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Denki

Non, je n'avais pas rêver. Il y avait bel et bien un homme embrassant à pleine bouche kyoka sur le divan. Elle était assis sur lui, même que ses hanches bougeait légèrement. Même la deuxième fois que j'ai ouvert la porte ils ne m'ont pas aperçu. Ces deux là sont tellement victime de l'excitation qu'ils n'ont aucune conscience de ce qu'il ce passe autour d'eux. Mon coeur ce resserre. Je m'étais imaginer un tat de possibilités, mais jamais je n'aurais penser la retrouver activer un mec. Ça fait mal, ça brûle.

Je me racle la gorge, histoire d'attirer leur attention, mais aussi en espérant chasser cette boule destructrice qui ronge mes voix respiratoir depuis tout à l'heure, s'amplifient à chaque seconde qui s'écoule. Les deux sursautes de manière synchroniser, s'éloignant de quelques centimètre, comme pour me faire à croire que ça n'avais jamais eu lieux. J'aurais aimer le croire, malheureusement, ce n'est pas le cas, j'ai tout vue, sous mes yeux. Mon coeur s'accélère lorsque je croise le regard de Kyoka. Il s'arrête lorsque je rencontre ceux du garçon. Je ne l'avais jamais vue, je ne sais pas si ce n'est qu'une fois, vite fait bien fait, ou si elle le fréquente depuis bien plus longtemps que ce que je ne le pense, et je ne veux même pas le savoir. La plaie sur mon coeur s'est ouverte, aussi facilement que les volets s'envolant lors d'une tempête déchaîner. Le sang s'y égoute de manière aussi douloureuse que la propagation d'un venin dans les veines.

- Denki ? Je ne pensais pas que tu reviendrais aussi tôt...
Dit-elle d'un ton de voix timide.

- Je vois ça.
Dis-je, ma voix est glacial. Je n'ai pu rajouter autre chose, sachant que prononcer une lettre de plus déclencherait l'ouragan que menace mes pleures. Je laisse tomber le trousseau de clé sur le comptoir, retirant en même lieu mes chaussures. Je replace d'un geste tremblante mes cheveux d'un simple mouvement de main, tenant fermement la ganse de mon sac à dos. Je me dirige dans ma chambre. Par chance, nous les gardions séparer en cas de dispute. J'ai claqiet très fort la porte, puis je l'ai barrer. Mon lit m'a attirer comme une aimant, puis je suis fondu en larme contre mon oreiller. J'ai garder tout son pour moi, versant l'eau accumuler dans mes yeux. C'est si facile d'oublier l'amour de quelqu'un ? C'est une douleur indescriptible... Je me sens trahis. Qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour que la vie me condamne à ce martire ?

Oui j'avoue, c'est moi qui a poser l'épine sur le siège de mon professeur au collège.

Oui j'avoue, c'est moi qui a écrit au tableau que mon camarade a pété en collège.

Oui j'avoue, j'ai longtemps bien aimer imaginer mes "crush" en petite tenue ou complètement nue lorsque je m'ennuyais.

Oui j'avoue, j'ai menti quand j'ai dit à ma mère que j'ai renverser le vase de mami et ce n'étais pas son pauvre chat Gribouille qui a rien demander à l'âge de six ans.

Oui j'avoue, c'est moi qui a vider la boite de biscuit dédier au père Noël au réveillons à l'âge de dix ans. Mais j'ai été sage cette année là ! J'en avais laisser deux !

Mais tous ces tord et ces farces en vaut vraiment cette douleur ? Je me maudit ! Au diable les tours jouer à mes proches pour les faire rigoler ! Au diable les mensonges que j'aurais pu dire ! Au diable tout les tords j'ai pu commettre dans le passer ! Je vous en supplie, épargner moi cette souffrance ! Je ne le referai plus jamais, et je compte tenir ma parole si c'est le châtiment donner au fauteur.

Au bout d'une demi-heure de questionnement et de révélation offerte à moi même, je n'entendais plus aucun bruit dans l'appartement. Rien, mise à part la voix se disant rassurante de Jiro derrière la porte.

- Denki..? Denki je t'en supplie, ouvre moi... Je peux tout t'expliquer ! Ont discutera autour d'une tasse de chocolat chaud, même un café, ou un thé si tu veux ! Je te demande juste de m'écouter un peu...
Me dit-elle, la voix aussi douce que du cachemire. Elle n'avait pas grand chose à expliquer, j'ai déjà compris qu'il est visiblement plutôt simple d'oublier l'amour qu'ont a vouer pour une personne. Ce ton qu'elle entreprend me fend le coeur en mille morceaux. Kyoka l'utilisais lorsque j'étais en vois de crise de panique, ou encore pour me rassurer s'il m'arrivais de me réveiller suite à un cauchemars bouleversant. Cela me rappelle à quel point elle m'a chéri, qu'elle a pris soins de moi comme si je n'étais que de la porcelaine craquelé, et que maintenant, tout ça, c'est terminer.

J'ai fini par me relever avec tout l'énergie qu'il me restait, avant d'essuyer mes larmes dont j'ai honte d'avoir laisser couler. Je n'ai aucune raison de me sentir lâche ou bien faible, mais pourtant, c'est le cas. Je me suis approcher par des pas lourd et traînant jusqu'à la porte. Je l'ai ouverte, et devant moi, je retrouvais le visage désoler et compatissant de mon ex copine. Je préfère ces termes au lieu de dire pitié. La fille a la chevelure violette à afficher une moue triste, avant d'ouvrir les bras pour m'inviter à un câlin. Je l'ai refuser. Elle s'est pincer les lèvres, ce sentant probablement d'avantage coupable de ma peine.

- Un café ou un chocolat chaud ?
M'a-t-elle dit après un cours instant de silence. Je n'ai pas répondu immédiatement, j'ai réfléchi en regardant le sol. Le bois synthétique que recouvrait le plancher me semblais soudainement plus intéressant que tout le reste.

- Chocolat chaud...
Dit-je finalement. Je la vois depuis le coins de mes yeux hocher de la tête, et ce diriger vers la cuisine qui n'est pas plus loin que trois pas. Pendant ce temps, moi, je me dirige vers le salon, et m'y assois. Jiro reviens quelque minutes plus tard, me tendant ma tasse. Je recouvre mes paumes de mains des manches de mon pull, et l'entour de celles-ci. Je souffle sur le liquide chaud qui dégage une chaleur réconfortante, le regard vide, fixer sur la table centrale du salon. Visiblement, aujourd'hui j'ai une fixette sur le bois. Jiro s'installe sur le sofas opposer, et reste silencieuse un long moment, avant de prendre une gorger de son chocolat chaud qu'elle s'est aussi concocter.

- Tu sais Denki... Mes sentiments ont toujours été sincère... Tu n'as rien fait qui ai pu intercepter ceux-ci... Mais ces derniers mois, j'avais l'impression de m'efforcer, et de me convaincre même à t'aimer encore. Tu est quelqu'un de génial, tu as tous les qualités que cherches une fille chez son copain... Malheureusement, pour une raison que j'ignore, ces sentiments ce sont...

Je la coupe avant qu'elle ne poursuive.

- Envoler ? Je sais, j'ai crue le remarquer. Ce qui m'intéresse c'est : tu le fréquente depuis combien de temps ?
Ma voix étais franche et saccadé. M'entendre moi même parler me donnais des frissons dans le dos ; je ne me reconnaissais pas. Un énième silence enveloppe la pièce, devenant de plus en plus lourd sur mes épaules.

- Deux semaines... Avant aujourd'hui, il ne s'était jamais rien passer. Tu es arriver au mauvais moment...
Son ton étais faible, manquant d'assurance. Je contracte ma mâchoire, ce n'est pas la réponse que j'aurais aimer avoir.

- Alors, la raison dite ignorer, c'est lui.
Ce n'étais pas une question, une affirmation en suspend. Peut être que j'avais tord, mais peut être que c'était un fait. Dans tout les cas, j'attendais pe verdict. Il n'arriva pas immédiatement, tristement. Ce silence glaciale commence à faire grimper l'impulsivité à mes épaules, comme si des griffes me déchirais la peau.

- Je suis sincèrement désoler Denki... Si j'avais pu avoir un contrôle sur mes sentiments, je m'y serait empêcher, je te le promet...

Je la coupe une fois de plus.

- En plus, tu me proposes de discuter, mais tu n'assumes même pas la vérité ?!
Les griffes avait pris le déçu, la colère était trop intense, je devais m'en libérer. Kyoka sursaute, ne s'attendant visiblement pas à ma réponse sec et ferme. Effectivement, ce n'est pas mon genre de tout.

- Je ne voulais pas t'infliger plus de mal ! C'est déjà dur de ce faire quitter ! Je n'imagine même pas savoir ça en plus...
Elle avait effectivement pitié de mon état. Les griffes ont resserrer leur emprise, et m'ont ouvert la peau dans des entailles recouverte d'épines.

- Je m'en fiche ! Je m'attend a ce que tu sois sincère !
Dis-je en hurlant presque. Les évènement me dépasse de trop haut. Je ne supporte plus ce poids qui s'affaire sur moi.

- Denki je t'ai tromper !
Mon coeur s'est arrêter. J'entends presque le "bib" sonore dans les hôpitaux qui joue en continu lorsque le rythme cardiaque est à nul. Ma vision ce trouble, mais cette fois ce ne sont pas des larmes. Les mots prononcer joue en boucle dans ma tête, frappant chaque parois possible, augmentant de force à chacun de ses coups. C'est douloureux, ça brûle, ça déchire, des entailles ce font par milliers, je suis mentalement mutiler. Est-ce moi qui m'inflige cette douleur, ou est-ce l'effet qu'à la réalisation sur moi ? Je me suis lever rapidement malgré que les murs semblais ce rapprocher de mon corps. Tout tourne, encore et encore, de plus en plus vite. Je me dirige vers la porte sans dire quoi que ce sois de plus. Je l'ouvre sans vraiment savoir où je vais, puis mes jambes descende quatre par quatre les marches. Je cours. Je ne sais où mon corps m'amène, mais je sais que ce sera bien mieux qu'ici, face à Kyoka.

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Cœur Renouveler Où les histoires vivent. Découvrez maintenant