Il y a 3 mois... Dans un vestiaire...

443 24 1
                                    

Marinette : - Oublions, provisoirement, les 9

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Marinette : - Oublions, provisoirement, les 9.000 kilomètres d’éloignement, d’accord ?

Adrien : - Suis-je autorisé à me concentrer sur l’absence de distance présentement ?

Marinette : - Tu as le droit de te laisser tenter… Mais sans débordement !

Adrien posa les mains sur les hanches devant lui. Au moment où elle se cambra, il raffermit la poigne de ses doigts.

Adrien : - Tu testes mon self-control…

Marinette (confirmant sa cambrure) : - Je mesure ton seuil de tolérance avant de craquer.

Adrien : - Je suis un athlète… Très endurant !

D’une main, il effleura l’entièreté de sa colonne vertébrale pour enraciner cette position dans ses pensées.
La protubérance de son entrejambe rencontra son fessier rebondit.
Ensemble, dans un seul écho, ils laissèrent un gémissement échapper de leurs gorges.

Adrien : - Lève les bras au-dessus de ta tête

Elle obtempéra.
D’une main, il emprisonna ses deux poignets et son autre main se logea sur son ventre, sous le nombril.

Marinette : - Je ne te savais pas si dominant

Il pressa, de sa main, le bas ventre féminin contre sa virilité. Il entama un doux mouvement de reins.

Adrien : - Détrompe-toi ! Je lutte pour que mes mains ne tremblent pas et je combats mon stress qui noue tous mes organes.

Elle se libéra de son emprise et pivota face à lui.

Marinette : - Et moi, je résiste à l’envie de m’écrouler. Mes jambes s’entrechoquent sous cette tension.

Adrien (murmurant) : - Laisse-moi y remédier.

Il inséra son genou entre ses jambes pour les écarter. À tâtons, ses mains agrippèrent l’arrière de ses cuisses. Telle une plume, il la souleva pour la plaquer contre le mur.

Tout en enroulant ses jambes autour de la taille du mannequin, elle l’attira par la nuque pour qu’il ait sa bouche dans le creux de ses clavicules.

Il entama un long cheminement de baisers de ses épaules jusqu’à son oreille. En passant par la peau fine de son cou, il s’arrêta, deux fois, pour aspirer cette texture entre ses dents ce qui marquera les traces de son passage.

Soudain, le blondinet se figea et se redressa.

Adrien : - Non… Mais c’est une blague !

Marinette : - Qu’est-ce qu’il se passe ?

Adrien : - Ecoute…

Elle se concentra et essaya de percevoir ce qui perturbait son compagnon.
Elle entendit une répétition régulière de coups… accompagnée… de gémissements… qui n’étaient pas les leurs.

L'intrusion du désir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant