la seconde épouse du cheikh 💍💞

Chapitre 01 une rencontre inattendue 😳

Voix externe

Dans une  ville de Dakar précisément à saint_louis ; y vu une petite famille assez modeste ; qui étaient entrain de prendre leur petit déjeuner tout en discutant ; comme une vraie famille.

Aboubacry diouf: MAIMOUNA   tu sais bien que ; ma princesse reviens bientôt est je veux vraiment que tout soit prêt.

Maimouna sarr: moi je pense que tu la gate vraiment beaucoup cette fille.

Aboubacry diouf : c'est normal ; elle a enfin fini ses études à l'étranger ; elle revient après plusieurs années d'absence ; donc c'est vraiment normal que je la fasse plaisir.

Jamal diouf: Donc comme sa la petite dernière reviens demain ( dit-il en pénétrant dans la cours ) assalamou alleykoum.

Aboubacry diouf : waleykoum salam mon fils

Maimouna sarr : mon fils ; bien dormi comment va Sana j'espère qu'elle va mieux maintenant.

Jamal diouf : oui mère ; elle va un peu mieux ( dit-il un peu inquiet )

Maimouna sarr : je pense que ces bien qu'elle reste un peu chez ses parents ; pour qu'elle puisse bien ce reposé

Jamal diouf : tu a  raison yaye ; bon j'y vais me rafraichir un peu

Jamal avait l'air inquiet ; mais il ne disait rien puis part dans sa chambre comme si de rien était

France / Paris

Catherine : waw cette soirée c'est bien passé ; je ne n'oublie pas d'aussi tôt

Fatimah zahra : pff en plus sa m'a beaucoup épuisé

Catherine : hum dis plutôt que c'est la danse qui t'a épuisé ; en plus le mignon garçon n'arrêtait pas de te lancer des regard

Fatimah zahra : ah lui

Catherine : hum toi tu me cache sûrement quelque chose

Fatimah zahra : non c'est juste que quand ; je me suis absenté pour aller au toilette ; il m'a suivi en me demandant mon numéro

Catherine : tu a accepté j'espère

Fatimah zahra : bien sûr que non ; je ne suis pas une fille facile en plus il ne m'intéresse pas

Catherine : une beauté comme toi fatimah ; tu es sur que tu ne pas une lesbienne

Fatimah zahra : si c'était le cas je t'aurai sauté dessus depuis ( rire ) non sérieusement tu va beaucoup me manqué.

Catherine : pas plus que moi ; mais t'inquiète je te promets de venir te rendre visite au Sénégal ; j'imagine que tu a hâte de voir tes parents.

Fatimah zahra : certe mais je n'aurai plus assez de liberté comme ici ; mon père m'adore ; mais c'est un homme très stricte et qui tient vraiment en conte les paroles des autres.

Catherine : donc ton père est ce genre d'homme ; je vois sa j'aurai vraiment voulu t'accompagner; mais tu sais bien que je dois réglé des choses familiale