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J'AI POSTÉE À L'HEURE YOUHOU

J'AI POSTÉE À L'HEURE YOUHOU

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Male ver.

Dans un couloir de la tour Céleste au 50ème étage - l'étage le plus bondé de ce temple à combats -, tu étais assiégé à l'un des bancs publiques mit à disposition, regardant les projections télévisées des combats en direct, grignotant des olives vertes.

Une semaine était passée depuis l'incident avec Aruka et l'intervention inattendue de Kurapika qui t'avait testé de sa 'chaîne du jugement'. Tu n'avais plus croisé les Zoldyck depuis ce jour, restant enfermé dans ta suite afin de minimaliser tes possibilités de les rencontrer, et faisait passer le temps.

En réalité, tu attendais que Kirua vienne à toi et te présente ses excuses. Mais le blanc semblait certain de ses remords et ne t'accordait que sa rancune.

« - Corps et âme, j'ai envie d'irrévocablement t'appartenir. »

Ce souvenir te procura une amère saveur au cœur, là où tu sentis ta gorge se resserrer et tes sourcils se froncer de désarroi.
Ces paroles dont il t'avait fait les aveux il y a de nombreux jours, cela après t'avoir prêté sa douce embrassade et ses tendres lèvres, fut comme sarcastique au moment présent. Contradictoire.

Ton regard se détacha quelques secondes de l'écran afin que tu ailles piocher une énième olive de son sachet, mais ces quelques instants suffirent pour qu'au loin, à l'opposé total du couloir bondé, tu vis le dos familier d'un homme disparaître derrière un mur.

Tu bugas et fut déstabilisé pendant quelques secondes avant que tu n'abandonnes ton sachet d'olives sur le banc que tu assiégeais depuis une bonne demie-heure, et trottina en direction de cet individu.

Individu que tu étais certain avoir déjà vu quelque part.

Tu arrivas dans un autre couloir tout aussi rempli que le précédent, les gens et touristes observant les combats en direct depuis les télévisions installées au niveau du plafond, et chercha du regard ta cible, les poings serrés.
À nouveau, tu tombas sur son dos et le vit pénétrer l'escalier de secours à une vingtaine de mètres de ta position.

Tu activas ton Zetsu et t'accouru vers cette zone, personne ne te prêtant attention, eux trop obnubilés à vaquer à leurs occupations, et tu pénétras les marches de secours, la porte se refermant derrière toi.

L'homme te faisant toujours dos s'arrêta au moment où tu avais traverser une première marche, et sans se retourner, vous restèrent immobiles pendant dix longues secondes où tu étais prêt à te battre dans le cas où il t'attaquerait suite à ta filature improvisée.

𝑹𝑰𝑽𝑨𝑼𝑿, ᵏⁱʳᵘᵃ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳOù les histoires vivent. Découvrez maintenant