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Male ver

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Male ver.

Un mal de tête intense te frappa tandis que tu tentas s'ouvrir tes yeux.
Tu sentais ton corps trembler et geler. Mais soudainement, diverses douleurs vinrent te grignoter l'entièreté du corps et tu gémis, yeux pressés.
Tu te relevas mais ne put aller plus loin qu'à genoux. Tu observas avec incompréhension les alentours.

« Où suis-je ? Un.. château ? Un palais ? Tout est détruit ? Bordel, c'est l'examen Hunter ? Nan, je crois l'avoir déjà passé. Ou sinon j'ai rêvé ? »

Tu vis que tu étais auparavant couché sur du sang rouge que tu sus immédiatement t'appartenir. Tes yeux s'écarquillèrent de choque en voyant ta combinaison arrachée de toute part, ta peau égratignée et diverses taches de sangs bleues et rouges venant décorer le tout.

Jusqu'à ce que tout te revint à la tête comme un coup de hache au crâne, violent dont la réalité te fut difficile à digérer :

« - Pitou. Te souviens-tu de nous. Articula sèchement ton meilleur ami.

Cela sonna comme un ordre et non une question.

Le vert serra les points et écarquilla les yeux de colère, d'une lente et affreuse colère.. celle qui te procura des frissons agréables, celle qui te motivait à être le pire cauchemar de tes adversaires.

- Nous.. Nous sommes.. LES AMIS DE CELUI QUE TU AS MASSACRÉ ! »

« Gon.. Il va se battre avec Pitou. Il est énervé. Trop énervé. Je dois aller l'aider ! Pitou est puissante ! Il ne survivra pas s'il se bat contre elle ! Si on doit l'exterminer, alors nous devons - comme le plan l'indique - le faire ensemble ! Vite ! »

Avec les faibles forces qui te restaient, tu te levas et fit abstraction des tremblements dérangeants et intenses dont ton corps était victime. Tu te mis à marcher dans le seul but de retrouver ton meilleur ami - et tu espérais - les autres.

Voyant que Yupi, l'air amoché - probablement par les attaques du Zoldyck plus tôt - était entrain de monter à la surface du trou dans lequel les deux s'étaient battus, tu activas ton Zetsu afin qu'il ne détecte pas ta présence et couru encore plus rapidement afin de te cacher.

Tu pénétras le palais, et ne voyant personne dans ces couloirs détruits à cause de l'attaque de Zeno, le grand-père de l'assassin, tu slalomas jusqu'à tomber sur l'escalier qui menait directement à la tour où devait normalement se trouvait Gon. Mais tu entendus soudainement des bruits de destruction, jusqu'à ce que les murs du palais en tremblent.
Tu mis ta main sur ton oeil en moins, ce dernier te faisant de plus en plus souffrir avant que tu ne montes rapidement les escaliers, une inquiétude surhumaine venant te grignoter l'estomac.

𝑹𝑰𝑽𝑨𝑼𝑿, ᵏⁱʳᵘᵃ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳOù les histoires vivent. Découvrez maintenant