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𝑫𝑬𝑹𝑵𝑰𝑬𝑹 𝑪𝑯𝑨𝑷 𝑫𝑼 𝑻𝑶𝑴𝑬 𝑰 ‼️ 𝑳𝑬 𝑻𝑶𝑴𝑬 𝑰𝑰 𝑺𝑬𝑹𝑨 𝑫𝑨𝑵𝑺 𝑪𝑬 𝑳𝑰𝑽𝑹𝑬 𝑨𝑼𝑺𝑺𝑰 𝑳𝑬𝑺 𝒁𝑨𝑴𝑰𝑺

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Male ver.

ᴘᴅᴠ ᴋɪʀᴜᴀ

Mes doigts entremêlés à ses cheveux, mes yeux étaient perdus dans le paysage urbain au travers de la fenêtre de sa chambre.
Sa respiration régulière et douce se régulait aux battements de mon cœur, et je ne cessais de me repasser les scènes déchirantes qui s'étaient déroulées il y a de nombreuses heures en tête, en boucle.

Et Ô comme je haïssais ces scènes.

Celles où ses cris m'étaient douloureux à l'ouïe. Celles où son regard m'avait déchiqueté le cœur, car Ô comme je l'aime.

Son visage actuellement apaisé qui je savais allait se déformer de douleur lors de son réveil m'écœurait déjà, et cela m'effrayait.

Car Ô comme je l'aime.

Cet être sanguinaire que j'ai découvert n'être qu'une âme perdue dans une peine qui m'était inconnue, je l'aimais.

La porte de la pièce s'ouvrît, et je n'eus besoin de me retourner afin de découvrir l'identité de l'intrus.

- Il n'est toujours pas réveillé ? Prononça-t-il en s'approchant de moi.

Assit au bord du lit sur lequel (t.p) reposait, je détacha finalement mes orbes du paysage de la capitale et les déposèrent sur Yan qui venant d'entrer. Je lâcha un soupire profond, vide, et fit de simples légers mouvements négatifs de la tête.

- Ça fait presque un jour qu'il est inconscient. Marmonna Yan.

Oui, un jour qu'il ne voulait pas ouvrir ces orbes perturbantes et hypnotisantes dans lesquelles j'aimais tant me perdre.

- Ses trop fortes émotions ont choqués son corps. Je pense qu'il a aussi accumulé trop d'anxiété ces derniers jours. Tout dépenser d'un coup à du être un terrible choc physique. Murmurais-je.

Le garçon que j'avais rencontré dans le bus s'approcha et s'assit au bord du lit à son tour, près de moi, silencieux. Cela m'arracha un second soupire, un sujet qui me titillait la langue depuis de nombreux temps voulant sortir dès maintenant.

- Tu sais-

- Yan. Le coupais-je.

Son attention m'étant entièrement dédiée, je sentis alors ses orbes noisettes sur ma personne. Je me retourna en sa direction, ma main ne quittant point la chevelure (c.ch) de l'endormi, et nos pupilles se croisèrent, les siennes se dilatant de sentiments.

𝑹𝑰𝑽𝑨𝑼𝑿, ᵏⁱʳᵘᵃ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳOù les histoires vivent. Découvrez maintenant