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Saleeemmm !!!!

Policière : pas mal la cachette, aller on vous emmène au post de police...

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Souheyl m'a regardé avec un regard de rage, de haine, de mort, et est partit sans plus se débattre la tête baissée. Je savais plus où me cacher, ma mère est sortit en peignoir en pleurant de honte. Ce que j'ai vécu j'aurais jamais pu imaginer le vivre la scène me resteras à tout jamais gravé en mémoire. Je me rappelle d'avoir entendu dans les escaliers mon nom et celui de mon frère j'ai très vite reconnu Islam et je l'ai par la suite vue se faire retenir par la police à la sortit du bâtiment. En sortant j'ai vue tout les voisins nous regarder par la fenêtre tous parlais pendant qu'on nous embarquais.

La route a été super longue et silencieuse je savais qu'aujourd'hui allais être le début de la fin pour moi. J'espérais juste qu'il puisse relâcher mon frère et ma mère sans prise de tête. Tout ça c'était de ma faute qu'est ce que je suis aller fouiller dans le lit à mon frère, quelle idée d'aller prendre sa défense. Je me suis mise à pleurer mais à pleurer à chaude larme, elles coulaient seul je contrôlait plus rien. Je savais pas quoi faire ni quoi dire. Je comptais pas mentir et me mettre un stress pas possible je savais d'avance que le mensonge n'étais pas pour moi je vais donc dire la vérité et que la strict vérité. Je suis foutu je vais au moins essayer de faire sortir ma mère et Souheyl sans souci.
Je suis arrivée en dernière au commissariat j'ai vue ni ma mère ni Souheyl, on m'a isolé dans une pièce je sais pas combien de temp j'y ai passer exactement, j'ai passé mon temp à pleurer à réfléchir à ce que je vais dire et comment. Je pleurais tellement qu'une policière est venu me parlais elle était super gentille on a fait connaissance elle s'appelait Cassandra elle m'a beaucoup aider à prendre sur moi et je lui ai demander des renseignements sur Souheyl et ma mère mais elle pouvais rien me dire. J'ai fini par m'endormir à force de penser quand je sens quelqu'un me réveiller:

Cassandra: Mademoiselle ******
Moi: oui ?
Cassandra: vous aller passer à l'interrogatoire
Moi: comment ça ?
Cassandra: vous aller juste passer devant mon supérieur et lui racontez ce qu'il c'est passer exactement dans le moindre détails je vous déconseille de mentir parce que les menteur il les reconnais à bout de nez et sa va juste alourdir votre peine. Sa risque peut être d'être un peu long mais restez bien concentré bon courage.
Moi: d'accord merci beaucoup

Arriver devant la porte de la salle je fait une douaa que mon frère ma appris toute jeune « Allâhoumma La Sahla illa ma ja'altahu sahlan wa anta taj'all al hazan idha chitta sahlan » (je vous met la trad « Ô Allâh, rien n'est facile, sauf ce que Tu as rendu facile, et Tu es Celui qui, selon Ton vouloir, rend facile le chagrin ») je dit Bismillah et je rentre. Arriver je vois un homme pas dutout comme je l'imaginais, il était quand même assez jeune il devait avoir la trentaine et il paraissait assez sévère mais pas si méchant.

Interrogateur: bonjour Madame ****** tout d'abord comment aller vous?
Moi: bonjour, sa pourrais aller mieux et vous ?
Interro: ça va ça va, alors pourquoi vous êtes là aujourd'hui ?
Moi: ... je ... je ...
Interro: vous préféreriez que je le dise peut être ?
Moi: oui
Interro: alors vous êtes suspectée de « détention de stupéfiants à très grandes quantités plus exactement 15kg » alors c'est bien ça?
Moi: oui c'est bien ça

Et là je vais vous passez l'interrogatoire qui a durer pour tout et en tout 2h45. 2h45 où je faisait que de répéter la même chose, tout le long la même chose.

Interro: bon je pense que c'est tout bon pour moi, est ce que vous avez quelques chose à rajouter ?
Moi: non je pense avoir tout dit
Interro: d'accord voilà alors vos dires je vous invite à lire et à me dire si j'ai fauter quelque part et si tout est bon pour vous vous pouvez signer et ma collègue vous accompagneras à votre cellule
Moi: encore ?
Interro: oui madame vous n'êtes pas dans une petite histoire je vous le rappelle ici ça fait des années qu'on lutte contre le trafique de stup et 15kg c'est pas tout les jours qu'on en trouve. Vous serez néanmoins relâcher ne vous en faite pas.
Moi: ok d'accord

Chronique de Wyssem: « attend moi encore un peu... »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant