Denki
Mon regard était posé sur l'écran de mon ordinateur. Casque d'écoute sur les oreilles, le son au maximum, me permettant d'entendre Bakugo hurler des injures à tous les joueurs inexpérimentés - cet à dire l'entièretés - et la voix de Kirishima qui tente de le détendre malgré l'inutilité de ses efforts. Ça ne faisait ni chaud ni froid à notre ami déchaîner.
Des pas lourd dans le couloir me fait vite comprendre que ma partie devra s'y mettre fin plus tôt que ce que je l'avais souhaité. Dans un soupire, je me met en sourdine et retire mon appareille d'écoute, le laissant siéger mes épaules. Ce qui atténuent les cris du blond. Trois coups à la porte avant qu'elle ne s'ouvre sans preuve de consentement. La tête de mon père apparaît dans l'embrasure, souriant à pleine dent. J'avoue ne pas m'y être attendu. Pas que sont visage ne s'illumine rarement, au contraire, mais ma chambre est en désordre et je m'attendais à avoir droit à une remarque.
- C'est une petite fille !
S'exclame-t-il, tout sourire. Un sentiment supérieur à celui de la joie s'empare de mon être, me poussant à me lever d'un coup. Je saute sur place de manière énergique avant de m'approcher presque à la course de mon paternel pour le prendre dans mes bras.En effet, ma mère habite un enfant dans son ventre depuis déjà quelques mois, et savoir que je ne serai plus enfant unique comble une certaine solitude que je traîne depuis longtemps derrière moi. Bien qu'aujourd'hui je sois pourtant entouré, dans ma plus tendre enfance je n'ai jamais vraiment été très encerclé. Mes difficultés académiques m'ont toujours éloigné des autres. Je regardais la popularité de très bas, avec des étoiles dans les yeux. Je tenait à atteindre cet échelon, voulant être apprécier voir même vénéré. En ce jour, je m'y suis rendu, mais malgré tout cela, j'ai réaliser que ce manque n'était pas l'envie d'être regarder, mais le besoin de présence familiale. Mes parents s'absentaient régulièrement, allant à l'extérieur de l'État pour des raisons professionnelles. L'absence de parents m'a apporter un besoin affectif, et d'être écouter. Comme ils sont à présent conscient de ce léger problème, mes géniteurs ont décider de faire autrement cette fois, ne voulant pas causer cette même erreur envers leur fille. Depuis que nous avons appris cette miraculeuse nouvelle, je retrouve ma maman et mon papa, et mon cœur est rempli de joie.
Papa sourit lui aussi, les yeux humides. Mon bonheur est partager, car les miens aussi. C'est le sentiment que tout être humain rêve de vivre, et moi, j'en ai la chance, c'est un cadeau du ciel grandement souhaiter.
- Moi et ta mère aimerions que tu nous aides à trouver le nom de ta petite soeur. Commence à y penser !
- Avec plaisir !
Dis-je, la voix étouffé par mes larmes qu'il m'est impossible de contenir. Il caresse tendrement mon dos, déposant un doux baisers sur mon front. Mes lèvres s'élargissent davantage, alors que je m'éloigne de mon père pour essuyer mes pleures qui glisse sur mes joues du revers de ma manche. Dans mon casque d'écoute toujours siéger sur mes épaules, je peux entendre la voix de Sero, interpellant mon nom, l'air inquiet comme sa fait déjà quelque minutes que je suis inactif sans avoir crier gars.- Termine ta partit avec tes copains, moi et ta mère allons commencer le dîner. Tu descendra quand tu auras terminer pour nous aider à mettre la table, d'accord ?
- D'accord !
Dis-je, lui adressant à nouveau un sourire, qu'il me renvois.- Et pense à ranger un peu ta chambre, et de voir tes amis autre que de manière virtuelle.
Me dit-il sur un ton faussement autoritaire comme il ne détient pas ce trait de personnalité. Je roule des yeux, m'y attendant.- Évidement... dimanche sa rentre dans les temps ?
- Mouais... Ta mère ne seras pas de ce même avis... mais tant que c'est fait d'ici lundi, je ne te confisquerai pas ton matériel de "gaming".
Me dit-il après avoir légèrement hésiter. J'hoche de la tête, l'air confiant, et un tout petit peu amuser, comme pour le rassurer, avant qu'il ne m'ébouriffe les cheveux déjà en bataille sur ma tête. Un dernier sourire échanger, et il referme la porte derrière lui. Le fait d'évoquer le mot "confisquer" me fait bien rire. Je suis maintenant en appartement, leur contrôle parental sur ce sujet n'existe plus vraiment.Je m'assois à nouveau, reposant mon appareille d'écoute sur ma tête, activant mon micro.
- Je suis de retour ! Désoler de l'attente, je viens d'apprendre que j'aurai une petite soeur !
Dis-je l'air enthousiaste. Kirishima arête ce qu'il faisait le temps de me dire à quel point il était heureux pour moi, et que, lui même étant enfant unique, me jalousait un peu. De sa part ce n'est rien de méchant, au contraire, cela m'amuse un peu, lui promettant de le laisser la prendre dans ses bras au moment voulu.Une fois ma partit terminer, je dû les quitter, ce qui ne leur a pas plus, à moi non plus d'ailleurs. Je suis descendu en bas faire ma tâche demander, discutant joyeusement avec mes parents. Ont s'installe à table ensuite, mangeant le délicieux repas concocter avec amour. Ma journée allait pour le mieux, mon sourire ne s'effaçais plus, il restait afficher fièrement.
Pourtant, la sonnette de la maison a retentit, et des frissons ont étrangement parcouru mon dos. Sourcils froncer, je me suis porter volontaire pour aller ouvrir puis-ce que j'avais terminer de manger. Lorsqu'elle fut ouverte, j'ai pu voir le magnifique visage de Kyoka. Normalement j'aurais sourit en la voyant, car j'aime sa présence, et j'adore ses petites affection et la douceur de sa voix lorsqu'elle s'adresse à moi en dehors de l'école. Mais présentement, une mauvaise impression me gruge le dos de haut en bas. Quelque chose cloche, mais je ne pourrais deviner.
Ma relation avec Jiro ce porte comme un charme, nous célébrons bientôt nos trois mois de couple, et encore aucune dispute en vue. Son visage étais neutre, avant que ses lèvres ne s'étire en sourire forcer. Je lui en échange un sincère malgré le début d'anxiété qui monte en flèche. Je la laisse entrer, et elle s'exécute, retirant ses basquettes, les classant au coins du mur. Kyoka replace l'une de ses mèches derrière son oreille, un geste qu'elle sait que je trouve adorable. Je la dirige au salon, elle salut mes parents, qui fait de même, illuminer d'un sourire rayonnant. Elle s'installe silencieusement sur le sofas. Je lui propose quelque chose à boir, elle refuse. J'hoche nerveusement de la tête, avant de m'installer à ses côtés, entrelassant mes doigts au sien. Ma copine ne referme pas sa main contre la mienne, au contraire, elle l'a retire doucement. Mon coeur ce serre dans ma poitrine, avant que mes battement ne s'accélère de façon irrégulière. Son refus m'indique qu'une discussion sérieuse devra être poser sur la table, et que c'est maintenant que ce sera mis au claire. L'inquiétude ce lis sur mon visage, et elle le remarque. Jiro ne m'affiche aucun sourire pour me rassurer. L'atmosphère lourde et le silence pesant fait signe à mes parents de quitter la cuisine, ce trouvant juste à côté du salon à air ouverte, afin de nous laisser discuter rien que tout les deux. Ils s'exécutent, et je soupire. Elle prend une grande inspiration, ramenant une fois de plus l'une de ses mèches derrière son oreille, qui retombe tout de suite après puisqu'elle a la tête baisser.
- Ont doit parler denki.
1325 mots
[ c'est ma première fanfiction MHA, je n'ai pas encore écouter l'animé au complet, donc pardonner moi si certain personnage ne sont pas conforme... j'espère que vous aimerez l'histoire et que mon style d'écriture vous conviendra. Je tiens à préciser tout de suite qu'il est dur d'insérer l'écriture dans mon horaire, il est donc plausible que je ne publie pas régulièrement... veuillez me pardonner à l'avance.. sur ce, à bientôt :) <3 ]
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Cœur Renouveler
FanficFanfiction MHA ship shinkami Une histoire d'amour qui ce développera lentement lors de la rentrer à UA suite à une nouvelle déchirante lors d'une si jolie journée. Cette histoire sera suivie par Denki Kaminari, avec exception le point de vue d'Hitos...