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Je regarde la personne furax.

Une petite fille est au sol. Elle est en train de pleurer, en se tenant le genoux.

Enfin. Pleurer. Elle le fait sûrement. Mais je n'entends rien. Je vois juste ses épaules bouger. Le haut de son corps recouvre son genoux, et ses bras entourent sa jambe plié.

Je m'accroupis et enlève un écouteur de mon oreille.

- regarde où tu vas.
- par... Par... Pardon...
- tsss.

Je la prends dans mes bras, elle toujours en train de pleurer.

- t'habites où ? Je lui demande.
- j'habite la maison jaune... Celle... Celle qui est au bout du quartier...

Je commence a courir, pour être plus vite débarrasser et pouvoir rentrer chez moi.

C'est une blague ?!

UnE MaiSOn jAuNe

MAIS TOUT LE QUARTIER EST JAUNE !

- oï petite ! Toutes les maisons sont jaunes ! C'est laquelle la tienne !? Dis je, en essayant d'être calme un maximum.
- c'est... 21...
- pourquoi tu parles comme ça ?! Genre tu peux pas faire de phrases !?
- dodo...

Merde je crois qu'elle s'est endormie.

Je pars donc vers la maison de numéro 21.

Je toque a la porte et attends, la petite toujours dans mes bras.

La porte s'ouvre dans un cliquetis et une femme l'air fatiguée apparaît au seuil de la porte.

Elle a une jupe lisse qui lui arrive jusqu'aux genoux couleur bleu foncé, un blaser toujours bleu avec en dessous une chemise blanche.

- vous voulez ? Sort la femme.
- la petite. Elle est a vous ?! Je lâche sans aucune délicatesse à la meuf.
- ma chérie ! Mais... Tu étais dans ta chambre... Elle prend sa fille dans ses bras et me regarde avec un mélange d'inquiétude et de peur.

Un bruit se fait entendre la haut. Comme si un meuble était tomber. Je passe et cours dans la maison jusqu'à l'escalier, que je monte 4 par 4. Il y a encore du tumulte dans la pièce. Je me précipite, ouvre la porte en grand, prêt à attaquer.

Un gars qui ressemble a un crabe, et une femme araignée. C'est la meuf araignée de je sais plus où ! Elle est totalement cacher derrière son masque et son costume, ne laissant aucune chance que quiconque puisse voir une seule parcelle de sa peau.

Elle est en train de se battre contre le gars qui maintenant que je le regarde a un corps de crabe, son buste et sa tête c'est humain mais ses mains, c'est des pinces, et son corps et un crabe !

Mais au fait, qu'est ce que je fous ?!

Je commence à courir en direction du gars crabe, et reçoit un choc au niveau du dos. Je regarde mes mains et vois des espèces de trucs chelous blancs, comme... Des toiles d'araignées mais superposés pleins de fois. J'avais même pas fait deux pas.

La meuf araignée m'a plaqué contre le mur ! La connasse !

Elle lance la même substance de toile au crabe, qui se retrouve coller au mur, et qui coupe la dite toile avec ses pinces. Elle envoie un fil qui se colle au mur derrière le crabe et tire dessus d'un coup sec. Elle se met a voler hyper vite dans la direction du crabe et lui fou un coup dans la nuque, et le crabe tombe raide au sol, elle sur sa carapace.

Elle se remet droite sur ses pieds et tourne la tête en ma direction.

Elle arrive et enlève ses machins de mes mains. J'atterris au sol sur mes pieds et la regarde.

Elle se tourne et prend le crabe qu'elle fou sur son épaule, elle a une sacrée force ! Elle passe par la fenêtre, toujours le crabe sur les épaules, et lance un fil je ne sais où et vole, grâce à ce dit fil.

Je la regarde partir de la fenêtre et descend en bas, voir la petite et sa mère.

Elles sont sur le canapé, la petite qui sert d'une main une peluche et de l'autre sa mère, sa mère étant en train de la serrer contre elle.

Je lâche un soupir et tourne la tête en mettant mes mains dans mes poches.

Au fait, comment le crabe a pu passer par la fenêtre ? Il fait trois fois la taille de la fenêtre.

foutue araignée ! } Katsuki x reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant