Partie 7:

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Bismilah

Maire: mademoiselle Aminta ***** voulez vous prendre pour époux monsieur ****** ici présent ?

Moi: oui ( applaudissements et cris de Joie dans la salle)

Maire: monsieur ****** voulez vous prendre pour épouse mademoiselle Aminta ***** ici présente.

*****: BEN WAII !! ( rire générale dans la salle )

Maire: alors je vous déclare mari et femme vous pouvez embrasser la marier
***** souleva mon voile puis se reprocha de moi et .............

D'un seul coup je me réveille.
C'est pas possible, ce n'était donc qu'un rêve, ça avait l'aire si réelle!!

Vous vous demandez sûrement qui était l'homme avec lequel je m'étais unis et bien .............................................

Je ne m'en rappelle pas moi même c'est bizarre je me rappelle de vraiment tout dans les moindre détails mais l'une des chose les plus importantes j'arrive à l'oublier. Je ferme les yeux et essaye de revoir le visage de mon mari mais en vain c'est impossible alors c'est toute déçu que j'essaye de me rendormir.
[.........................]

Les mains derrière la tête le regard dans le vide je pense, je n'arrive pas à dormir, je pense à ma vie, mon passé mon présent et bien-sûr mon futur.
Serai-je heureuse et épanouie un jour ?
Saurai-je pourquoi tout le monde me rejette et éprouve tant de haine envers moi ? Moi qui ne comprends absolument rien mais je n'ai aucune piste qui m'aiderai à savoir.
Et puis je repense à mon rêve
Me marierai-je un jour ? Trouverai-je l'homme parfait qui m'ai destiné avec qui je construirai une famille? Avec qui je traverserai les bons comme les mauvais moments ? Je revois le visage de Macki.
Ah Macki le seule homme sur qui j'ai vraiment poser un regard, à qui je mettais vraiment intéressée, m'aime t-il comme il me l'a dit en fin essayer de me le faire comprendre d'une façons toute à lui. J'espère qu'il est vraiment sérieux avec moi parce qu'il à mon cœur entre ses mains sans même le savoir et si il en joue trop ce petit cœur meurtris par les évènements de la vie pourrait s'éteindre à jamais, parce que je l'aime d'une manière , je crois que je pourrais mourrir pour lui. Si naïve vous vous dîtes ? Mais que voulez vous ? C'est l'amour et puis je n'ai pas eus à mes côtés un grand frère qui serais toujours là à me mettre en garde contre les garçons, qui serai la pour me protéger contre qui compte me voudrait du mal. Mais c'est la volonté de Dieu.
Là je ne retrouverais sans doute plus du tout le sommeille autant me lever non.
Je me dirige vers la cuisine et me rince le visage je regarde l'horloge et vois qu'il est presque 6 h, je n'ai pas vu le temps passer.
Alors je prends l'argent du pain posé sur la table du salon et m'en vais à la boulangerie.
[......]
Sur le chemin du retour j'me sentais suivis alors j'me suis mise à marcher plus vite lorsque je sentis une main sur mon épaule j'allais crier mais il mit son autre mains sur ma bouche puis me plaqua contre son torse ( j'étais dos à lui ) je bougeais dans tout les sens jusqu'à ce que je réussi à lui donner un bon coup dans ses partie et je me suis mise à courir lorsque que j'entends:
PUTAINS AMINTAAAA !!!
J'me suis directe stoppé mais cette vois j'la reconnais c'est celle de MACKI j'me suis retournée et me suis redirigé vers lui à toute vitesse.
Il était parterre replié sur lui même et se tordant de douleur.
En vraie la situation elle était trop marrante j'avais envie de rire si vous auriez vu sa tête MDR, mais je me retenais sinon je signais mon arrête de mort.
Alors je voulais lui proposer mon aide en lui tendant la main puis il me regarde, ça se voyait trop qu'il avait encore mal miskine.

Macki: j'suis pas un PD j'peux me l'ver tout seul là.

Alors il se lève difficilement et va s'assoir sur un banc en se dandinant. Faut dire que le coup que je lui ai donné c'tai pas un petit hein.
J'vais m'assoir à ses côtés toujours avec l'envie de rire mais cette fois qui a décuplé.

Personne ne parlait, lui il essayait de faire passer la douleur en respirant fort et moi ben je l'admirais.
Franchement il est vraiment beau, il a les sourcils froncé ce qui lui donne un certain charme.
Après quelque minute d'admiration il tourna la tête vers moi, merde il m'a cramé j'ai vite regarder ailleurs mais trop tard, il était en train de rire et moi aussi j'me suis mise à rire nerveusement à cause de cette situation gênante.
D'un seul coup il s'arrête de rire fronce encore les sourcilles et mît une grosse claque derrière la tête, j'peux vous dire que j'lai sentis.

Macki: grosse conne là , ça t'fais marrer de donner des coups au gens comme ça ?

Il l'a dit d'une façons alors là j'ai pas pu me retenir j'ai EXPLOSÉ de rire, j'pouvais même plus m'arrêter j'avais les larmes aux yeux.
Lui il avait une tête, ça s'voyais qu'il était choqué puis il fit un sourire en coin regarda droit devant lui et dit:

Macki:elle est sérieuse elle PFF, si j'arrive pas à t'faire d'enfant plus tard ça sera TA faute et j'te préviens on adopte pas.

Alors l'information a pris un peu de temps avant d'atteindre mon cerveau et quand j'me suis rendu compte de ce qu'il venait de dire ohlala, j'me suis stoppé net dans mon rire, il vient de parler d'enfant ce qui signifie peu être qu'il imagine fonder une famille avec moi plus tard, je n'en crois pas mes oreille.

Machi: ah tu rigole plus là, non mais j'suis sérieux là des bête de métisse MALIEN-MAROCAIN, avec de bête de yeux gris ah ça l'fait trop et puis...

Il arrêtait pas de parler de ''notre'' future avec '' nos enfants '', il parlait des montagnes de vêtement et chaussure de marque qu'il leur offrira et quel père protecteur et exemplaire il serra.
J'étais fasciné, hypnotisé même, je buvais et croyais toutes ses paroles,j'me sentais pousser des ailes avec lui, je l'aime.

Moi: Incha Allah

Bon je passe, on c'est séparer et je suis rentré.
Vers midi je commence à préparer le repas j'étais si heureuse, j'étais dans mes pensé quand je me suis coupé le doigts avec le couteau, elle était profonde je saignais vraiment, donc je partis me rincer le doigt sous le robinet
Mais le sang coulait toujours.
J'observais mon doigts immaculé de mon sang, je me rappelle quand c'était tout mon corps qui baignait dans, presque chaque jours ils prenaient un malin plaisir à me frapper, on dirais qu'ils adoraient ça de vois mon sang couler et de me voir le nettoyer avec la seul force qu'il me reste.
Mais quelque chose me gêne, ça fait un petit moments qu'il ne m'ont pas insultés ou frappé, c'est pas que ça me manque loin de là, mais c'est bizarre, on dirait que je suis invisible quand ils passent devant moi ils ne me regarde même pas, ils ne prennent même même pas la peine de me cracher dessus.
Un jour je transportais les assiettes pour les poser sur la table à manger et quand j'entra dans le salon Ahmed et kadidia étaient là mais ne parlaient plus, se qui est bizarre car juste avant je les ai entendu rire, est-ce moi qui l'est à pousser à arrêter de rire, ma présences les gêne sûrement et il ne veulent pas que j'entende leur conversations, tout 2 me regardaient droit dans les yeux et sur leur visage on pouvait apercevoir un gros sourire se dessiner, pas un sourire chaleureux qui te métrais en confiance, non loin de là plutôt un sourire qui fait froid dans le dos, c'est comme si il me métrait en garde contre quelques chose.
Alors je suis vite retournée dans la cuisine, ils me gênaient trop.
Je croit qu'il faut que je sois un peu vigilante car j'ai un très mauvais pressentiments ça c'est sur.

Suite plus tard
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J'vous explique, j'aurai pus la continuer mais je suis dans un hôtel ou internet est payant.
4 jours vaut 200 dirham, ils sont pas sérieux là donc j'ai pris internet pour 1 h et ils sont presque terminer donc je poste ceci et j'essayerais de convaincre ma mère pour qu'on ai internet un peu plus longtemps. Bye

Aminta: ma vengeance m'a conduite à la véritéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant