Une colocation forcé

chapitre 16

Ma respiration commence à se calmer, le son de sa voix qui m'apaise, je m'agrippe a son t-shirt et je ne le lâche pas.

Je ne dis rien toujours sous le choc de se qui viens de m'arrivée.
Un verre d'eau se tend devant moi et je le prends sans regarder qui me le tend.
Je sens des bras bien musclé entouré ma petite personne.
Ma tête fini sur un torse nu et bien dessiné...je ne préfère pas relevée la tête et juste profiter du moment même si se connard et la cause de cette aggression.
Le son de la télé coup le silence qu'il y avait , les informations passe et l'une d'elles attire mon attention.

-feu incessant pour cause la canicule et évasion d'un dangereux criminel : faxe.

Faxe..

Je me relève doucement sans même jeté un regard a Adam et je pars dans ma chambre me changer en pyjama
Je cherche pas et je mets un simple t-shirt long et flemme de mettre un short.

Je me pose dans mon lit avec un livre
L'as de cœur.
(NDA : incroyable !!)

La porte de ma chambre s'ouvre doucement laissant mon chat entre dans la chambre et se pose sur mon lit

Si seulement tu étais encore la..

Une ombre cache la fine lumière qui venait du salon Adam entre et ferme la porte et s'assoit dos à moi au bord du lit.
Je ne dit rien et je tourne juste le dos.
J'ai pas envi de le voir.
Bon j'avoue j'ai fait la même en le laissant devant la porte la dernière fois je l'avais même oublié d'ailleurs et je me serais venger aussi j'avoue !
Mais bon...la c'était vraiment trop..

Je me retourne dans l'autre sens et je regarde son dos bien bâti.

Putin..

Il a les cheveux légèrement mouillés et ces fines mèches blondes laisse parettre ces boucles autant désordonné que sexy.
Il se tourne doucement et sont regard croise le mien.
C'est yeux verts nature qui brille dans l'obscurité me déshabille malgré le peut de luminosité de ma chambre.
Je soutiens mon regard dans celui qui semble vide et fermé, comme un escargot dans sa coquille.
Il se lève et fait le tour du lit pour se placé fasse a moi.
Il ne dit rien.
Moi non plus.
Il ne laisse rien parettre je ne peux rien percevoir mais j'aurais juré avoir vu de la culpabilité pendant quelques instants.

Il s'agenouille pour être a ma auteurs.
Je ferme mon livre et je m'assois en tailleurs et je l'invite à venir s'installer.
La fenêtre de ma chambre est ouverte et la lumière de la nuit éclair la pièce.
Le ciel étoilé brie.

Magnifique

-des-

-laisse, tu n'y ai pour rien.
Se genre de chose ne se prévoit pas.

Dit-je fermé sur moi même.

Je tourne ma tête vers lui et il fait de même. il est Putin de beau quand même.
Son visage se rapproche en même temps que le mien.
Ces yeux fixant mes lèvres brûlante de désire, c'est belle lèvres fine me suplie d'y colle les miennes.

Dans un mouvement rapide je me rapproche encore quand mon téléphone se met a vibré.

Appel entrant : Léo 🦁

Je soupire un instant en remettant un peu de distance les soucis froncé Adam regarde mon téléphone et il dit d'un ton non chalent :

-c'est qui ?

-quelqu'un.

-c'est qui tp