IV. La beauté de l'univers

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Le poète un soir se décida
De faire un tour dans la nature.
La beauté qu'il vit le captiva
Qu'il se perdit dans son aventure.

A cette heure le soleil couchant
Donnait à tout un air alléchant.
Ce soleil rouge comme le sang,
Semblait confier à notre passant

Un secret très important
Qu'il ne compris pas en ce temps.
Autour de lui les fleurs dansaient
Sous l'action du vent qui soufflait;

Un vent si doux et si calme,
Que notre poète fondit en larme
Et dit: "Ô Ciel si je fais un rêve,
Permet que jamais il ne
s'achève"

Ce n'était pas un rêve, mais une réalité.
Ôh quelle paix! Quelle tranquillité !
Il entendait le gazouillement d'oiseaux,
D'un autre côté, celle des ruisseaux.

Il vit en ce lieu la beauté de l'univers
Qu'un œil sensible voit en ce monde vert.

Le poète solitaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant