Capitolo Cinque

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                                                   Héphaïstos

Je n'ai pas voulu qu'elle aille à l'école ce matin. Je me suis dit qu'il lui fallait un jour de repos. C'était censé être le dernier jour de la semaine avant le week-end mais je ne voulais pas la brusquer. J'avais donc prolongé son week-end d'une journée.

C'est la dernière journée que je passe avec elle, avant que je m'en aille pour au moins deux bonnes semaines. Ma victime, est un chef d'état très occupé que je dois suivre à la trace.

Svétlana ma assuré que sa correspondante lui a trouvé une personne de confiance pour assuré mon rôle à mon absence. Je n'ai confiance en absolument personne sur cette terre. Pour moi, tout le monde a une part vicieux en lui prêt à explosé au moindre retournement de situation.

J'ai délégue mon rôle de professeur pour une durée un peu plus longue. Entre ma victime, ma prochaine victime et ma petite sœur, le temps était pris.

Je n'avais pas le temps de gérer une classe en chaleur d'adolescents.

Ma famille, mon argent avant tout.

J'aurai du préciser une femme, mais je pense que Svétlana sais que jamais un homme ne mettra pied chez moi pour surveiller ma petite sœur. Ni pour d'autre chose.

- Monsieur m'appelle une voix derrière moi.

Je me retourne et voit Svétlana.

- Qui à t'il dis-je en me servant une tasse de café.

- Je pense avoir trouver une personne de confiance pour votre sœur.

- Aussi rapidement ?

- Oui

- J'ai besoin de la voir de mes yeux.

- A quel heure voulez vous que je lui donne rendez vous ?

- Dans l'après midi. Je ne veux pas que du bruit dérange le sommeil de ma petite sœur. De plus il faut qu'elle sois là pour que je puise percevoir dans ses yeux une quelconque attirance amicale. 

- Ou voudrez vous la recevoir ?

- Dans la cuisine.

- Emtendu monsieur.

- Svétlana ? dis-je alors qu'elle partait déjà

- Apres la venue de la demoiselle, parter en repos. Profitez d'avantage de votre famille. Vous en avez une.

Elle se met à me regarder avec des yeux larmoyants.

- Monsieur commence t'elle les lèvres tremblantes.

- Non je te l'ai déjà dit plusieurs fois ! Ne pleure pas pour moi. J'ai grandi.

Elle s'approche de moi et me prends dans ses bras malgré sa petite taille. Je ne supporte pas que l'on me touche, mais je la laisse faire. Elle a tellement été là pour moi que c'est devenue une personne à part entière dans la famille.


                                                            Anastasia

Je n'ai pas dormi de la nuit. Mon corps était paralysé par la peur. Chaque bruit que j'entendais me donnait l'impression qu'il était tout près de moi. Ne pas savoir de quelle manière il comptait se venger augmentait mon angoisse.

J'étais épuisée. J'avais des cernes bien visibles. Mon corps était lourd et faible par le manque de nourriture, mon ventre creux.

Mes ongles, mes cheveux, l'ensemble de mon corps était fragile du à ma faible nutrition.

Héphaïstos Où les histoires vivent. Découvrez maintenant