Chapitre 9

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PDV KURAPIKA:

M.Nostrad: Kurapika, si je t'ai convoqué c'est pour te félicité de ton efficacité

Kurapika: Je ne fais que mon travaille.

Après avoir ramené mademoiselle Néon, Darzolne était venu me chercher car M.Nostrad a dit qu'il voulait me parler, mais me faire venir jusqu'ici simplement pour me remercier il y avait autre chose.

Darzolne: Un problème Kurapika?

Kurapika: Je vous demande pardon mais me faire venir jusqu'à votre bureau juste
pour me remercier, je ne peux m'empêcher de penser que vous m'avez appelé pour autre chose.

Un silence s'était installé dans la salle, je le savais

M.Nostrad: Tu as raison.

Darzolne: Aujourd'hui des corps on était trouvé, 5 pour être précis...on dit qu'il s'agirait de la brigade fantôme

QUOI!

Kurapika: Comment ça! Vous en êtes sûr, qu'il s'agirait bien des membres de la brigade?

Darzolne: Sur ces 5 corps, il y avait un tatouage en forme d'araignée sur lequel ce trouvait des numéros, symbole de la brigade fantôme.

Ce n'est pas possible...comment...qui aurait été assez fort pour pouvoir en tuer 5!...ce n'est pas possible il y a quelque chose de bizarre...

M.Nostrad: Si nous te disons ça c'est que le membre de la brigade que tu avais attrapé, ne fait pas partie de ces corps il pourrait réapparaître pour te tue toi et les autres gardes. Je veux que vous soyez prudents rien ne doit arriver à ma fille c'est votre priorité!

J'aurais dû le tuer quand j'en avais location, mais il fallait que je parte si je voulais récupérer les yeux de mes frères.

Kurapika: Mon devoir est de protéger votre fille quoiqu'il arrive c'est pour ça que j'ai été engagé, et cela est pareille pour mes coéquipiers.

M.Nostrad: Bien tu as fini pour aujourd'hui tu peux aller

Kurapika: Je vous en remercie.

Sans un mot ni un regarde de plus je quitte le bureau. Pendant que je marchais dans les couloirs du manoir je ne pue pensais à autre chose que c'est corps qui avait était trouvé. Je sortis de ma rêverie lorsque j'ai senti mon téléphone sonner, je me suis arrêté et prit mon téléphone c'était Gon j'ai décroché et mit le téléphone à mon oreille.

Kurapika: Allo?

Gon: Kurapika, des membres de la brigade phantom sont...

Je ne lui laisse même pas le temps de finir ça phrase que je lui réponds

Kurapika: Mort oui je sais, on vient tout juste de me l'annoncer

??: Passe le moi Gon. Kurapika c'est Killua, on est parti sur les lieux où ils avaient trouvé les corps. Kura cette scène de crime n'en est pas une.

À l'entente de cette phrase j'ai froncé les sourcils

Kurapika: Tu es sûr de toi ?

Killua: Kura crois-moi j'ai en vue des scènes de crime et celle-ci est fausse! Même s'ils affirment que ce sont de vrais corps elles sont fausses!

Il y a eu un moment de silence, je pouvais faire confiance à Killua après tout il a était élevé dans une famille d'assassins.

Kurapika: Bien merci de m'avoir prévenu je vais faire quelques recherches de mon côté. Les garçons écoutaient moi arrêter de vous mêler de ça vous finirez par avoir des problèmes.

Gon: Tu plaisantes Kura ?

Kurapika: Je ne plaisante pas, maintenant je dois vous laisser à plus les garçons.

Ma phrase finie je raccroche, je ne voulais pas paraître froid avec mes amis, mais pour leur sécurité, il faut que je dise les termes. Je commençai à marcher en direction de chez moi, et commença à réfléchir. Concernant cette histoire, avec les membres de la brigade fantôme, elle me paraît bizarre, je ne doute pas de l'instinct de Killua mais pourquoi se ferait-il passer pour mort ? Avait-il un plan en tête ou alors y a-t-il eu un changement parmi les membres?

Je continue à me creuser la tête du pourquoi du comment, jusqu'à arriver devant l'hôtel une fois rentrée à l'intérieur, j'allais me diriger vers l'ascenseur pour rejoindre ma chambre

???: Kurapika!

Une voix qui ne mettait pas inconnu, mais pas familière, m'arrêta dans ma course je me retourne que fut ma surprise de voir Lucifer en personne. Il vient en ma direction un sourire collé sur son visage

Kurapika: Est-ce que mes propos n'étaient pas assez clair ou tu ne comprends pas ma langue

Kuroro: Pour comprendre ta langue, il faudrait que je puisse la goûter

Ces mots me donnèrent des frissons

Kurapika: Va voir un psy

Kuroro: Pour me dire des choses que je sais déjà pas la peine

Kurapika: Pff...

Kuroro: Tu n'es pas un grand fan d'humour, toi

A ces mots je lève les yeux au ciel

Kuroro: Bref, ne t'inquiète pas si je suis là c'était pour m'assurer que tu étais bien rentré chez toi

Kurapika: Eh pourquoi ?

Kuroro: Rien d'important, ne t'inquiète pas blondinet a plus

Il partit me fessant un signe de la main et passant la porte de l'hôtel. Je me retournai pour reprendre mon chemin jusqu'à ma chambre, mais la sonnerie de mon téléphone m'arrêta.

Ne vais-je jamais pouvoir rentrer dans ma chambre? Je pris mon téléphone en main pour voir qui m'appeler c'était Senritsu, je décrochais et mi le téléphone à mon oreille

Kurapika: Allo? Un problème ?

Senritsu: Désolé de te déranger, mais il faudrait que tu viennes nous rejoindre pour surveiller les yeux du clan kurata

Ces mots, je pouvais sentir que mes pupilles étaient devenu rouges. Heureusement pour moi je portais mes lentilles. Donc personne ne pouvait voir mes yeux.

Kurapika: Un problème avec les yeux ?

Senritsu: Ne t'inquiète pas pour le moment, il n'y a aucun problème mais M.Nostrad nous a demandé de veiller sur les yeux, avec ce qui s'est passé avec les membres de la brigade, il préfère être prudent. Cependant, certaines personnes manquent à l'appel. Darzolne a essayé de les localiser pour savoir où il se trouvait, mais aucune nouvelle d'eux. Ce qui fait se méfier encore plus M.Nostrad. On aurait besoin de ton aide, tu peux venir ?

Ni une ni deux, j'ai fait demi-tour pour sortir de mon hôtel et me diriger de nouveau vers le manoir des Nostrad

Kurapika: J'arrive au plus vite.

Je raccroche sans un mot de plus et marche plus vite. Cette fin de journée était très bizarre, d'abord cette histoire de membres de la brigade retrouve mort. Ensuite, un appel de mes amis me disant que ceci n'était pas vrai et pour finir des personnes qui avait disparu sans laisser de trace.

Il fallait que tu soit là {kuropika}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant