chapitre 8: l'héritière

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Je ne comprenais pas les mots qu'elle prononçait, je ne connaissais pas cette femme. Je ne me souviens pas d'une vieille dame qui vis dans un château seul et qui n'aime pas le thé mais , qui en prend quand même, bien qu'elle met trop de sucre et ne craint pas le diabète. À cet instant, j'ai cru avoir une illumination, c'était comme si, mes souvenirs revenait et je me souvenais enfin de cette femme, celle qui me chantait des berceuses, et qui me nourrissait. Celle qu'on m'avait interdit de voir dès mon plus jeune âge, celle que j'attendais depuis un moment.

Snaty : Mamie silivan !

Elle : ma petite fille adorée.

Je me jéttais dans ses bras et lui fit le plus gros un long câlin du monde toute en fondant en larme. Ça faisait trop longtemps que je ne l'avais pas vu et revoir son joli visage me rendait très heureuse.

Mamie :  comment vas tu ma grande ?

Snaty : bien, mal, je ne sais pas.

Je fondais en larme, ça faisait un moment que personne n'avait pensé me demander comment j'allais. Je sentis mon cœur se serré, et mes battement devînt irréguliers. J'avais l'impression, je savais que rien n'allait, tout allait mal.

Mamie me pris dans ses bras pour me rassurer, elle me répéta  de me calmer et sentir sa chaleur me calmait, ça faisait super longtemps que je n'avais pas ressenti une présence féminine dans ma vie. À vrai dire, je ne l'ai jamais eu car ma mère était morte après m'avoir mis au monde et mes nounous ne faisait que leur travail, sans oublier ma belle mère qui était plus une amie instable dont je devais m'occuper.

Mamie a attendu que je sois super calme pour que nous puissions parler calmement, et j'ai commencé à tout lui expliquer.

Snaty : on m'a appelé il y a quelques jours pour me faire par de la mort de Mar .. papa. Dès mon arrivée, j'ai rencontré mes démi frères et sœurs. J'arrive pas à croire que je ne suis pas fille unique. J'avais des larmes pleins les yeux, mais je continuais, le plus âgé s'appelle Ken et il est d'origine russe. Il a un cabinet d'avocats. Puis , il y'a les jumeaux , ils sont irlandais. Dani est banquier et mila est décoratrice. Après, il y'a leonne , elle est mexicaine et son seul boulot c'est être riche.
Mamie, j'ai l'impression d'être le vilain petit canard, ils sont tous très beaux et attirant.
J'ai aussi appris que papa était presque ruiné et que ces affaires allait super mal.
J'ai aussi rencontrer ses amants et tout le village le déteste, il le voit comme le diable et Pense qu'il traine dans des trucs louches.
J'ignore quoi faire Mamie , je suis perdu.

Elle m' écoutait sans m' interrompre, elle me laissait pleurer et vider mon sac, ce que j'avais fait . Je me sentais libre maintenant. C'était comme si un poigt énorme venait de quitter ma poitrine. Je me senti toute légere et je tombais dans un profond sommeil.

Point de vue neutre

Dans le manoir des silivan

Leonne, Mila , Ken et Dani était dans le bureau de Marcus a se demander où était leur sœur.

Leonne : je n'arrive pas à croire qu'elle a disparue, j'ai hâte qu'elle revienne pour qu'on enterre ce vieux fou et que je touche à ma part de l'héritage.

Mila : Tu n'est pas censé jouer à la fille attristé par la mort de son géniteur ? Tu me déçois florès.

Ken : arrêté tout ça. On sait tous que Marcus n'a donné à aucun de nous son nom de famille pour éviter qu'on s'entre tu , mais , il a également commis une erreur, c'est de penser qu'on allait se contenter des miettes.

Dani buvait, et fumait à côté sans prêté attention à ce que disait ces frères, on aurait dis qu'il s'en foutait.

Mila : je n'arrive pas à croire que snaty soit le genre de fille qui ne s'est pas s'affirmer. Vous avez vu sa réaction lors qu'il fallait choisir le cercueil ? On aurait dis qu'elle était de trop.

Leonne : c'est comme si...

Dani lui coupa la parole pour dire.

Dani: comme si elle n'avait pas reçu le même éducation que nous.

Mila : que veux tu dire ?

Dani : vous n'avez donc rien remarqué ?

Ils bougerent leur tête de gauche à droite pour dire non.

Dani : elle réagit tout le temps comme si , tout ce qui lui arrivait, était sa première fois. Comme lorsqu'on lui dis bonjour. C'est comme si, on ne lui avait jamais porté d'attention avant.

Leonne : je ne comprends rien

Ken pris un air sérieux avant de dire

Ken : c'est impossible, c'est elle l'héritière de toute la fortune des silivan.

Dani : je pense que notre chère sœur n'est pas prête à régner.

Mila : si elle ne peut le faire, on peut l'aider nous

Leurs visages avait un sourire malsain, comme si ils ne prévoyaient rien de bon .

Cependant, Dani paru très triste et dis tout bas sans que personne ne l'entend

Dani : aucun de nous ne peux prendre sa place, on n'est bon qu'à tous détruire et snaty est la seule qui peut nous guider. Nous sommes semblables à un troupeau, et il nous faut un chef, reviens vite snaty, avant qu'on s'entre tu.

Dans la maison de mamie silivan

Snaty vient d'ouvrir les yeux, suivi d'un léger bâillement. Ça faisait si longtemps qu'elle n'avait pas au temps dormi. Elle sortit de son lit et alla vers la salle de bain.
Après s'être doucher et fais ses petits besoins, elle pris  une jupe noire taille haute qu'elle porta avec une chemise blanche bien enfiler avant d'ajouter un contre veste et des talons. Elle ressemble à une vraie femme d'affaires.
Elle rejoint sa grande mère dans le salon et celle ci lui dis.

Mamie : je sais que tu es perdu, mais tu dois être forte. Ton père t'as éloigné de tout sûrement par colère car il te tenait responsable de la mort de sa femme qui est ta mère. Mais sache qu'il t'a aussi laissé tout les droits.
Tu peux choisir de partir et retrouver ta petite vie simple, monotone et vide de sens , tout comme tu peux décider de prendre ta vie en mai et de te faire entendre. Snaty, tout ceux qui sont venus pour l'enterrement de ton père n'attende qu'une réaction de ta part. Tu peux faire comme moi et remplacer ton père ou t'en aller et tout abandonner. Mais , sache que si tu t'en vas, tu ne pourras plus revenir. La famille silivan est une famille qui ne pardonne pas. Cependant, si tu restes, je t'inviterai à changer les choses à mes côtés.

Je rendais compte d'une chose, j'ai toujours su quoi faire, mon père me le disait toujours bien que , je ne le comprenais pas.mais je savais aussi que si je faisais ce que lui voulais, beaucoup de gens seront des victimes.
Je ne suis pas mon père qui était prêt à me libérer de la famille pour que je choisisse ma vie, je suis Marie Santy silivan, et je sais ce qui me reste à faire.

l'enterrement😳😳😳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant