Chapitre 27

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Cela fessait 10 mois que j'étais avec Clément. 10 mois de pure bonheur et d'amour, parfois d'embrouille, mais moins que le bonheur qu'il me procurait. Ma sœur et mon cousin on rejoint l'assembler. Notre assembler grandis et devient de plus en plus forte, et un lien très fort c'est forgé entre nous, comme une famille, une deuxième famille, enfin, en ce moment, je devrais plutôt dire une vrai famille. Avec Papa qui est partit de la maison et Maman qui est malheureuse la plus part du temps, Ma sœur qui essais de l'aider tout comme moi, mais cela nous touche aussi, nous avons aussi mal qu'elle avec tout cela. Disons que la famille que nous avions avant est loin derrière nous. Clément essai de m'aider le plus qu'il le peut, il est vraiment gentil avec moi. Il fait partit de la famille pour moi. Pour ma mère et ma sœur aussi. Mais, la vie a la maison est dure sans papa, il est partit emportant avec lui une partie de nous je croix. Quand je disais qu'il aurait pu disparaitre cela aurait fait la même chose que sa constante absence de la maison, j'avais tord, non, ce n'est pas du tout la même chose. Non, pas du tout. D'un coté, j'aimerais qu'il revienne et que tout revienne a la normal, mais, d'un autre, je ne le veux pas, j'ai peur, tout le monde a ses peur et moi, c'est de revoir ses yeux remplis me mépris a mon égard. L’école c'est bien passé, j'ai réussie a passé mon année, tout comme ma sœur, même si les choses n'ont pas été facile pour elle. La situation Familiale la touche beaucoup et elle a de la misère avec le fais que notre père soit partit et rajoutons a cela que certaines fille vont raconter n'importe quoi sur elle quand elle ne leur a rien fais... Maddie est très sensible, et toutes les choses arrive en bloc ne ce moment et semble pleuvoir sur nous, alors, certain soir, elle rentrait dans ma chambre en larmes, et je ne fessais que la serrer contre moi et je ne disais rien, parce que je la comprenais, seulement, je me cachait pour pleuré, je devais rester forte, Je suis le dernier pilier que la famille possède et je doit prouvé que je suis assez forte pour tous les soutenir, autant ma sœur que ma mère, car, elles en on besoin. Du coté Famille en grand, Alice... oh mon dieu, Alice est un cas désespéré, elle c'est même mise à détester son propre frère et ensuite ma sœur. Dans les couloirs de l'école elle me jette des regards noirs. Et moi... je ris, non mais, regarder la situation en face, elle me déteste parce qu'elle n'accepte pas mes choix? Non mais... il y a une limite non? Bon... l’école était finie. Enfin. J’étais assez… soulager, l’année a été dure, même avec toutes les personnes qui me soutenaient, Kate en fait partit, Elle était dans la plus part de mes classes, elle était dans notre assembler et de plus, elle était la meilleure amie de Clément, alors, je la voyais souvent et lentement, nous sommes devenues complice, et très proche, au début, Clément s’en ai méfie, mais il avait raison, vous savez dans les film, c’est la mère qui raconte des histoires embêtante de son enfant a sa petite copine ou petit copain de son fils ou de sa fille, mais cette fois-ci, c’étais Kate qui le fessait et je vous assure c’étais a se rouler par terre, Kate elle aussi riait avec moi, et Clément lui de son coté racontais lui aussi des histoires a propos de Kate, alors, cela donnais une guerre d’histoire gênantes, et ÇA c’étais trop drôle! J’en ai beaucoup appris aussi… Il y avait Brook, la sœur de Clément, nous passions beaucoup de temps avec elle, elle nous aimait bien et je la trouvais tellement mignonne… Nous étions au parc quand elle m’avait demandé : Que vas-tu faire avec la chose que tu as trouvé dans la maison qui avais pas de gens dedans? Et depuis, j’y pensais, je ne comprenais toujours pas ce que le petit mot voulait dire, ni ce que je devais faire de la baguette. Elle semblait puissante, mais surement seulement si c’était ma grand-mère qui l’utilisait, mais elle n’est plus sur cette terre, alors, aucune chance de savoir si c’étais bien le cas. Par contre, un sort d’appartenance avais été donné sur cette baguette, d’appartenance avers moi. Et toute sorcière sait qu’un sortilège d’appartenance est assez gros et que l’objet peut seulement avoir un sort d’appartenance avec la personne qui l’a lancé, en outre, je n’avais pas lancé ce sortilège. Le sortilège était trop puissant pour que ce soit moi qui l’ai lancé, et de toute manière je me souviendrais si je l’avais fais, un si gros sortilège pour la petite fille que j’étais, oui, je m’en serais souvenue et je ne m’en souviens pas.  D’où la question : pourquoi suis-je lier a cet objet? Pour une fois une fois de plus, je gardais mes questionnements pour moi-même. J’ai toujours crue que j’embêtais les gens avec mes problèmes, alors, je garde pour moi mes propres questions, pourquoi arrêter cette habitude? Mais, Clément n’était pas con, il comprenait que  quelque chose me tracassais. Alors, je lui avais raconté et il m’avait demandé de voir le mot, que je lui avais passé.

Sorcière un jour, Sorcière toujours... [✔]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant