Ceci est la traduction de l'histoire originale écrite par loneWolv_ .
Certains disent que le monde finira dans le feu,
Certains disent dans la glace.
De ce que j'ai goûté du désir
Je suis avec ceux qui favorisent le feu.
Mais s'il devait périr deu...
Dès que la distance entre nous a pris fin, un feu s'est abattu sur mon être et a englouti tous mes sens.
La chaleur s'épanouit dans ma poitrine, des étincelles s'allument, tandis que Sebastian bouge doucement sa bouche avec la mienne. Ses lèvres étaient chaudes et douces, comme les draps en soie que j'avais récemment achetés. Nos corps se pressaient fortement, lui permettant de passer son bras autour de ma taille, me rapprochant. Sa main a voyagé dans mon dos, laissant une traînée de chair de poule derrière elle.
Je restai figé pendant quelques secondes tandis que je rassemblais mes pensées, qui couraient plus vite qu'un Grapcorne sauvage. Il m'embrassa doucement au début, mais l'intensité est vite monté. Mes mains s'accrochèrent à lui alors que mon monde commençait à tourner. Sa bouche insistante séparait mes lèvres, envoyant des tremblements sauvages le long de mes veines évoquant une sensation que je ne connaissais pas et avant que je le sache, je l'embrassais en retour.
Je pouvais sentir notre souffle partagé, sentir le bruit sourd de nos battements de cœur combinés pendant que je courais mes mains à travers ses cheveux sombres, mes doigts agrippant ses boucles brunes. Je pouvais sentir le doux parfum qui dansait autour de son cou, me consumant de pur délice alors que mes genoux se dérobait sous moi.
Sebastian était partout, sa main traînait dans mon dos. Ses genoux se sont ouvert et soudain il m'embrassait plus fort, plus profondément, avec un état d'urgence que je ne connaissais pas.
Il a légèrement reculé, me faisant instantanément regretter la chaleur de ses lèvres contre les miennes.
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"Si tu veux que j'arrête, dis-le-moi maintenant." murmura-t-il.
J'ai tendu la main et agrippée sa chemise avant qu'il puisse dire un autre mot le ramenant à mes lèvres une fois de plus. Je n'avais jamais embrassé personne auparavant, c'était en fait ma première expérience. Pourtant, pour une raison quelconque, nos actions concordaient en harmonie, comme si c'était une valse coordonnée.
Sans aucun ordre de ma part, ma langue se frotta contre ses lèvres, et elles se séparèrent d'un doux gémissement tandis que je glissais ma langue dans sa bouche, douce mais exigeante. J'ai soudain compris pourquoi les livres que je lisais décrivaient le baiser comme un sentiment de fusion parce que chaque centimètre de mon corps se dissolvait dans le sien.
Mes veines ont commencé à palpiter violemment, faisant battre mon cœur dans un mouvement rapide. Merlin, je n'ai jamais expérimentée un sentiment comme celui-ci. Dans un changement soudain, il m'a soulevé pour que mes jambes soient enroulés autour de sa taille, ses doigts agrippant l'arrière de mes cuisses, nos lèvres toujours emprisonnaient. Nous étions toujours devant nos camarades de classe. Devant nos amis. Mais je m'en fichais. Tout ce que je voulais, c'était Sebastian.
Je l'ai senti, lui tout entier, appuyé contre moi alors que nos langues dansaient ensemble dans une bataille féroce. Je voulais qu'il soit plus proche. Non, j'avais besoin qu'il soit plus proche. Le gémissement que j'ai produit m'a fait sursauter, ignorant à quel point j'étais emprisonnée dans ce... moment érotique.
