Chapitre 28

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J'entendis la voix de mon père me dire que je pouvais entrer. Cela fesait un moment ou j'avais entendu sa voix, ou qu'il m'avais parler, bon...on s'entends il ne sais pas c'est moi. j'allais ouvrir la porte quand je sentis la main de Clément se soustraire de la mienne. je me suis tourner vers lui, le regard fou.

Moi: non... non, reste....

Clément place ses mains sur le coté de mon visage et me forca a le regarder dans les yeux.

Clément: je vais rester, mais tu dois parler a ton père seul.

il me fis un baiser sur le font et me lacha, j'ai hocher la tête... bon, j'allais devoir parler a mon père... disons que je ne croix pas que je m'en étais rendue conte avant... c'est surtout sur le moment que l'on comprend l'empleur des choses... j'entendis mon père redire que la personne qui avais frapper, en l'ocurense, moi, pouvais rentrer. j'ai ouvert la porte, mais je ne suis pas rentré. Quand la porte fut ouverte, je vue mon père pencher sur une pile de papier, les cheveux ébourifé. et les traits fatigué.

Moi: papa...

il releva la tête vivement, comme si il ne m'avais pas entendue entré, peut être étais-ce le cas. il sont regard me regarda, mais comparer aux autres fois, je n'ai pas vue le méprie dans ces yeux, mais j'ai vue le même regard qu'il avait pour moi et ma soeur avant. il lacha son crayon.

Lui: Lili-rose...

Moi: je ne veux pas te déranger, mais j'ai une question.

Lui: oui?

Moi: tu... est ce que tu connais un chalet?

Lui: pourquoi Lili?

Moi: je fais... une enquaite.

Lui: sur quoi?

Moi: mieux vaut que tu n'en sache le moins possible.

Lui: quelque chose de noir?

Moi: non, rien de bien méchant.

Lui: mais bien sur, la magie a tuer ta grand-mère, mais ce n'est que sa, ce n'est pas méchant...

Moi: elle le voulait, elle le cherchait...

Lui: pourquoi Rose?!

Moi: c'est Lili, Lili papa.

Lui: alors, pourquoi le cherchait t'elle Lili

Moi: pour...

Lui: personne ne cherche la mort, personne Lili!

Moi: sache que oui, grand-maman la voulait et a remerier la déesse pour lui avoir accorder ce qu'elle voulait même si c'étais les ténêbre qui lui a donner ce qu'elle cherchais.

Lui: ...

il ne dis rien.

Moi: j'ai déja voulus ma propre mort. il y a des gens qui voye bien la mort. ll y en a d'autre que non, mais grand-maman la voulais et elle l'a eu.

Lui: comment peut tu en être certaine...?

Moi: les présages papa, les présages...

Lui: tu.. t-t-tu sais très bien qu'ils ne sont pas fiables!

Moi: les humain ne sont pas fiable, la magie l'est si elle ets bien faites!

Lui: Oui.

Moi: tu avoue?

Lui: non, je connais un chalet.

Moi: dis le moi.

Lui: je connais un chalet, j'y allais quand j'étais jeune.

Moi:tu as l'adresse?

Lui: non, c'étais il y a longtemps, j'y allais avec ta grand-mère.

Moi: oh.. d'acord.

je m'apprêtais a sortir, quand mon père m'a appeller, mais cette-fois ci, doucement, comme il le fesais avant.

Lui: vous me manquer, dis a ta mère et a ta soeur que je les aimes.

j'ai hocher la tête et je suis sortis, sans rien dire,fermant la porte derrière moi. Clément me regrdais et me posa la question silentieuse, et je lui ai répondu par la négativité. Je pus voir la déception dans ces yeux, surement la même qu'il y avais dans mes miens... Et nous sommes entrer chacun chez soit.

Chez moi, le silence qui habituellement régnait, n'étais pas la. Il y avais des éclats de rires cristallins qui fessait échos dans la cage d'escalier. Je me suis dépêcher de monter pour voir ma soeur et ma mere sur le lit de la chambre qu'autre fois nos DEUX parents occupait. Avec sur les genoux de ma mère un album photo. Je ne suis approcher et assise a la droite de ma mère puisqu'a gauche il y avait déjà Maddie. Et nous avons ris, et ris longtemps en regardant de veilles photos, nous rappelant des anecdotes... Et la derniere photo fut une de papa er maman. Le silence s'abattît sur nous.

Moi: Je l'ai vu. Aujourd'hui. Et m'a dis que nous lui manquions tous et qu'il nous aimait.

Maddie: il me manque beaucoup.

Jusqu'a la, ma mere n'avais pas parler, maia une larme solitaire glissa lentement sur sa joue vers son coup. Elle nous prit chacune par les épaule, nous serrant contre elle.

Ma mère: il nous manque tous je croix.

Un long moment passa avant que nous décidions de toutes les trois dormir dans le lis de nos parents. Ma mere au milleiux et ma soeur et moi de chaque coté d'elle. Au bout d'un moment, meme avec le silence et le confort, personne ne dormais. Ma mere se mis a fredonner une melodie d'une chanson que je ne connais que trop de cause qu'elle nous l'avait chanter si souvent. J'embarqua avec elle mais en chuchotant assez bas les paroles, suivit de ma soeur.

My only sunshine 

You make me happy 

When the skies are grey 

You'll never know dear 

How much I love you 

Please don't take 

My sunshine away

The other night dear 

As I lay sleeping 

I dreamed I held you in my arms 

When I awoke dear 

I was mistaken 

And I held 

My head 

And cried

My only sunshine 

You make me happy 

When the skies are grey 

You'll never know dear 

How much I love you 

Please don't take 

My sunshine away

My only sunshine 

You make me happy 

When the skies are grey 

You'll never know dear 

How much I love you 

Please don't take 

My sunshine away 

Please don't take  

my sunshine away

Sur les paroles nostalgique de cette chanson, je sentis mes paupières se fermer, me plongeant ainsi dans l'obscurité de mes rêves.

Sorcière un jour, Sorcière toujours... [✔]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant