The Tears of the Anger

Chapitre 26: Déprime

Timeline: Few Days After, on the morning 

Wordcount: 1318 

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Vous vous rappeler quand je vous avais dit que papa avait tout fait pour que je puisse avoir les moyens de me trouver avec lui ? Ben, il avait fait, mais à la différence d'avant, c'était que j'étais une proie facile. Papa devait beaucoup plus me protéger que d'habitude et je ne pouvais pas changer cela. On ne connaissait aucun chasseur en fauteuil qui pouvait m'aider avec mon problème et ça, j'en étais bel et bien consciente. Oh bon sang mes jambes me manquer tellement. Je voulais revenir au temps où j'avais, mais maudite jambes. Ce matin, papa était parti sans moi et je ne comprenais pas pourquoi. Je m'étais retrouvé toute seule, je regardais autour de moi totalement perdu en pensant que papa m'avait abandonné. Je sanglotais en tremblant comme une feuille quand je ne voyais pas son sac, j'avais tellement peur ! Je voulais papa pourquoi il n'était pas là !!! Quand j'entendais le verrou, j'attrapais difficilement mon arme et je le voyais. Sur le coup, quand il voyait mon état, il lâchait son sac en voyant mon état pensant que j'avais mal quelque part alors il se plaquait contre moi

"T'as mal quelque part mon ange ?!!! Tu saignes ! Tu dis moi mon bébé !!" Papa me disait

"Non non" Dis-je en pleurant

"Mais alors pourquoi tu pleures mon ange adoré ?" Papa me disait en me rassurant

"J'ai cru que tu m'avais abandonné" Répondis-je en pleurant

"Quoi ? Non jamais !!! J'étais partie nous chercher à manger mon ange !!!" Papa me répondait en me serrant dans ses bras en larmes.

"J'avais tellement peur" Répondis-je en pleure

Papa en entendant mes fleurs pleurs et le pourquoi j'étais dans cet état, il me serrait plus fort en caressant mes cheveux. Je pleurais contre lui en tremblant comme une feuille, j'avais vraiment cru que ce que la mort m'avait dit était réel... J'avais vraiment cru que j'avais perdu une moitié de ma vie... Déjà que celle que j'avais maintenant était merdique, car je voulais que papa ne soit pas triste si je mourais, mais alors là... Je me trouvais tellement conne de croire que mon père avait pu une seule seconde me laisser de côté. Quand j'arrivais à me calmer, je restais blottit contre mon père en tremblant comme une feuille, car je venais vraiment de croire ce que la mort m'avait dit. J'avais juré que je ne le ferai pas, mais maintenant, je me rendais compte que je le faisais dès que j'avais un moment où je me retrouvais seule et ça faisait tellement mal ! Il me sortait des draps avant qu'il ne se cale avec moi dans le lit en me rassurant. Oui, on peut dire que je ressemblais à un gros bébé, mais maintenant, je me sentais tellement conne... Je me sentais nul pour papa et ça, je ne pouvais pas dire le contraire. Je le ralentissais dans son ce qu'on faisait, je le ralentissais pour venger maman et maintenant, je me sentais tellement nul et conne. Papa me fera toujours comprendre que je le suis, car pour lui, c'était sa faute, j'avais pris du temps à le comprendre qu'il se sentait coupable. Après tout, il n'avait rien pu faire pour que je puisse m'en sortir indemne. Mais ce n'était pas sa faute, je l'avais vu comme un responsable du fait que je n'avais plus de jambe !!! Quand je pensais ça, j'avais le réflexe de le serrer plus fort dans mes bras vu que je pouvais bouger que ça et mon père me rassurait autant qu'il pouvait. Je me rendais compte que dès que je n'étais pas avec papa, je paniquais... C'était tellement pire qu'avant, je savais que c'était pire, car clairement, avant, je pouvais rester seule, mais maintenant, je me rendais compte que je ne pouvais plus sans que je ne panique. Je restais dans ses bras en caressant doucement son bras quand j'arrivais enfin à me calmer. Mon corps tremblait comme une feuille, mais papa ne bougeait pas d'un poil. J'avais tellement pas envie de bouger, j'avais peur de tout maintenant... J'avais peur de perdre mon père, j'avais peur de perdre ma vie et je ne savais pas comment je pouvais changer cela.

"Pourquoi tu me dis cela ma chérie..? Tu tu as vraiment que je pouvais t'abandonner comme cela... ? Tes frères t'ont dit quelque chose à ce sujet que tu dis cela ?" Papa me disait en me serrant dans ses bras

"Je... Tu dois me croire si je te raconte cela..." Répondis-je en larmes

"Je te crois toujours ma puce" Papa me disait

"Quand j'étais dans le coma... Je voyais une vie avec toi maman... Et tout le monde... Mais maman me détestait et nous on passait tout notre temps ensemble... Puis quand ça, c'est arrêté, j'ai vu la mort en personne... Il m'a montré toi... à mon chevet et il m'a dit que j'étais paralysée et tout le reste que j'ai aujourd'hui et il m'a dit que tu m'abandonnerais alors j'ai dit oui mais maintenant j'avais peur..." Répondis-je en larmes

"Oh ma chérie... Je ne voulais pas que tu croies une telle chose, jamais je te laisserais... Jamais mon bébé... Je t'aime tellement et tu le sais en plus, ma chérie" Papa me disait en versant des larmes

"Mais je suis un poids mort pour toi" Répondis-je en pleurant

Il me serrait plus fort dans ses bras en entendant ce que je venais de dire. J'avais tellement peur, je ne voulais pas perdre mon père et il venait de me dire qu'il ne le ferait pas. Je me sentais tellement rassuré qu'il me dise que je ne resterai pas sans lui. Je ne me voyais pas avoir une vie où je ne serais pas avec mon père. J'avais dit oui pour vivre avec lui et maintenant, je me retrouvais avec mon père. J'avais l'impression qu'il faisait tout pour se faire pardonner, mais je ne comprenais pas. Il n'avait rien a envié à moi ! Il n'était pas responsable, il le savait que celui qui était responsable n'était que ce démon qu'on ne pouvait blâmer personne d'autre !! Je restais blottit dans les bras de mon père que je regardais quand même. Il se mettait à sourire quand il voyait que je le regardais, mais je finissais par me dégager pour lui attraper le sac où il avait pris la nourriture, car j'avais appris quand même à me servir de mon haut de mon corps !! Puis j'avais faim ! Papa m'aidait à sortir ce qu'il me fallait et moi, il me calait dans ses bras. Je me sentais bien alors je voulais manger. Oh, si mes frères nous voyaient, mon père détestait qu'on mange sur le lit, mais maintenant, on le faisait tout le temps fin même moi, il le faisait, car il savait que je n'en mettais pas partout... Il m'avait pris tout ce que j'aimais que ce soit du Nutella, du jus de groseille, des tartines... Bref, papa était le champion du monde en ce qui concerne les petits-déjeuners... Je devais bien l'avouer que c'était la meilleure des choses, c'était tellement bon tout ce que j'avais le droit depuis mon hôpital... Je savais et je le répète encore que papa à l'heure actuelle cherchait mon pardon, mais comme je l'ai dit, je ne lui en voulais pas... Je n'en avais jamais voulu à papa et je savais qu'Iris plusieurs fois l'avais fait. Elle m'en voulait pour leur séparation et le fait que papa se trouvait comme une glu avec moi. Je m'en voulais terriblement de ce qui s'était passé, je ne pouvais pas me pardonner pour ça... Pour une fois que papa arrivait à être heureux avec quelqu'un... Je me foutais de savoir si elle était surnaturelle ou tout simplement mortel. Je finissais par regarder dehors avant que je ne mange en restant dans les bras de mon père. Il était tout ce qui me restait maintenant.