chapitre 6

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C’était donc vrai. Je ne pouvais pas rester planté la, je devais sortir, courir, crier. J’ai commencé à courir vers la porte que j’ai ouvert et fermé très rapidement, je n’avais pas prie le temps de mètre des vrais souliers ou prendre une veste, donc, j’étais en pyjamas dehors avec mes pantoufles, a courir. J’ai entendu la porte s’ouvrir et ma mère crier mon nom et me supplié de revenir, mais rien  n’aurais pu arrêter ma course folle, sauf peut être une voiture… je sentais le vent froid de la soufré sur mes joue et les larmes au foie chaude et froide coulé sur mes joue. De plus e plus les cries de ma mère se sont estompé et je commençais a m’essoufflé a force de courir a une telle vitesse, mais je continuais à avancer. J’étais a présent rendu dans le parc ou je passais a entre les arbres et tables, les larmes devenaient de plus en plus abondantes, et je courais de plus en plus lentement. J’ai foncé dans quelqu’un, et je me suis effondré par terre, rapidement je me suis lever et j’ai essayé de repartir a courir, mais l’étranger mon poignet.

-          Lâchez-moi!!

-          Lili-Rose, c’est moi arrête de te débattre.

C’étais lui, Clément, mais que fessais t’il ici? Mes sanglots sont repartis de plus bel, et le manque de sommeil et la fatigue est arrivé comme si un bloque de ciment m’étais tombé sur la tête. J’aurais tombé si Clément n’avais pas été là pour m’en empêcher. Il m’a serré conte lui, j’ai pris appuis sur lui, il ne disait rien, il se contentait que de rester là a me serré contre lui. Lentement, mes pleurs ont arrêté.

-          Je suis désolé.

C’étais comme si ont avais ouvert la valve d’eau, les larmes ont encore repartis, cette fois-ci il me chuchotait s l’oreille que tout allais bien, mais, c’étais le contraire. J’ai réussi à reprendre mes esprits et à arrêter. Lentement je me suis soustraite à ces bras, il a laissé ces mains sur mes épaules me regardant dans les yeux.

-          Tu veux rentrer chez toi?

J’ai fais signe que non, il a lâché mes épaule et pris ma main qui étais gelé, mais a son touché, est devenue brulante. J’étais un peut réconforter. Comme dans les livres d’amour, je pourrais dire que nous marchions main dans la main, dans la lumière de la lune. Mais il faut rajouter que j’étais en pyjamas et que je pleurais… quand nous nous sommes arrêter devant sa maison (enfin je croix que c’est la sienne) je me suis figé, je n’étais pas pour m’inviter chez quelqu’un.

-          Tu viens?

-          Tu es sur que sa ne dérange pas tes parents?

-          Non, mon père et ma mère son très compréhensif et savent déjà l’histoire.

-          Quoi?!

-          Je te rappelle que dans une famille comme la mienne, très difficile de cacher les choses, de plus que mon père s’amuse a rentré dans mon esprit pour m’énervé…

-          Ah… c’est vrai.

-          Mes parents sont surement sur le point d’aller dormir et ma sœur doit dormir depuis un bout.

Quand il a ouvert la porte, quelque choses de très rapide c’est lancé sur lui, c’est juste un moment plus tard que j’ai remarqué que c’étais une petite fille, qui lui arrivais un peut plus haut que son bassin, elle avait les cheveux châtains qui descendaient en boucle dans son dos.

-          a… Elle ne dort pas…

Puis une femme en robe de chambre est descendue dans l’escalier, elle avait rassemblé ces cheveux dans une couette de cheval et portait un pyjama Mauve. Elle m’a regardé un moment et j’ai compris que elle essayer de me déchiffrer, fessant la même chose que Clément avais essayé de me faire, et comme je l’avais fait, j’ai érigé des murs autour de ma conscience. À ce moment la, exactement, la femme se mis sourire. Je la connaissais, je l’vais déjà vue, reste a savoir ou…

-          Vous être…

-          Oui.

-          Vous m’avez parlé à ce café…

-          Exactement tu as une bonne mémoire, comme toute les sorcières.

C’était l’hiver dernier, j’étais dans un petit café, je buvais mon chocolat chaud, puis elle est arrivais devant moi et m’a dit : « ne doute jamais de toi…» puis elle est partie.

Elle est descendue et a pris la petite fille dans ces bras.

-          Bon, maintenant ont vas dormir nous Brooke.

Puis elle a longuement regardé son fils et elle est montée avec sa fille qui apparemment s’appelait Brooke. Clément m’a mener au salon ou il s’est assit en face de moi. Nous nous sommes fixés un moment.

-          Comment a tu su que j’étais au parc…?

-          La magie… non tes parents

-          Tu as lut dans les pensé de mes parents?!

-          Non, ils ont appelé.

-          Ils ont du trouver la lettre…

-          Oui surement.

-          C’était toi?

-          Pas vraiment…

-          Qui? C’était ton numéro…

-          Ouais, mais ce n’est pas moi qui l’a écrit

-          Je ne comprends pas.

-           l’a écrite pour moi.

-          Qui?

-          Kate.

-          C’est qui?

-          La fille qui ta donner la lettre.

-          Pourquoi tu ne l’as pas écrit?

-          Tu aurais pus savoir que c’étais moi qui l’avais écrite, tu ne l’aurais surement pas lut.

-          C’est vrai… est ce que tu savais la vérité?

-          Ouais…

Encore une fois la boule c’est formé dans la gorge et lentement, les larmes glissaient sur ma joue, chaude. Clément est venu s’assoir a coté de moi et je me suis accroché à lui. Tandis que je repensais a ces 4 ans de mensonges, Clément me serrais contre lui, ce qui me réconfortais un peut, peut a peut mes larmes s’apaisaient. Quand j’ai relevé la tête il me regardait de ces yeux bleus et profonds. J’ai remarqué une égratignure près se son œil gauche, j’y ai posé mon index et dit a voix basse. :

-          Guéris cette blessure qui n’aurais jamais dut exister…

C’étais un petit sortilège, un des sortilèges que l’ont apprenais quand nous avions que 5 ans, c’étais pour les blessures mineur, mais pour les bras cassé, et tout de plus important le sortilège ne donnais presque a rien. Demain matin il n’y aura surement plus rien sur sa joue.  

-          Est-ce que Kate aussi est…

-          Une sorcière? Oui.

-          Je comprends…

-          Elle est mon amie la plus proche.

-          Vous êtes…

-          Non pas du tout!

A-t-il dit après avoir compris ce que je vouais dire. Il m’a répondu avec un rire.

-          A ok…

-          Sa t’aurais dérangé.

-          Non, pas du tout

ALERTE AU MENSONGE, ALERTE AU MENSONGE…

Sorcière un jour, Sorcière toujours... [✔]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant