La Lumière De L'ombre

Une arnaque

            
       Salut 👋
Bon  c'est ma première histoire sur wattpad , après avoir lu beaucoup d'histoire j'ai voulu écrire la mienne J'espère que ça vous plaira

Pardonnez mes fautes d'orthographe

       Ça fait plus de 10 minutes que je suis en train de l'attendre dans la cuisine.

Dix putains de minutes pour qu'il mette un t-shirt, je ne peux plus de lui.

— J'espère que je ne t'ai pas fait beaucoup attendre. Dit-il derrière mon dos.

- Mais non pas du tout

— Tu sais, je vais finir par croire que tu me suis... Ou peut-être c'est le destin ?

Je me tenais fermement face à lui et expirais d'agacement :

- laisse-moi t'explique, tu as déjà reçu de moi quelques chose dont personne n'aimerait chez lui, à moins que tu ne sois stupide et que tu ne t'en soucies pas, sûrement que la question s'adresse à toi : est-ce que tu es en tr... En train de me surveiller ?

Oh mon Dieu, il y a plein de pensées qui sont en train de me traverser :

Imagine qu'il veut me tuer. Oui, voilà, il va me tuer...

Ou certainement quelqu'un l'a envoyé pour qu'il fasse le travail à sa place...

Non, je crois qu'il le fait juste par plaisir.

j'ai regardé une fois avec Izao un documentaire sur les criminels et la plupart d'entre eux font ça uniquement par plaisir, probablement lui aussi il.......

— Ay, je te parle, tu penses à quoi ? Mmm, je crois que j'ai compris.

— De quoi tu parles ?

— Tu es toujours en train de penser à mon corps de rêve, dit-il en s'approchant de moi avec un sourire de fierté.

J'ai directement pris une casserole qui été sur la table et je l'ai menacé :

— Si tu fais un pas de plus, je ne vais pas me gêner pour te frapper.

— Ok, doucement. Je voulais juste un peu rigoler avec toi, bon. maintenant, on va parler sérieusement dis-moi qu'est-ce que tu fais ici ?

— C'est moi qui dois te poser cette question ?

— Moi, j'habite ici.

— N'importe quoi, je vais te demander de sortir gentiment.

— Je dis la vérité, ça fait presque une année que j'habite ici.

J'ai soupiré avec impatience et pris mon sac dans l'autre main qui été vide, j'ai cherché, mais clés Pour le lever devant sa face et lui montrer les clés.

— Cette clé est à moi, et je l'ai reçue aujourd'hui, il y a peu de temps, et j'ai pris l'adresse de la résidence ici. Si tu es un sans-abri, ce n'est pas mon problème, alors n'attaquez pas les maisons et les propriétés des gens. Déjà, que veux-tu apparaître devant moi maintenant ? Que fais-tu dans cette ville ? Quoi qu'il en soit, ce n'est pas comme si je te le demandais parce que je suis intéressé... Ne réponds pas à mes questions, je ne veux pas entendre ta voix.

Il m'a regardé attentivement et m'a dit d'un ton sarcastique et désapprobateur :

— Bella mia, j'ai convenu avec son propriétaire que je le louerais. Tu peux te tromper dans l'adresse, même si tu as la même clé...