Island Paradise

26) les ombres de la mort

2 mois plus tard : Paris 15eme arrondissement

Juliane :

On connaît bien cette chanson que la pluie a bon don de nous donner.

Le parapluie tenu par ma main droite et de l'autre main mon sac noir. Je longe les rues de Paris. Les jet de pluie claque contre mon parapluie et même si il n'est que 17heure presque aucune lumière n'apparaît au grand jour. Seul le reflet bleue et gris des nuages nous ai donné.

Et rien d'autre que ça ne peut me rendre triste et heureux.

Mes chaussures auparavant blanche sont maintenant noirci par les flaque d'eau que j'enjambe. J'arrive dans quelque minute , le regard sur Google Maps. Je me demande toujours pourquoi je n'ai pas passer mon permis alors que j'ai le code de la route.

Le vent passe sur mon visage , ça devient de plus en plus difficile de marchait. J'entends les gens se plaindre sous leur parapluie , je dois être le seul qui se fiche complètement du mauvais temps. Sérieux la pluie c'est pas un drame.

Une personne s'arrête devant moi et j'aimerai bien passer ma route

- Euh bonjours le saluais je assez pressé

- Vous êtes bien Juliane Galpatrio ?

Encore un fan , moi qui pensait que même dans ce temps merdique personne ne viendrait me dérangé et surtout qu'après 1 mois le fan-club de Islande paradise sois éteint. Mais non , ça continue encore.

- Vous devez vous tromper , bonne journée

Malgré mon agacement je garde ma politesse et reprend mon chemin.

C'est fou comme ce genre de personne peuvent être énervante.

J'arrive enfin devant l'endroit où je dois me faire interviewer après des jours et des jours de harcèlement sur les réseaux, j'ai fini par accepter de parler de cette histoire.

Je salut le monsieur de l'accueil

- Je suis un grand fan de vous monsieur et sachez que vous avez tout mon respect.

Je me fiche de sa pitié , je veux juste terminer ça au plus vite comme une vieille paperasse. A la place de lui dire ça je lui répond avec un grand sourire

- C'est quelle salle ,je vous pris ? Demandais je en changeant vite de sujet

- Salle 118 première étage porte à gauche , bonne chance.

- Je ne crois pas en la chance mais merci , bonne journée à vous.

Je me dirige vers la salle en me rappelant de ses instruction et toque à la porte . 2 minutes s'écroulent et je suis toujours devant.
Je ne suis pas une célébrité mais je n'aime pas non plus me faire attendre d'autant plus que je suis a moitié tremper dans mon costar cravate. Je râle , je soupire. Je n'ai pas toute la journée bon sang !

Je m'apprête à toquer une seconde fois quand la porte s'ouvre enfin.

- Désolé Juliane Galpatrio.

En dirais que toute le monde a pris plaisir à m'appeler par mon prénom et par mon nom au complet. Déjà qu'avant on se permettait de me tutoyer parce que j'étais un ado prépubaire mais maintenant on m'appelle par mon prénom comme si on me connaissait vraiment.

Je soupire et rentre sans plus tardé. Je dépose mon sac contre le mur et retire ma longue blouse noir et mon chapeau sur le ceintre, digne des années soixante.

- Installez vous.

Je m'assois en face des journaliste. Trois micro sons déposé sur la table. Ça me rappelle mon interrogation chez les flics le jour où on a été sauver.