chapitre 25

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Je pars sans rien dire de plus en le suivant de près.

Ont sort rapidement de la résidence toujours dans un putain de silence de mort, je monte dans la voiture sans un mot, de peur qu'il s'en prenne à moi.
L'odeur de La cigarette qu'il vient d'allumer envenime l'habitacle, une fois rentré je me dirige directement verre ma chambre pour enfin me nettoyer et me changer.

00h00...passé.

je me lève avec un sentiment de panique et quand ont panique qu'es qu'on fait ?! ont mange du saucisson !!! je sort donc discrètement de ma chambre en dévalant les escalier verre la cuisine ou comme j'aime l'appeler : le paradis ! je fouille dans le frigo mais sans succès ya jamais rien dans cette baraque !

je remonte les escalier avec une expression dépité sur mon visage et l'impression que l'on m'observais, je me retourne doucement en détaillent le baie vitré qui fessais office de porte d'entré et qui donne vu sur le grand jardin verdoyant assombrie par la nuit. Je n'aperçois personne, ça sa sens pas bon.

on aurais dis les gens dans les film d'horreur, sa fini toujours mal c'est merdes.

je prend quand même le risque de monté prudemment verre ma chambre, en vaillent bien à la fermé a double tour avants de me glisser sous les drap couvrent de mon lit avec se même sentiment d'inconfort, comme a chaque nuits.

mes yeux se ferme doucement fatigué de cette mission dont je n'es pas encore fais le point avec moi même.

faxe...

***

les bruit de la serrure de la porte de ma chambre me réveille en sursaute, je regarde autour de moi sans bouger ne serrais se qu'un poile, la porte s'ouvre doucement et un sentiment de panique me parcours.

je reste figer, je n'est ni vu sur la personne et je sais encore moins ou elle se trouve il fait sombre dans ma chambre qui es seulement éclairer par une petit veilleuse. Mon cœur commence a battre plus fort dans ma poitrine me criant de quitté les lieux au plus vite, je sans la personne s'approcher me forcent à fermé donc les yeux prise de panique pour donner l'impression que je dors profondément alors que l'individu n'est qu'as quelque pas de mon lit, je me crispe alors qu'une mains caressé mes cheveux remettent une mèche en place.

un frison de dégout me parcourt avec la peur de retombé dans mes cauchemars passées...puis la personne fait demi tour et s'en vas. Je lâche une soupire avant de me relevé sur mon lit, un sentiment oppressent m'empêchent de dormir. je prend donc mon oreille, mon chat et la couverture et je descend dans le salon me poser sur le canape pour dormir.

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le son de la télé me réveille petit a petit alors que mon corps se relève doucement, je me frotte les yeux en m'adaptent à la lumière alors qu'un poids par s'affaler contre le canape et se n'es qu'autre qu'Adam bien sur qui me dévisage moi et ma tète déplorable du matin.

-t'es a chier tu sais..?

super le réveille

-tout comme toi. répondit-je avec le même ton arrogent que lui.

se qui le fit pouffer de rire alors que ces yeux étais rivés sur la télévisons qui donnait les infos du jour, le corps sans vie de James apparut soudainement a l'écran se qui provoque un rictus malsain sur le visage d'Adam.

La présentatrice annonce que sa mort et un potentiel suicide elle précise que des enquêteur son sur les lieux et n'ont toujours aucune preuve apparat celle qui présume se potentiel suicide. Je ne peut m'empêché d'émettre le même sourire malsain qu'Adam en sachent la réel cause de sa mort...

Une colocation forcéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant