chapitre 11: elle nous est revenu

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aucun droit me mis dans une rage folle et je criais.

Snaty : j'ai tout les droits.

Face à cela, un silence de mort s'installait. On aurait dis qu'il attendait la suite, et c'est la que j'ai compris que j'étais un meneur.

Snaty : j'ai tout les droits, car, je suis chez moi.

Cette femme ce mis à rire et en entendait sa voix dans toute la pièce, et elle dis.

Elle : la petite silivan pense être une des nôtres.

Tout le monde se mis à rire et un homme me mis pris le bras pour me sortir d'ici, je criais alors.

Snaty : certes, je suis une silivan du côté de mon père, mais, ils me regardaient tous et je continuais, ma mère est une des vôtres, d'où je vais me répéter, j'ai tout les droits.

L'homme s'arrêta et un des vieux me demanda comment s'appelle ma mère.

Snaty : Marie, Marie clawford.

Le silence s'installa ensuite, il n'y avait aucun bruit, on pouvait entendre les battements du cœur de toutes les personnes présentes. Une femme, ma grande mère maternelle pris la parole et brisa ce silence.

Rose : ne joue pas à sa avec moi Snaty, tu m'avais dit il y a quelques jours que tu n'étais pas Marie, pourquoi ne pas m'avoir parler du fait que c'était ta mère ce jour là.

Je lui répondis avec une petite voix.

Snaty : c'est simplement parce que je l'ignorais jusqu'à il y a quelques heures.

L'autre femme pris la parole.

Elle : comment pouvais tu ne pas connaître le nom de ta mère ? Comment veux tu qu'on te crois qu'on tu nous dis que Marie a un enfant avec le démon ? Pourquoi n'est elle jamais revenu ?

Elle avait crié en posant sa dernière question, un peu comme si, elle tenait beaucoup à ma mère et que cette dernière lui avait trahi.

Snaty : j'ai toujours connu ma mère sous le nom de  Sage silivan, et  je souflais avant de dire d'une voix triste et tremblante, ma mère, n'est plus depuis une vingtaine d'années.

Je sentis mon cœur se serré, et rose se Jetta dans les mains de l'autre femme, avant de se mettre à pleurer. Tout le monde était triste.

Pendant que tout le monde pleurait, une gamine vêtu d'une robe blanche sans aucun dessin se leva et commença à chanter.

Oh soleil de nos vies, lumière des ancêtres.

Joie de notre village, espoir du futur.
Le jour s'en va, laissant place à la nuit.
Ce qui était n'existe plus aujourd'hui, on est triste, les larmes aux yeux notre vie est fini.

Ton départ laisse en nous un manque immense,  on est perdu ne sachant plus quoi faire.
Apporte nous , un espoir futur, ça ne peut pas se terminer.

Aller mes amis, prenons nos armes, préparons nos troupes, après la douleur, il y'a quoi ?

Affrontons l'inconnu, avançons tête baissée , car plus rien ne nous retient .

Le froid s'en va, la chaleur arrive.
Qui aurait cru que notre championne disparaîtra, je n'y croyais pas.

Aller mes amis, prenons nos armes, préparons nos troupes, après la douleur, il y'a quoi ?

Affrontons l'inconnu, avançons tête baissée , car plus rien ne nous retient.

Ils pleuraient tous, et moi j'ignorais quoi faire, ma mère ne me manquait une pendant la femme des mères.
Je ne l'avais jamais connu, elle était pour moi, une étrangère à cause de qui , j'avais perdu mon père.

Après un moment, la fille fini sa chanson et rose me demanda comment était elle morte, je lui expliquait qu'elle avait eu des complications pendant l'accouchement et à ce moment là, je vis son visage rayonné.

L'autre femme pris la parole.

Elle : c'est une vraie guerrière, même si elle savait qu'avoir un enfant lui ôterai la vie, elle l'a quand même fait, elle nous a laissé un espoir , elle me pris dans ses bras avant de crié Marie nous est revenu sous le nom de ...

Elle me regarda avant de me demander mon nom, ce qui fit rire la foule et moi avec.
Cette femme est folle.

Nous allons dans la maison de blue elle , moi , rose et les vieux, pour parler. Ils m'en fais comprendre que blue n'avait aucun accord avec Marcus. Donc, sa maison lui appartenait.

***

Nous étions dans le salon de blue, et un homme pris la parole.

??: c'est bien beau que tu sois la fille de Marie, mais , tu es également l'enfant du démon d'où tu peux comprendre qu' on ne te fasse pas entièrement confiance.

J'hochais la tête, puis il continua.

??: et je pense que tu n'étais pas venu pour nous dire cela.

Snaty : à vrai dire, j'ignorais qu'il fallait être de chez vous pour parler. J'étais venu car, je pensais, non, j'ai une solution qui pourrait être bénéfique non seulement à vous , mais aussi au entreprise silivan.

Ils me regardèrent tous avec méfiance et l'homme pris la parole.

??: nous ne pouvons pas faire confiance aux silivan.

Snaty : je l'ai bien compris. À vrai dire, je pensais également la même chose, cependant, je sais que si je n'agit pas, non seulement vous serez des sans abris mais , les entreprises silivan et le commerce de tout le pays n'existera plus.

Je soufflait un peu avant de continuer.

Snaty : j'ai récemment appris que c'était moi l'héritière de la famille silivan et je ne peux pas abandonner les silivan et le village. Ma proposition est la suivante : le village est lieu touristique qui peut faire des millions et un bon endroit pour le commerce.
Les entreprises silivan et moi sommes prêts à investir dans tous vos commerces ou moyens de revenu, nous aurons droit à 50% de vos revenus et vous pourrez ainsi vous acquitter de vos dettes et reprendre possession de vos terres.

??: mais , dans ce que tu as dis , je ne vois guère le travail que vous faisiez si ce n'est investir.

Snaty : nous allons faire la publicité du village, nous allons faire connaître le village pour attirer les habitants du monde entier, je sais que vous ne faites aucunement confiance à la silivan en moi mais , faites confiance à la fille de Marie s'il vous plaît.

l'enterrement😳😳😳Où les histoires vivent. Découvrez maintenant