L'histoire d'un jeune agent secret qui va travailler pour une des plus grande organisations secrète du monde, et qui va se retrouver a poursuivre un des plus grands criminel au monde. Accompagné de son associé, Martin, il devront faire preuve de cou...
Comme tout les matins, l'homme qui était dans le bâtiment en face de l'hôtel vit les deux hommes sortir.
- Ils sont inconscient ! Pensa t-il
Il se dirigea dans une seconde pièce de son appartement. Dans son bureau, ou l'ont pouvait admirer de très belle peinture, il composa le numéro de téléphone d'un homme qu'il connaissait bien.
- Allô ?
- Bonjour patron. Je suppose que vous pensez de quoi il s'agit.
- Ils sont sortit ?
- Oui.
- Droits dans la gueule du loup ! Envoyer un agent les suivre.
- Très bien.
- J'arrive avec ce dont vous aurez besoins.
- A tout de suite patrons.
- Bye.
L'homme passa un second coup de téléphone, et ordonna à un des
« agents » de venir. Ils allait enfin passer à l'action !
On frappa à la porte. C'était le patron.
- Le temps est arrivé patron !
- Calmez vous, pour l'amour du ciel !
- Voici l'agent que j'ai choisi. Un de nos meilleurs tireur d'élites.
- Vous ne devrez pas nous décevoir, leur chambres, c'est elle, dit il en montrant du doigt une fenêtre. Ils ont installé des vitres par balles, mais avec ça, c'est comme une feuille de chêne en hiver ! S'exclama t il en donnant une mallette a l'individu.
- Quand à vous, ordonna t il à l'autre homme, qui semblait bien être son adjoint, Vous allez faire comme vous avez faits chaque jour.
- Oui. Vous pouvez y aller, patron, la situation est sous contrôle.
Le patron s'en alla alors. Son adjoint pris la lettre et descendit pour la ramener, comme tout les jours à l'hôtel. Il pensait déjà à la prime qu'il allait toucher pour ces actes !
L'homme entra dans le hall de l'hôtel, et se dirigeât vers le guichet.
- Bonjour madame.
- Bonjour.
- Une lettre pour la chambre 17.
- Très bien.
A ce moment précis, une, puis deux, puis des dizaine de sirène retentirent dans tout le quartier. Quelque seconde plus tard, toute les routes furent bloqué. L'homme enfila un masque et tenta de s'enfuir, mais la femme de l'accueil pointa un gros revolver sur l'homme.
- Monsieur, mettez vous contre le mur les mains en l'air et ne prononcez plus un mots ! S'écria un agent de police. Ethan et Martin apparurent et menottèrent l'homme. Leur plan avait fonctionné. Comme il recevait toujours de lettres lorsqu'il sortait, pourquoi ne pas attendre que cette homme viennent à eux plutôt de lui courir après !
Dans l'appartement qui se trouvait en face, le tireur d'élite qui avait pour but de tuer les deux gents fus vite maîtrisé par le SWAT. C'est alors qu'Ethan et Martin découvrirent l'identité du fameux messager... M. McLay ! Tout s'expliquer maintenant ! A chaque fois, ont savais ou ils se trouvait, on connaissais tout leur faits et geste !
- M. McLay ! Eh ben ça alors ! S'exclama Martin. Vous n'êtes pas très futé mon gars.
- M. CarMichael va arrivé dans quelque instant, vous lui direz deux mots ! Lui dit Ethan.
- Et pourquoi vous ne l'arrêtez pas ! Qui vous dit qu'il ne travaille pas avec moi ?!
- Et bien nous l'avons interrogé, le SWAT l'a perquisitionné, et rien de suspect n'a été trouvé.
A ce moment, Steve CarMichael arriva.
- George... Vous nous avez trahi ! Vous paierais cher de vos actes ! Vous avez tenté de tuer deux agents !! M'enfin rendez vous compte de ce que vous avez fait !
George McLay garda le silence. Il fut accompagné par des policier. La prison était la seul chose qui lui convenait... Mais avant cela, il faudra découvrir qui est Black Death, sont patron. Il faudra le faire parler !
- Messieurs, dit CarMichael, vous avez fait un travaille remarquable. Je tient à vous félicité.
- Merci, mais sans vous, nous n'aurions pas pu mener à bien cette opération.
- Il ne nous reste plus qu'un homme à trouver. Bon courage. J'ai d'ailleurs contacté M. Donovan. Il se déplacera exceptionnellement, et vous aurez un, ou plutôt une coéquipière de plus. Messieurs, je vous laisse désormais vous occuper comme vous le souhaitais.
C'est ainsi que les deux agents partirent au restaurent, et finirent leur journée au cinéma, car il le savait, ce n'était qu'une petite chose qui venait d'être accomplie.
Fin
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