Une colocation forcé

chapitre 18

Le ronronnement d' une voiture se fait entendre je me retourne et...

~Pdv Adam~

-

je te dépose ?

-reve elle rentre avec moi.

Dit-je en mettant ma voiture devant celle de l'autre bouffons.
Il mérite pas que je l'appelle par son Putin de prénom.

-et pourquoi sa ?

Je ne lui accorde même pas un regard et je tire tp dans la voiture.

-tu vas me dire se qu'il te prends ???

J

e ne dis rien et je démarre la voiture.
Ont est que mardi putin.
Je ne peux pas mettre de mots sur se fdp qui serre d'amis d'enfance a tp.

-je peut pas m'le bléré ton "ami d'enfance"

-ouais ba j'aimerais bien comprendre pourquoi tiens

-tch

-c'est pas une réponse sa !

Je le sens pas se type
Il sort de l'ombre comme par hasard quand mes affaires vont mal.
Et c'est pas la première fois que je le vois.
J'en suis sûr.
Il me dit un truc s'te con.
Et puitn se matin aussi c'était la galère...
Marc de merde.

-he Ho ya quelqu'un ?? J'aimerais bien savoir se qu'il ces passé se matin.
C'était qui c'est gas avec les arme ??
Et le gas avec la moto l..heu...tom !
Et pourquoi tu-

-Ta gueule.
Je t'avais dit de reste dans la voiture Putin
Tu sais pas dans quelle merde tu ma's foiré la

Elle croise les bras et je ne dit rien.
Je continue de rouler sur l'autoroute et ont arrive a une petite clairière.
Je me gare et je la fais descendre.

Elle s'assoit a quelque mètre de la rivière et elle ne dit plus rien.

-c'est qui Tom ?

-mon cousin.

-j'me disais aussi!!

-et pour quoi il a dit que l'autre me "voulais vivante" ?

-tch..

Marc de merde.

-bon tu te décides à m'expliquer se qu'il se passe ??

-samedi.

-hien ??

-samedi tu viens avec moi.
Pas un mots au autre.
Et tu coupera ta loc.
C'est claire ?

Elle pouffe de rire puis elle se lève et elle regarde lorizon.

-je sais pas c'est quoi le baille maintenant que je sais qu'il se trame quelque chose tu vas pas te débarrasser de moi comme sa

Dit elle avec se souris qui me rend dingue.
Je me lève et je m'approche d'elle et je pose ma main sur ces hanches pour qu'elle se retourne face a moi
Elle me regarde de ces yeux percent.
Je passe une main derière sa nuque et je la rapproche sauvagement de moi.

-tu es sur de ne pas avoir peur ?

Dit-je d'un ton de voix sombre.
Elle émet un sourire narquois, ne baisse pas le regard et dit :

-rien ne m'effraie Adam.

Elle s'approche de mon oreille.

-tu sais si peut de choses.
C'est toi qui devrait avoir peur.

Elle s'éloigne de moi et elle se dirige vers la voiture.

-tu viens j'ai la dalle moi !

Connasse.

Je m'approche d'elle et je lui tire le bras pour la plaqué contre la voiture.

-tu joue a un jeu dangereux tu le sais sa..

-je n'es fait que suivre...

Ma main glisse le Long de sa hanche et mon visage se colle au seins

-sorciére~

Dit-je avant de celé nos lèvres..
Se n'es pas un baisse doux ni passionné.
Mais de désire ardant.
Sa main passe dans mon cou pour approfondir notre baisé aussi sauvage qu'agressif.
Je la soulève et je trouve la portière pour la faire entrer dans la voiture sans lâché ces lèvre délicate au goût framboise.
Elle m'enroule de ces jambes et j'attaque son cou en le lui mordillent.
Je veille à bien laisse des traces violettes partout.
Marquage
Sa peaux sucré m'envoute.
Tellement qu'aucune autre n'as se goût la
J'entends son souffle lourd
Ainsi que les magnifiques song qui sortent de sa bouche malgré qu'elle les retiennent.
Sa main se perd dans mes cheuveux se qui m'incite a descendre encore plus bas.
Mon excitation brute se manifeste beaucoup plus rapidement que d'habitude.
Et mon envie de la sentir devient plus forte.
Mon genoux frole la partie humide de son bas
Et je la sans se cambré.
Les yeux fermés je retire sa main qui m'empêche d'écouter sa voix envoutente.

Brrrr
Brrrr
Brrrr

-adam....

Putin.

-a.. Adam

Je relève la tête a contre cœur et elle me tend mon portable.
Je soupire frustré et je me relève doucement.
Elle se recoiffe et je fais le tour et je réponds, j'entre côté conducteur en même temps.

-quoi ?

Dit-je agacé

-a la résidence tout de suite.

-quoi !? Ont avait rdv samedi.

-j'ai dit tout..De.suite.

Je grogne et je raccroche.
Je démarre en direction de la recidance canébi.
Tp me regarde sans un mot
Je serre le volant énervé et je continue en direction de l'autoroute.
Une trentaine de minutes plus tard
Je garre la voiture dans le parking et ont decent.

-suis moi.

Elle ne dit rien et elle me suis sans un mot.