Chapitre 7

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Alors que le soleil se levé et que les oiseaux commençais à chanté, Ethan buvée son café du matin. Martin, lui, venait juste de se réveillé. Ethan, qui s'était donc réveillé plutôt, avait relu plusieurs fois la lettre. Il avait analysé l'écriture.

- Martin ! Je crois que nous avons un indice en plus.

- Lequel ? Répondit Martin apparemment encore endormi.

- La lettre ! Soit Black Death n'est pas si doué que ça, soit il nous laisse des indices.

- Je ne vois pas ou tu veut en venir. Dit Martin, perplexe.

- L'écriture ! Nous allons aller à la préfecture puis à la mairie, pour essayer de trouver d'autre documents avec cette écriture. Cette homme existe, on le trouvera sûrement.

C'est comme ça que, 30 minutes plus tard, ils se retrouvèrent à la préfecture de police.

- Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Demanda l'homme qui se trouvais à l'accueil.

- Nous voulons voir le préfet.

- Je vais le chercher.

Ethan et Martin attendirent alors dans le hall. Martin alla prendre une boisson au distributeur.

L'homme revint accompagner du préfet.

- Bonjour messieurs.

- Bonjour, pouvons nous vous parler ? Demanda Ethan.

- Bien, sûr ! En quoi puis je vous être utile ?

- Si vous le voulez bien, nous discuterons dans votre bureaux.

Ethan ne voulais pas attirais les regards vers eux. Et qui sait, peut être que ce gentilhomme de l'accueil était en fait un complices de Black Death !

- Très bien allons y. répondis le préfet.

Martin s'était équipé, avant de partir, d'une caméra et d'un microphone, pour enregistrer la discussions. Ils montèrent donc au bureau du directeur.

- Monsieur, commença Ethan, Nous somme à la recherche d'un homme, mais nous n'avons que pour indice un lettre avec son écriture. Peut être pourriez vous nous montrez les documents officiels que vous possédez pour que nous puissions comparez les écritures.

Ethan n'avais pas tout dit sur Black Death, ni même révéler son nom. Il fallait être prudent.

- Hélas messieurs, je crains de ne vous être d'aucune utilité, en revanche je peut vous donnez un accès à la mairie. Si vous voulez un acte de naissances, de mariage...

- Cela nous serai d'une grande utilité ! Lui répondit Martin.

- Très bien, alors suivez moi.

Ils allèrent donc à la mairie, accompagnée de 2 policier. Une fois arrivé, on les dirigeât au bureau du maire. Il eurent ensuite accès à tout les documents. Ils commencèrent par les actes de naissances. Cela leur pris des heures... Ils ne trouvèrent rien de convaincant. Heureusement, ils était équipé d'un appareil pour scanner les écritures pour voir si elle correspondait à celle de la lettre. Ils passèrent donc aux actes de mariage.

Alors qu'il était entamait leur troisième heure de travaille, ils trouvèrent une écriture qui correspondait.

- Enfin ! C'est pas trop tôt ! S'exclama Martin, qui venait de finir son quatrième verre de jus d'orange.

- Pour avoir plus d'information, vous pouvait aller voir le maire. Il pourra mieux vous informer, leur dit un agent de la mairie qui les aidé.

Il se rendirent donc au bureau du maire. Martin toqua à la porte. Personne ne répondit. Il toqua une deuxième fois. Toujours rien.

- Monsieur ! C'est nous !

Aucune réponse. Il décidèrent donc d'entrer. Il ne s'attendait à ce qu'il y avait devant leur yeux. Le maire était à son bureaux, et les fixait. Un regard vide. Ethan sentis son cœur battre de plus en plus vite. Il avais déjà eu affaire à des meurtres, mais se dire que cette personnes les avais accueillis il y quelque heures seulement... On avait tué le maire. Martin avait déjà appelé une ambulance, mais c'était trop tard. Il appela le 911. Ethan pris des gants, et se dirigea vers le corps du maire. Il tenait encore son stylos dans les mains. Puis il remarqua le petit trous qui avait percée la vitre. Une seule balle, tiré au bonne endroits, d'une précisions horrifiante. La police était arrivé sur les lieux, accompagné du FBI, et de médecins. Ethan regarda une dernière fois le corps du maire, et retourna voir Martin. Les policiers leurs posèrent des tonnes de questions, puis Steve, Mr. CarMichael, arriva.

- Enfin ! Laisser ces jeunes hommes. Ils sont sur une mission spécial ! Venez les gars. On peut dire que vos premiers jours n'ont pas été de tout repos.

- Ce Black Death est vraiment près a tout, dit Martin en frémissant.

Ils allèrent à l'hôtel, dans une voiture au vitres blindé, escorté par des voitures et des motos de la police de New York. Une fois arrivé, Mr. CarMichael leur expliqua qu'il était placé sous protections policière pour une durée indéterminé. Les policiers ont été placés dans tout le quartier, et lorsqu'il voudront quitté l'hôtel, il devront précisait où exactement, car les policier ne pourrons pas les suivre dans leur missions, ce serai trop indiscret. Ils trouvèrent une nouvelle lettre qui leur été destiné. Martin la saisi avant de monter dans la chambre. Il croisèrent un vitrier qui était venu installé des vitres par balles dans leur chambres. Martin ouvrit la lettre et lu :

Messieurs,

Je vois que vous n'avez pas tenu compte de mon avertissement. Vous avez continué à me chercher. Vous avez cru pouvoir me démasquer, vous avez cru être plus forts, plus malins. Vous vous trompez.

Vous avez découvert le cadavre du maire. C'était un de mes hommes, qui a exécuté mes ordres. Il a accompli sa mission, et il a disparu. Il n'a laissé aucune trace. Il n'a laissé que cette lettre, que je vous ai écrite.

Cette lettre est un ultimatum. C'est votre dernière chance. Si vous ne renoncez pas à votre mission, il vous arrivera la même chose. Je vous tuerai, vous et tous ceux qui vous sont chers. Je vous ferai payer, vous et tous ceux qui vous soutiennent. Je vous ferai souffrir.

Ne me provoquez pas. Ne me défiez pas. Ne me sous-estimez pas. Je suis Black Death, et je suis le maître du jeu. Je vous surveille, je vous connais, je vous attends. Je vous donne 24 heures pour disparaître. Sinon, vous mourrez.

Black Death maintenais cette pression sur eux, cette fois, c'était carrément une menace de mort qu'il leur laissé. Mais Ethan ne comptais pas s'arrêter là, pas moins que Martin.

Alors qu'il allait dormir, Martin s'exclama :

- Je sais comment faire !

- Faire quoi ? Demanda Ethan

- Comment faire peur à Black Death...

- Et comment compte tu t'y prendre ?

Martin expliqua son plan à Ethan. Un plan parfait, et sans faille...

Martin expliquant son plan à Ethan

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Martin expliquant son plan à Ethan

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