Chapitre 7 (Max)

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Cela va faire une semaine entière que l'attaque de l'école avait eu lieue et que cette mystérieuse femme avait enlevé Léa. Depuis lors je m'entraine jour et nuit pour pouvoir devenir plus fort ou tout du moins assez fort pour pouvoirs partir à la rescousse de Léa. A force de parcourir la forêt à la recherche d'indice me mettant sur leur piste je finis par la connaitre mieux que ma poche.

En se qui concerne nôtre hottage il a finis par se retransformer alors qu'il était encore inconscient. Il c'est avéré être un jeune garçon, il n'avait pas l'air plus âgé que moi et avait le teint plutôt pâle et les cheveux noir. Il ne s'est réveillé que trois jours après le combat mais ses yeux avaient changés de couleur pour devenir doré brut, ce changement était assez étrange mais le garçon n'opposa aucune résistance à répondre à nos questions. La femme était en réalité ne chuchoteuse, une chuchoteuse est une personne qui peut prendre le contrôle de l'esprit des loups par leur simple parole mais heureusement cela requiert plusieurs étapes différentes :

1àque le loup en question soit sois d'accord sois en position de faiblesse

2àque la chuchoteuse ait le niveau adéquate selon le rang du loup quelles envoutent

3àque les deux soient sur une même longueur d'onde

Le garçon était l'une de ses victimes et qu'il se souvenait de l'entièreté des événements et qu'il saurait même situer la tanière de la chuchoteuse. Mais il refuse catégoriquement de nous y accompagner en prétextant qu'il pourrait se refaire contrôler.

Je viens manger avec lui chaque midi pour qu'il se sente moins seul. Même si je dois avouer que je le fais aussi pour moi, depuis que Léa à été enlevée je n'ai personne avec qui passer mes midi, tout le monde continue m'éviter comme la peste, ils me voient comme celui qui a échoué à protéger tout le monde : 10 morts, 20 blessés et 1 disparut... Sa me fais plaisir d'avoir de la compagnie, même si certains pourraient penser que c'est bizarre d'aimer la compagnie de la personne qui a aidé à l'enlèvement de sa seul amie moi je sais qu'il n'y est pour rien et que se n'est pas de sa faute. Au fur et à mesure des repas nous avons appris à nous connaitre, il s'appelle Pierre et, sur le coup je me suis demandé si je n'étais pas devin, il avait bel bien mon âge. Mais malgré mes demandes et mes supplications sa réponse était toujours catégorique : il refusait de venir.

Deux jours plus tard j'en eu marre de toujours entendre la même réponse et je m'énervai, une dispute éclata lors du repas :

« - J'ai besoins de toi ! Tu es le seul à pouvoir me mener à la planque de cette chuchoteuse !

- Mais pourquoi ? Je peux très bien t'indiquer le chemin sur une carte et sa reviens au même !

- Nan ! Tu dois être présent pour que le duel soit valable ! Pour avoir le droit de se proclamer vainqueurs et récupérer Léa elle doit avoir la preuve que tu sois encore en vie et en bonne santé ! De plus si je gagne tu seras sorti définitivement de son emprise ! Si je gagne elle n'aura plus le niveau adéquat pour y parvenir ! »

Il se tut pendant quelques secondes comme si il hésitait à me demander quelque chose ou si il réfléchissait à comment tourner sa phrase sans être maladroit.

« - Mais... Et si tu perdais ? J'espère que t'y à pensé au moins ! Si tu perds toi et ton amie seront condamnées à la mort et moi je n'aurais d'autre choix que de retourner sous son contrôle !

- Bien sur que j'y ai pensé ! À ton avis pourquoi je m'entraine sans relâche ? Pour mettre toutes les chances de notre coter ! Si on perd on sera tout les trois dans la merde jusqu'au cou ! »

Il se tut de nouveau et moi également. Son expression était mitigée, je ne pus la déchiffré. Peut être y ai-je été trop fort, au lieu de lui crier dessus j'aurais dut lui expliquer calmement. Je m'approche de lui pour m'asseoir à ses coter et prendre ses mains dans les miennes. Je pris une grande inspiration avant de reprendre la parole :

« - En plus je suis sure que Arthur ne nous laisseras pas tomber.»

Je repris une pause et le regarda dans les yeux. Je pus y lire l'incompréhension et l'incertitude. Je pris le ton le plus rassurant que je pouvais :

« - j'en suis certain... »

A La Pleine LuneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant