Chapitre 7

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- Nous n'avons pas besoin du "troupeau " Commença le tirant des mers à répondre je le vois vide " nous n'avons pas besoin de planifier quoi que ce soit, nous n'avons pas besoin d'aide. C'est ainsi que sont les dieux.

Sa position sur l'action idéale de la divinité était en soi extrémiste, mais il la croyait et la défendait chaque jour ; ça a bien aimé partager le même ma vie, bien sûr avec un peu plus de souplesse puisque la vie d'un dieu tel que la décrivait possédant lui paraissait quelque peu solitaire.

- Les adeptes sont totalement inutiles pour ceux qui ont atteint la perfection termina t-il en regardant l'humain avec des yeux aussi sombres que la nuit elle-même.

Tous les mots qui sortaient des lèvres du blond sur écouter avec une grande attention de la part de Sasaki, après qu'une expression de surprise envahit son visage rider, une expression de tristesse apparue, à l'intérieur de l'être humain qui était attristé par la solitude et la monotonie que semblait être la divinité des mers...

- Alors...c'est... Ainsi que fonctionnent les dieux... Commenta -t-il à dire avec un sourire forcé et en regardant le seul avec les yeux mi-clos " Quelle triste existence...avoua t-il

Poséidon c'était figé sur place, admirant le sale humain devant lui, tandis qu'il resserrait sa prise sur son trident, agacé, non, l'adjectif agacé était un euphémisme, il était furieux, de quel droit se mortel lui disait-il ça ?

- C'est triste... C'est le manche bleu de son trident rendrait probablement le manche bleu de son trident encore plus triste, il voulait déjà que cet humain soit mort.

Poséidon commença s'approchait de l'humain à grande vitesse sans aucune trace de luminosité dans ses yeux océaniques, le bruit de ses chaussures raisonnaient un peu, alors qu'il lançait vers l'humain pour exécuter une de ses attaques, mais pas avant d'exprimer à l'humain le destin qui lui était arrivé. Il souhaita, ainsi qu'à la race du samouraï, en un seul mot.

- Disparait dans le néant dit-il avant d'exécuter son attaque.

Il était assis sur une chaise commune, posant ses coudes sur ses genoux tout en la regardant respirer avec difficulté

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Il était assis sur une chaise commune, posant ses coudes sur ses genoux tout en la regardant respirer avec difficulté. Elle avait les yeux fermés et des fissures grisâtres visibles commencés à paraître sur sa peau délicate.

Elle tremblait, ce qui était prouvé par ses mains fines, ses cheveux en soyeux commençaient à perdre de leur éclat. Poseidon voyait la sueur froide qui coulait le long du front de sa femme. Elle était très malade depuis quelques jours, ce qui est inquiétait beaucoup son mari qui était à ses côtés jour et nuit.

Ce jour-là, elle était plus sérieuse que d'habitude, elle n'avait pas ouvert les yeux depuis plusieurs heures et elle respirait de moins en moins. Cela avait bouleversé Poséidon, créant un vide  dans sa gorge, et il avait senti une sorte de clou s'enfoncer au centre de son cœur, il avait peur, il ne savait pas ce qui arriverait à sa bien-aimée minazuki

- Non.... Il entendit un murmure, il retourna à rapidement la tête, voyant sa meilleure dB les yeux très légèrement ouvert "Ne t'inquiète pas... T'inquiète...

Poséidon avait tenu ses mains dans les siennes lorsqu'il avait entendu sa voix faible et vu ses yeux faibles perdent progressivement de leur éclats caractéristique, ce qui impliqué que ce qui se passait, les fissures quand tu as se propager à travers les bras et le torse de sa femme, ce qui était le plus visible pour lui... Elle savait d'où venait la cause de sa maladie, c'était la pollution qui augmentait, les papillons mourraient trop vite.

Elle ne se battrait pas pour rester en vie, tout arriver pour une raison et à ce moment-là elle ne le savait pas mais elle lui faisait confiance, se laissant porter sur le lit de la mort pour accéder au jardin du cosmos où se trouvaient plusieurs âmes perdues. Qui  attendait.

- C'est bon, mon cher et tendre mari..... Elle essaya de le consoler un peu, en essayant de sourire, mais une douleur dans l'une des plus grandes fissures fait qu'une grimace de douleur envahit son visage mourant.

- Tu es en train de mourir..... Dit-il en posant une de ses mains sur le front de sa femme, en essayant de la détendre.

En eau douloureux s'était formé dans sa gorge, ce qui lui avait rendu la parole un peu difficile. Même sa belle-sœur avait confirmé le sort final de sa sœur et aînée le 3e jour, mais il ne l'accepter toujours pas ; Elle était censée être une déesse, comment peut-elle mourir ?

Aux paroles de son mari, est-ce soupira avec un petit sourire, s'entend comment sa force quitter lentement son corps et ses yeux perdaient de leur éclat de vie. Il lui restait très peu de temps à vivre.

À ce moment-là, elle était reconnaissante pour tout ce qu'elle avait vécu au cours des millénaires, sa naissance, les soins d'Aphrodite, son couronnement en tant que déesse légitime, son travail avec sa sœur cadette dans son précieux temps, son mariage et sa vie agréable avec le dieu de sa vie, qui était sur le point de pleurer lorsqu'il l'a vit  sur le point de mourrir devant lui sans pouvoir absolument rien faire.

- C'est ne pleure pas... Demanda t-elle en serrant les mains du blond, qui commençait à verser quelques larmes " s'il te plaît..."

- Si je te perds.... Il était seul avec elle, il n'était plus le froid et dur Poséidon, exprimer son plus grand cauchemar en sa présence " dis-moi qu'est-ce que je dois faire pour ne pas te perdre ?

- Tu ne me perdras jamais... Déclara-t-elle fermement, le faisant sangloter davantage, elle sentait et savait qu'il lui restait très peu de temps, alors elle disa d'une voix douce au revoir à son tyran bien aimé des mers ".....Je t'aime, Poséidon...

Après avoir dit cela, avec les pleurs et le cœur saignant du blond qui était sur le point de se briser, les fissures dans le corps de sa BNM est met en commençait à s'élargir jusqu'à tracer des silhouettes de petits papillons surtout son corps, qui ont commencé à voler vers le ciel dès que Minazuki ferma les yeux et ça m'a délicate avait cessé de serrer celle de Poséidon.

Il avait été témoin de la scène la plus douloureuse de sa longue vie et avez-vous lu tuer ses misérable aux humains, les noyés, les torturer et leur montrer la douleur qu'ils avaient causé, grâce à leur contamination inutiles et cancéreuse, les humains lui avait enlevé ce qui lui était le plus précieux.

- Je t'aime aussi.... Murmura-t-il en couvrant son visage blessé dans les draps de son lit désormais vides.

Son papillon bien-aimé était parti pour toujours.

Le samouraï était tombé à l'eau après une série d'attaque puissante de la divinité, qui, pour être honnête, était fatigué de se battre seul, de porter sur ses épaules un poid qui le consumait, comme un feu qui lui brûler la peau et le visage

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Le samouraï était tombé à l'eau après une série d'attaque puissante de la divinité, qui, pour être honnête, était fatigué de se battre seul, de porter sur ses épaules un poid qui le consumait, comme un feu qui lui brûler la peau et le visage.













Record Of Ragnarok '' Mon Papillon "  Poséidon x Minazuki ✓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant