Chapitre 6

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Au bout d’un certain temps, tout le monde était saoul. Ikedo s’était endormi sur le canapé, Saki et Nagisa commençaient à se chauffer on ne sait pas pourquoi et moi j’étais affalé sur les genoux de Kentô.

- He ép. t…toi t…tu veux rebrendre un v…verre ? Me dit saki en me tendant un verre vide. Je repoussais le verre d’un bras flageolant.

 Soudain Saki attrapa Nagisa qui jonchait au sol à moitié mort et ils partirent en direction de sa chambre. Je ne me doutais pas de ce qu’ils allaient faire vu que j’étais ultra saoul, ce qui m’empêchais de réfléchir correctement.
Comme des dominos, Kentô m’attrapa à son tour et se dirigea, en essayant de pas trébucher tous les trois pas, vers la chambre habituelle. Il me balança sur le lit moelleux et se plaça à quatre pattes au-dessus de moi le visage rougit par l’alcool.

Nous nous embrassâmes bientôt langoureusement. Il faisait de plus en plus chaud dans la chambre, ou alors c’étais moi. Mais je vis Kentô défaire enlever son T-shirt, me laissant découvrir son torse et ses incroyable abdominaux bien fichus. Après son T-shirt ce fût…mon T-shirt (je vous avais vus venir avec le pantalon).

Il commença à me toucher de partout et je sentais ma peau brûler à chacun de ses passages. Nos peaux se frottaient et je pouvais sentir son souffle chaud dans ma bouche. Son genou pressait mon entre-jambe et bougeait.

Bientôt il défit ma ceinture et retira mon pantalon et mon caleçon d’un coup bref. Je me cachais par reflexe mais il écarta délicatement mes mains et entreprit de s’occuper de ce qui était levé. Comme ça ne lui suffit bientôt plus, il retira ses bas, lui aussi, et plaqua son corps contre le mien dans de petits mouvements.

Il bloqua mes jambes d’une seule main et commença à enfoncer son index dans mon arrière, je réagissais et attrapais ses épaules.

- Qu’est-ce que tu fais Kentô ?

Il me regarda d’un regard emplit de désirs et me répondit :

- Je te prépare.

- Préparer…mais je suis pas préparé mentalement pour tout ça moi. Disais-je un peu stressé. Il me rassura d’un voix calme et douce.

- Tu m’arrêtes si ça te fait mal. On ne continuera pas si tu ne veux pas.

Lorsque je vis qu’il retenait ses pulsions, je céda et le laissa reprendre son affaire de doigt. C’était une sensation très bizarre mais pas dérangeante pour autant. Puis je l’entendis murmurer un truc du genre : ça doit être par ici…

Je me demandais bien ce qu’il pouvait chercher dans cet endroit. Soudain il appuya quelque part à l’intérieur de je sentis tout mon corps frémir et se trémousser.

- Gnn c’…c’était quoi …çaaa ? Disais-je en poussant des gémissements que je cachais avec mes mains.

- Ne te retiens pas, je veux t’entendre Mio. Me dit-il tout en appuyant de plus belle sur ce qui semblait être mon point sensible.
Je fis ce qu’il dit en ne me retins plus de gémir. Puis il passa un deuxième doigt, ainsi qu’un troisième, tout en allant et venant, et enfin un quatrième (nan jdéconne pas de quatrième doigt ça ferait trop). Mon corps bougeait maintenant tout seul sans que je puisse y faire quelque chose. 

Ensuite, il les retira, attrapa quelques choses dans un sac d’achat qu’il avait fait plus tôt et dont je n’en avais pas vu le contenu. Il en sortit un petit tube de liquide transparent et un petit sachet carré que je reconnu être tout bonnement une capote. Je l’observais la mettre et puis le vis revenir vers moi, le genre de gel à la main. Il regarda puis me dit :

- Attention ça va être un peu froid.

 En effet il versa le liquide glacé sur mes fesses et je fis un petit sursaut de surprise. Il reprit :

Le Hasard Fait Parfois Bien les Choses ! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant