir le jus. Le liquide ainsi obtenue a été mis dans le récipient qui servira pour faire le mélange. L'arboriste improvisait répéta l'opération avec d'autres herbes et fleurs, chaque ingrédient avait sa particularité et il fallait faire très attention au quantité de chaque. Ses yeux fixaient la mixture alors qu'elle la mélangeait avec beaucoup de concentration. Une fois que Yuki était satisfaite elle mis sa préparation a reposait à l'abri de l'humidité, de la lumière et des température chaude et froide. Elle se changea pour retournait soigné le rouquin toujours endormie.

Ça fessait déjà deux jours qu'elle traitait les plaies sur son corps. Chaque jours la jeune fille changeait les bandages, passait sa pommade et lui fessait faire de l'exercice pour pas que son corps ne perde en muscle et évité les escarres. De temps en temps elle le nettoyait et le massait, en parcourant son corps de ses mains elle avait pertinemment remarqué qu'il devenait plus actif, ce n'était plus qu'une question de temps. Comme à chaque fois, la belle albinos s'occupait de sa routine sans dire un mot, mais ce jour-là une personne était venue la voir.

- Alors mademoiselle, comment il va aujourd'hui ? demanda un grand homme sur le pas de la porte.

Yuki, loin de reconnaitre les personnes à leurs visages, prit le temps de le détaillait. Il était très grand avec une grosse touffe de cheveux brun cendrer ou blond, elle ne savait pas comment décrire cette couleur. L'homme avait une tenue traditionnelle Yato, ce qui permit à la jeune fille d'éliminer pas mal de nom, au vu de son comportement il devait être un haut gradé. Elle continua de le fixé jusqu'à illumination, qui la fit réagir, c'était Abuto le second de Kamui.

- Ça ne devrait plus tardé, répondit-t-elle largement en retard, il est fort et il se bat pour revenir

- Je n'en doute pas, alors quelle récompense tu veux, annonça sans détour le grand lapin.

- Rien, je ne souhaite rien... je, commence la petite en regardant son patient. J'avais juste une dette a remboursé...

Il y avait une chose que personne ne savait, c'était déjà que la jeune fille est immortelle et qu'elle avait connu la mère de Kamui. La dette en question était envers elle, Yuki ce sentait coupable et donc responsable de ses descendants. Pour elle c'était une dette irrécouvrable qui la suivra jusqu'à sa mort. Alors oui, on peut éventuellement dire qu'étant immortelle c'est une dette qu'elle ne remboursera jamais mais sauvait ce jeune homme aidée beaucoup. Les yeux dans le vide, l'albinos ne remarqua pas l'expression de son interlocuteur qui était plus que perplexe. Il la fixait intensément pour la sondé, chose qui au bout d'un moment les mettaient tous les deux mal à l'aise, lui car déjà de un il n'y arrivait pas et de deux dix minute a fixé une fille ça ne se fait pas, elle, elle n'aimait pas vraiment qu'on la regarde comme ça et encore moins attirait l'attention. Gênait et cherchant à faire passait le malaise, le grand soupira et lui tendit la mains.