chapitre 16

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Quand je me suis réveiller lundi j’avais l’impression que même dormir m’avais épuisé, j’avais de la sueur qui perlait sur mon front, et j’avais pourtant froid. J’ai sentis une bouffé d’air froid me caresser le visage. Je me suis rapidement retourné pour voir mon rideau bouger légèrement. Je me suis lever et je me suis tenue devant ma fenêtre. Elle était ouverte, et je n’avais pas fait cela. Je ne l’avais jamais ouverte. Mes portes était fermé, je ne croix pas que qui conte soit rentré dans ma chambre. Je l’aurais senti, a part si la personne ne voulait pas que je sache qu’elle était là elle se serait protégée avec de sorts. Il était 6 :15 et j’entendais ma sœur se lever pour aller dans sa douche. J’ai fermé ma fenêtre et je suis allé déjeuner. Ma mère devait déjà être partie parce que des bols et des boites de céréales était sur la table et y il avait un mot. «Votre déjeuner est sur la table et votre diner est prêt, il est dans le frigo, bonne journée» j’ai pris un bol et je l’ai mangé lentement. Quand ma sœur est arrivé en bas, elle était habillé, peigner, maquiller. Moi j’étais encore en pyjamas. Alors, je suis monté en haut m’habiller. Après une très longue délibération j’ai opté pour un chandail orange corail et un short en jeans. J’avais fait mon sac a l’avance et je m’apprêtais à aller me brosser les cheveux quand ma sœur m’a crier que nous allions être ne retard. Tant pis pour les cheveux, j’ai passé rapidement quelques coups de brosse à cheveux et je suis descendu le plus rapidement possible. Même si nous étions en octobre, le soleil et la chaleur étaient encore de la partie. Je n’avais besoin que d’une petite verste légère pour être correcte dehors. Nous avons commencé à marcher et après être arrivé au bout de notre rue, nous avons entendu quelqu’un nous appeler. Je me suis retourné pour voir ma cousine se lever du banc ou elle était assise pour venir vers nous. Quelque chose avais changé, puisque nous étions lundi, il y avait de l’école, mais elle ne portait pas son éternel uniforme de son école privé. Elle portait un jeans serer qui révélait ces formes. À coté de moi, ma sœur souriait.

-          J’ai réussie à faire faire mon transfère plus vite. Ben, ma mère a réussie!

Ma sœur courra dans sa direction et lui sauta dans les bras. Et ensuite, elle c’est mise à lui dire qu’elle allait lui montrer l’école et tout. Quand les deux sont revenue sur le trottoir, je croix que j’avais l’air de bœuf parce que justement Alice m’en parla.

-          T’a ben l’air fâcher, vexer ou je ne sais pas quoi… vous n’avez pas arrangé vos affaires?

-          Ouais, avec Maddie.

-          Façon subtile de me dire que ce n’est pas régler entre nous.

C’est a ce moment que j’ai levé la tête, une chaleur m’avais envahit, un frison de bonheur. Quand j’ai relevé la tête, je l’ai vue, il traversait le parc en courant dans ma direction. Et je me suis sentie mieux, et je me suis mise a sourire.

-          Ouais.

Après avoir répondu a Alice, je suis descendu du trottoir pour passer dans le rue et me diriger vers Clément qui courait toujours vers moi, j’ai entendu ma cousine et ma sœurs s‘arrêter et j’ai senti le poids de leurs regard sur moi pendant que je prenais de la vitesse en courant vers lui, qui lui a mon contraire, ralenti pour finir pour s’arrêta et ce fut trop tard que je remarquai que j’allais lui foncé dedans. Alors, je lui ai rentré dedans en plein fouet, mais, lui étais fort et grand, moi j’étais petite, et… pas aussi forte que lui. Alors, l’impacte que j’eu que j’ai eu en lui foncé dedans m’aurais fit tomber si il n’avait pas noué ces bras autour de ma taille comme. J’ai levé les yeux vers lui je lui ai souris, sourire qu’il me retourna sans attendre, j’ai commencé par regarder ces cheveux un peut ébouriffer par sa petite course,  ces yeux étais toujours aussi beau… ces pommettes un peut rouges due a l’essoufflement et j’ai rivé mon regard sur ces lèvres. Il a déposé son front sur le miens, consciente que mes yeux devais briller et que mon sourire devais être si grand, mais je m’en foutais.

-          Allo.

Ce fut lui qui rompit le silence le premier, j’ai glissé mes bras autour de son coup.

-          Salut

Je l’ai regardé, et quand je l’ai tiré un peut vers moi pour être plus près de lui. J’ai vue les flammes du désir, du plaisir s’allumé dans ces yeux. Lentement je me suis hissé sur la pointe des pieds, je rapprochais mon visage du sien, et quand il a vue clair dans mon jeu, qu’il a vue ce que je voulais faire. Il a baissé sa tête et ces lèvres ont rencontré les miennes. Il a raffermit la prise de ses main sur ma taille pour me coller plus a lui. Et mes mains ont glissés de son cou, des ces épaule pour glisser plus lentement sur sa poitrine forte et dure et j’ai enlacé des mes bras son torse. Notre baisser a duré… longtemps. Quand nous nous sommes retirer, il a reposé son front sur le mien, et nous étions touts les deux a bout de souffle. Et nous avons passé un moment comme ça, a se fixer. Jusqu'à temps que :

-          Lili! Est-ce qu’il faut t’attendre?!

Après un soupir, j’ai relâché Clément a contre cœur, ce qu’il a dut lui aussi faire a voir la petite moue qu’il avait aux lèvres. Je me suis dirigé vers ma sœur et ma cousine. Puis je me suis retourné pour voir que Clément me suivait de peut derrière moi. Il scrutait ma cousine, qui elle aussi le regardait. Mais d’est que je lui ai tendu la main, il m’a regardé avec ce regard si tendre que j’ai surement rougie, il a prit ma main dans la sienne. Et nous avons marché devant ma sœur et ma cousine qui si elle pouvait, lancerais des éclaires avec ces yeux pour foudroyer Clément. Mais, est-ce que je m’en foutais? Évidement. À l’école, ma sœur c’est dirigé dans la direction de l’administration avec Alice tandis que moi et Clément nous dirigions dans la section des casiers.

-          Le tien ou le mien.

Après réflexion, le sien était plus proche de la classe de notre première classe. Ce qu’il y avait de différent dans notre école, c’était que chaque élève passais un teste et si il était accepté, ont le classais dans des classe avec des gens du même calibre. De la même moyenne. Donc, tu reste toujours avec le même groupe, sauf en art, j’avais musique, mais il y avait aussi art pastique et art dramatique. Mais bon, tu suivais ta classe alors, Clément étais avec moi, dans chacun de nos cours, sauf art, il avait art dramatique (théâtre). J’ai pris mes chose et les ai mises dans mon sac que j’ai callé sur mon épaule et j’ai repris la main de Clément, nous nous sommes arrêter son casier et je me suis accoté sur le casier a coté du sien a l’attendant.

-          Est-ce que vous êtes genre, comme des jumeaux ou un couple?

Je me retourner et c’étais une fille qui me parlais, à moi. À coté de moi, Clément à refermer son casier. Et au moment où j’allais répondre à la fille, les lèvres étaient occupées… Clément m’a pousser sur les casiers et j’entendu la fille rire nerveusement puis elle est partie. Même après que la fille sois partie, il continua à m’embrasser, et parfois décollais ces lèvres des mienne pour reprendre respiration, mais ce ne fut que le son de la cloche qui l’arrêta, pas que je n’aimais pas ça, au contraire, j’adorais. En soupirant il s’est décollé et m’a tirer vers la première classe.   

Sorcière un jour, Sorcière toujours... [✔]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant