Birmingham

Chapitre 1 : le respect.

J'ai trouver ce que je chercher grâce à ce que John m'a apporté hier, et je dois maintenant m'entretenir avec Alfie Solomons. J'espère pouvoir vite retrouver ce monstre qui a tuer ma mère et le lui faire payer. Et comme par hasard je vais devoir allée voir monsieur Solomons avec qui ? John et Thomas bien sûr. Habituellement quand je dois allée quelque part avec les frères Shelby c'est Arthur et Thomas qui m'accompagne. Ou Thomas seul. Mais John ne voulais jamais venir et on s'éviter vraiment comme la peste. C'était beaucoup mieux comme ça, je n'avais pas à essayer de ne pas penser à tout nos souvenirs et à ce que je ressentais. Je n'avais pas à être sarcastique et froide avec lui, et je dois dire qu'avec Arthur et Thomas c'est toujours très agréable de converser. Je les aimes beaucoup. Depuis toutes ces années je peut dire qu'ils sont comme des frères pour moi et ils m'ont montrer à des centaines de reprises que je suis vraiment de la famille aussi pour eux.

Je respire un coup et jette ma cigarette part terre en de reprendre un peu de courage et donc comme prévus je les rejoins dans le petit salon privé du Garrison. J'entre et m'installe à côté de Thomas qui est déjà là. John n'est pas là pour le moment et tant mieux. Je dois dire que ça me rassure d'arriver avant lui.

Thomas : aaah voilà ma petite blonde préférée ! Comment tu te sent aujourd'hui ?

Tamara : mieux qu'hier en tout cas. Merci de m'aider vous étiez pas obliger.

Thomas : non je ne veux pas que tu me remercie c'est normal. Tu a pris deux balles pour moi, une pour Arthur et tu t'ai fais torturer à la place de John. On donnerais tous notre vie ici pour toi.

Je sourit et m'assoit à côté de lui, il sourit en retour et je sent dans son regard qu'il est vraiment content de me voir. Ces hommes sont tout ce qu'il me reste, tout ce que j'ai. Ma famille. C'est vrai que j'étais à deux doigt de mourir plusieurs fois pour eux mais c'est comme ça c'est ce qu'on fais pour la famille. J'aurais préférée mourir que de les perdre. Et sans que je ne comprenne il me prend dans ses bras pour une étreinte chaleureuse qui me fais vraiment du bien. C'est vrai que cela faisait plusieurs mois que nous ne nous étions pas vue et ce n'était pas dans nos habitudes. Nous avons toujours été proche et nous avons tout fait ensemble, alors le manque ce fait ressentir quand une personne que vous voyez tout les jours n'est plus la du jour au lendemain.

Il me sert un peu plus et notre étreinte est soudainement interrompu part la porte du salon qui s'ouvre et se ferme. John.

John : désolé je tombe mal peut-être ?

Je sent dans sa voix qu'il est irrité, un peu énerver. Je sais qu'il n'a jamais vraiment compris ni aimer la complicité que j'ai toujours eu avec son frère et je le peut le comprendre. Mais je sais qu'il a ce côté de lui très jaloux et je pense que nous voir comme ça ne lui plaît pas forcément.

Thomas : Du tout, on t'attendait. Viens t'asseoir.

Ils s'échangent un regard froid et John viens s'assoir à côté de moi. Son parfum prend place dans toute la pièce et je ne sent bientôt plus que celui-ci. La serveuse entre et nous sert pour repartir de suite après. Bien sûr John ne s'est pas retenue de complimenté cette dernière, je ne sais pas s'il l'a fait exprès ou s'il le pensait réellement mais je pense qu'il l'a fait exprès puisque son regard quand elle l'a remercier était lourd de sens. Je sais qu'il aime jouer, surtout quand il est en colère mais je pense pas que ce sois une bonne idée.

Thomas-bon, pour vous prévenir Solomons sera présent ce soir une fois que tout le monde sera partit. On ferme vers une heure trente.

John-est-ce que tu as eu le temps de lire tout le dossier ?

Tamara-oui oui. Je n'avais rien à faire alors j'ai tout lu. J'ai appris pas mal de chose d'ailleurs et je sais que c'est Alfie qui pourra le retrouver.