𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟒 :

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Selem aleykoum mes starssss voilà le chapitre 14 :

Il ouvre alors la porte en grand et se rapproche doucement de moi. Je recule alors petit à petit de peur, pendant que lui continue de venir vers moi.

Il me faisais peur, il me regardait avec un regard de chien affamé.

- Younès arrête s'il te plaît.

Je tremblais de partout, alors que lui prenait du plaisir à faire ça.
Je continuais de reculer mais je percute le mur, j'étais coincée.

Younès : Juste un peu princesse.

Sa voix elle était bizarre, il était vraiment défoncé.

Il met sa main sur ma joue, mon souffle se coupe au contact de sa peau contre la mienne. Je grimace face à l'odeur du shit qui se dégageait de lui.

Il commence alors à avoir les mains baladeuses alors que moi j'étais pétrifiée de peur.
Il commence à remonter ses mains vers mon entre-jambe.

- Younès s'il te plaît arrête.

J'éclate en larmes après ça, je commençais à implorer الله et réciter la chahada.
Je croyais que c'était la fin, que ça allait s'arrêter là, qu'il allait me violer dans cette chambre d'hôtel.

Il met sa main sur mon cou et commence à serrer, je commençais manquer d'air.

- You-Younès j'arr-

Je peux pas finir ma phrase qu'il serre encore plus sa main. Je commençais à perdre connaissance a cause du manque d'air.

Je ferme alors les yeux en attendant la mort, je repense à tout ce qu'il s'est passé ces derniers temps. Moi qui pensais aller plus loin mdrr voilà que ça s'arrête là.

Tout d'un coup, je me sens tomber au sol. J'arrivais de nouveau à respirer, je commence alors à tousser à cause de mon mal de gorge.

Je voulais pas ouvrir mes yeux par peur de le voir devant moi.
Je reste alors au sol pendant une dizaine de minutes sans même ouvrir mes yeux. Je ne savais pas s'il était toujours là ou s'il était parti, et franchement je préférais rester dans le déni.

Après 15 minutes environ, je décide d'ouvrir mes yeux et je vois qu'il est pas là. J'essaye de me lever mais je retombe directement à cause du manque de force. Je réessaye encore une fois et cette fois ci j'y arrive, je me dirige alors vers la salle de bain.

J'arrive devant le miroir et je vois une grosse trace rouge violette sur mon cou.

« Putain, je vais cacher ça comment ? »

Je prend rapidement une douche et m'habille, je vais ensuite m'allonger sur le lit en ayant d'abord vérifier que la porte soit fermée à clé.

Je m'allonge sur le lit et m'endors directement.

Je me réveille ensuite en plein milieu de la nuit en sursaut, je transpirait à fond et je tremblais.

J'avais revu la scène, celle qui venait de se passer quelques heures plus tôt.
C'est horrible.

J'allume mon téléphone et je vois afficher 6h08.

Je vais alors prendre une douche, me prépare rapidement et sors de la chambre. Je rend les clés à l'accueil et sors de l'hôtel.

Je commence à marcher dehors sans savoir où j'allais, lorsqu'une voiture passe à côté de moi en me klaxonnant.

Je tourne alors la tête et je vois un garçon que j'avais encore jamais vu, quoique ptetre une ou deux fois au quartier.

? : Monte je t'emmène.

- T'es qui ?

? : Ayman, je suis un shab à tes frères.

- Nan merci je vais y aller toute seule.

Ayman : C'est à une heure d'ici à pied donc monte.

Je souffle alors et jete un coup d'œil à mon téléphone. Il étais 8h28 et j'avais 4%.

J'accepte alors et monte du côté passager tout en restant froide avec lui.

Alors qu'on étaient presque arrivés, il me dis.

Ayman : Qui t'a fait ça ?

- De quoi ?

Ayman : Dans ton cou hbiba.

Je grimace face au hbiba, tous des dalleux.

- Je me suis juste brûlée avec le lisseur.

C'était pas du tout crédible parce que je me lisse presque jamais les cheveux et en plus de ça c'était récent donc bon.

Ayman : Tu mens.

- Pas du tout c'est la vérité.

Ayman : C'EST QUI PTN !

Je recule face à son agressivité, et le regarde choquée du ton qu'il avait employé.

Il se calme et me regarde alors.

Ayman : Excuse moi hbiba. C'est juste que je supporte pas le fait qu'on touche à de si jolis yeux.

En disant ça, il met sa main sous mon menton en relevant mon visage vers lui. Il rapproche alors ses lèvres des miennes, je recule et sors de la voiture sans lui dire au revoir.

« Il est beaucoup trop bizarre. »

« Aime moi jusqu'à la fin s'il te plaît »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant