Denki
Ma fin de semaine chez mes parents ont pris fin. Comme à mon habitude, même si je suis en appartement maintenant, je passe toujours une fin de semaine sur deux chez mes géniteurs. Normalement je suis heureux de retrouver mon chez moi, mais comme moi et Kyoka venons de rompre, je ne suis pas du même avis. Je traîne des pieds jusqu'à la porte lorsque je dépose mon sac sur mon dos. Ma mère m'affiche un sourire compatissant lorsqu'elle me vois faire. Je lève à peine la tête pour la regarder, je n'en ai même pas la force. Je m'assois au sol, sur le marbre froid de l'entrer. Mes lacets ne mon jamais sembler aussi complexe à attacher.
- Tu sais mon chéri, tu peux rester ici jusqu'à-ce que tu te trouve un nouvel appartement..? Je sais que le bail n'est pas fini, mais peut être que Jiro comprendra et qu'elle ce trouvera quelqu'un d'autre pour l'aider à payer ce qui reste des mois..?
Me dit-elle d'une voix douce. J'ai secouer négativement de la tête. Ce serait un option, mais je me suis dévouer à payer de manière départager avec mon ex copine. De plus, comme ma chambre a été vider de mes effets personnelles et qu'elle sert désormais comme chambre d'inviter, je ne m'y sens plus vraiment chez moi. J'aurais évidement les moyens de payer une pension alimentaire à mes parents pour les aider à me loger au cas où, mais je suis un grand garçon maintenant. Même si je n'ai plus de liens amoureux avec Jiro, je suis sensé être capable de gérer une colocation presque amical avec elle. Nous l'avons déjà fait, au départ, lorsque nous avons louer cet appartement, nous n'étions que des amis.- Non maman, je suis assez mature maintenant pour être capable d'entretenir une relation saine avec ma colocataire. Le bail est terminer d'ici six mois, en moins d'un clignement de yeux, je pourrai me trouver un nouveau partenaire d'appartement et poursuivre ma vie.
Dis-je d'un ton faible, comme si je n'étais pas très sur de moi. C'est le cas, mais ne suis près à risquer tout pour tenter de rassurer mes parents.- Tu es certain ? Ça ne nous dérange pas, à moi et ton père de t'habiter encore un peu sous notre toit le temps de t'en trouver un autre.. S'il le faut, nous paierai nous même Jiro pour qu'elle est suffisamment d'argent pour conclure le bail..
Poursuit ma maman. Je roule des yeux, un léger sourire amuser aux lèvres. Je leur manque, et savoir leur unique garçon - même si une petite fille s'ajoutera bientôt à la famille - quitte la maison et poursuit sa vie en dehors du cocon familial les rend émotifs.- Sur et certain, je veux faire preuve de maturité et de courage pour une fois !
Dis-je, motiver à leur prouver que ne suis un homme désormais. Elle sourit, les larmes aux yeux. Je me redresse, mes lacets finalement fait, et replace mon sac sur mes épaules.- Comment ce fait-il que mon tout petit Denki vielli aussi vite...
Me dit-elle, une moue au visage. Je lui sourit à pleine dent, et lui tend les bras. Elle comprend mon signal, et viens elle aussi me prendre dans ses bras. Son ventre a bien grossi, j'arrive à peine à poser mon visage contre son épaules, comme j'adore le faire. Ma mère me caresse toujours les cheveux lorsque je fait ça. En y repensant, l'écart d'âge avec ma petite soeur est énorme, mais comme mes parents m'ont eu très jeune, ils ont encore la possibilité d'éduquer un enfant sans être trop vieux. Ils avait 18 ans à l'époque, aujourd'hui j'en ai 17. Plusieurs parents ont des enfants vers la trentaine. Bien qu'elle n'aura pas les parents les plus jeune de sa classe plus tard, ils ont encore l'âge d'élever une gamine.- Le temps nous rattrape sur tout maman..
Dis-je, lui caressant le dos. Elle me donne un bisou sur la tempe, et me laisse respirer. Je pose ma main sur la porte, avant que mon père ne me prenne pas le col et me plaque contre lui dans un câlin.- Tu partais sans dire au revoir à ton vieux père ? Je te pensais mieux élever que sa, c'est de la faute de ta mère !
Dit-il sur un ton de rigolade. Je sourit, puis rigole faiblement, accompagner par mes géniteurs. Je dit au revoir à mon papa, et quitte finalement la maison familiale en direction de mon appartement.En arrivant devant la bâtisse, mon souffle étais cours, réduit par la boule qui s'est former dans ma gorge, menaçant d'y faire verser des larmes. Je n'ai pas envi de pleurer à nouveau. Ça n'en vaut pas la peine, et puis les hommes ne pleure pas, c'est ce que l'ont ma souvent dit à l'extérieur de la maison. Même si mes parents m'assure qu'il est normal de ve vider de nos émotions, autant comme les filles que les garçons, en société, un mâle qui démontre sa faiblesse avec cette manière est très mal vue. "Ça ne fait pas virile", l'une des phrases préférer de Kirishima dès qu'il a l'opportunité de l'insérer. En plus, je n'ai jamais vue aucun de mes amis pleurer, pourquoi moi je serais le premier ? Suis-je le plus faible d'entre eux ? En même temps, je ne suis pas de taille comparé Katsuki, Eijiro et Sero.
Je monte les marche du bloque appartement, les pieds toujours aussi lourd que tout à l'heure. La boule s'est déplacer jusqu'à mon ventre, ça fait mal. Je peine à rester droit. Mes yeux deviennent de plus en plus humide, je déteste cette sensation. Pourquoi faut-il que je sois aussi sensible ? Je suis trop facile à atteindre, et sa m'embête. Je prend mes clés, et les insère dans la serrure. Ma main tremble, comme si j'étais en voix d'une crise d'épilepsie. J'ai tenter de la stabiliser, puis je me suis mordu la lèvres inférieure. Je suis tellement stresser que je manque presque la faire saigner tellement ma mâchoire s'est contracter. Je ferme les yeux, et prend une grande inspiration. Ce n'est qu'une porte, qui s'ouvrira sur mom ex copine que j'aime toujours autant, certes, mais une porte quand même. Pourquoi cela semble-t-il être le choix le plus difficile de ma vie ? Ce n'est qu'un geste, un action, un mouvement. Mes membres refuse de coopérer, comme si mon cerveau les avais mis sur mode arrêt, car il sait très bien qu'en l'apercevant, ma peine allais me retomber lourdement dessus.
J'ouvre a nouveau les yeux, et d'un mouvement saccadé par ma panique florissante, je l'entrouve doucement. Elle grince sinistrement, me causant d'horrible frisson dans le dos, allant jusqu'à ma main. Dans un mouvement presque machinale, elle ce pose sur ma bouche, mes yeux s'ecarquillant comme des billes. Je n'avais même pas le temps de comprendre ce qui ce passait devant mes yeux, que j'avais reclaquer la porte, m'enferment volontairement dans le couloir.
Sous l'effet de choc, je suis rester clouer sur place, fixant le bois sombre de la porte qui me séparait du désastre que je venais d'apercevoir et la possibilité de déréalisé les éléments précédant, comme pour me rassurer. Sois ce n'étais qu'une hallucination, un cauchemars, sois c'était bien réelle, et sa fait mal. Dans tout les cas, je veux pas le savoir tout de suite, je veux rester encore dans le couloir, comme si sa me permettrait de revenir dans le temps et de rattraper cet horrible entré.
1250 mots
[ Aimez-vous pour l'instant ? Cela vous convient ? 😂 l'action arrive bientôt promis ! XXX ]

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Cœur Renouveler
FanfictionFanfiction MHA ship shinkami Une histoire d'amour qui ce développera lentement lors de la rentrer à UA suite à une nouvelle déchirante lors d'une si jolie journée. Cette histoire sera suivie par Denki Kaminari, avec exception le point de vue d'Hitos...