Tu est T/P, une jeune étudiante de 18ans qui viens d'entré dans une fac de surdouée, intelligente, belle , toute les caractéristique pour plaire a un homme.
Mais étrangement, la ne sont pas tes priorités, tu dit que l'amoure est une perte de temps...
Chui dans mon lit jamais il me touche le clochard et puis quoi encore nan mais !
***
Je suis dans mon magnifique lit recouverte de ma couverture qui réchauffe super bien. Et je sans un gros pois se poser sur mon ventre. Je soupire agacé
-degage
Chui bien la !
-propriété privée tu te souviens ??
Il soupire et ces grands bras entourent ma taille et il se place au-dessus de moi
-et si cette propriété était la mienne ?
Il commence a déposé ces lèvres dans mon cou. Une de ces main passe derière ma nuque tandis que l'autre tiens fermement ma hanche Sa langue se fré un chemin jusqu'à mon lob qu'il mordille en me regardant avec malice... Mon corps frissonne a son contact rien qu'avec ces lèvres il me fait déjà humidifié ma culotte.. Il descend ces lèvre jusqu'à ma poitrine et je lève la tête pour lui laisser plus d'espace.
Quand tout a coup le froid entre et-
-ALLER DEBOUT LA MARMOTTE ONT VAS ETRE EN RETARD !!
Je me lève en sursaut quand Adam tire la couverture qui me tenait chaud
-arg...
Putin... Nonononon C'est pas possible J'ai fait un FUKING rêve....avec Adam dedans...
-ta quoi ?
-rien c'est bon.
-aller la ramène ton cu
-il est quelle heure ?
Il ne répond pas et il me tire le bras et me met en sac patate sur son épaule je finis sur une chaise face à lui avec un Putin de magnifique petit déj.
-tu sais cuisiner toi ??
Il pouffe et je goûte. Je suis d'ailleurs agréablement surprise par son Putin de délicieux plats je mange sans me soucier de lui après ça je pars me préparer pour les cours. Tenue simple aujourd'hui flemme la.
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Je sort de ma chambre avec mon sac à la main et une grosse veste. C'est pas que inh mais il commence à faire froid le matin je descends les escaliers et le ronronnement de la voiture d'Adam se fait entendre. J'y monte sans un mot. Chuis fatiguée la. Flemme de causé.
Je pose ma tête contre la fenêtre et je regarde le paysage défilé. Il fait gris dehors il ne va sûrement pas tarder à pleuvoir, la voiture s'arrête brusquement et je tourne la tête pour comprendre quelque chose
