Il fallait que tu soit là {kuropika}

Chapitre 10

PDV KURAPIKA:

Je me trouvais à présent devant la porte ou étaient gardés les yeux de mes frères, je ne laisserai personne toucher qu'il fasse partie de la brigade phantom ou pas. Je poussai la porte et rentrai dans la salle, je pouvais voir Senritsu.

Kurapika: Senritsu!

Senritsu: Kurapika te voilà

Je regardai autour de moi, mais je ne vis personne d'autre qu'elle.

Kurapika: Il n'y a que nous deux?

Senritsu: Oui, nous avons perdu le contact avec les autres. Nous ne savons pas où ils sont. Quant aux autres gardes Messieurs Nostrad a préféré les mettre à la protection de Mademoiselle.

Kurapika: Je vois donc nous sommes que tout les deux. Est-ce qu'avant mon arrivée il s'est passé quelque chose de bizarre ?

Senritsu secoua la tête de droite à gauche pour répondre à ma question.

Kurapika: Je vois... Senritsu tu pourrais aller vérifier autour du bâtiment si tu vois ou entend quelques choses?

Senritsu: Oui mais tu crois que ça va aller si on se sépare ?

Kurapika: Ne t'inquiète pas si la brigade fantôme venait vraiment ici je m'occuperais d'eux, toi si tu entends ou que tu vois quoi que ce soit, viens me le dire immédiatement ne les affronte pas!

A sa tête je peux voir quelle n'est pas très convaincu, elle finit quand même par accepter et sortie de la salle. Je regardai les yeux de mes frères.

Kurapika: J'empêcherai quiconque de récupérer ces yeux qui m'ont pris tant de mal à trouver, je récupérerai les yeux de tous mes frères.

Je me mis face aux yeux pour ne pas les perdre du regard, plusieurs minutes s'écroulèrent et toujours rien.

PDV KURORO:

*Dans une arbre*

Je ne comprends pas ce qu'il fait ici, je me suis pourtant assuré qu'il était bien rentré chez lui. Heureusement que j'ai pris un masque avec moi, il va falloir que je récupère ces yeux sans lui faire mal. Ils ne sont que deux, l'autre personne c'est trop éloigner de la salle tant mieux je ne veux pas rester longtemps ça laisserait le temps au blond de me reconnaître et je ne le veux pas.

Je mis le masque et c'est partie. Je me trouvais à présent devant la porte qui menait à la salle, avant même que j'ouvre la porte, j'esquivai une chaîne de justesse mais qu'est-ce que!?

Kurapika: Vous voilà! Ça fait longtemps que je sens votre regard sur moi. Je croyais que vous allez rester à jamais dans cet arbre.

Il...il avait senti ma présence depuis tout ce temps?? Décidément ce blondinet m'intéresse de plus en plus

Kuroro: Je suis navré, on dirait que je vous ai fait attendre

En disant ça j'en avais profité pour me rapprocher de lui

Kurapika: En effet, mais ce n'est pas grave, de toute façon le temps de votre mort et pour bientôt

Un sourire, c'était mis sur mon visage

Kuroro: Ma mort ?

Kurapika: En effet, ne me dites pas que vous n'avez jamais pensé à la mort, étant donné que vous-même tuer des gens, un jour ou l'autre, ça allait vous retomber dessus

Kuroro: Oh~ et c'est toi qui serais en charge de me tuer c'est ça ?

Kurapika: Tout à fait.

Kuroro: Et pourquoi ce serait à toi de me tuer et pas un autre?

Je me mis derrière lui mais il lavait senti et ce mis là où j'étais quelques secondes avant

Kurapika: Et pourquoi je te le dirai toi quand tu tues des gens tu ne leur expliques pas le pourquoi du comment tu fais simplement ce que tu as envie toi et ta brigade

Il semble qu'il ait une vraie rancœur contre la brigade, même si nous sommes un groupe d'assassins et que nous sommes pas adorés par tous mais mon blond a l'air de vraiment pas nous porter dans son cœur.

Je repris vite conscience quand je sentis son nen s'activer. Il me lance ça des chaînes à grande vitesse, mais je réussis quand même à les éviter.

Des chaînes?? Alors c'est lui le type à la chaîne qui avait failli tuer Uvoguine. Il est plus fort que je le pensais s'il peut rivaliser avec un des membres de la brigade, surtout contre Uvo. J'ai très envie de voir à quel point il est fort, mais je n'ai pas envie de traîner ni de le blesser. Je dois vite prendre les yeux et partir.

Kuroro: Alors, c'est toi le type à la chaîne!

Kurapika: Oui, le type que vous cherchez, c'est moi

Kuroro: Comment sais-tu que nous te cherchons ?

Kurapika: Tu n'as pas besoin de savoir maintenant c'est l'heure du combat! Prépares-toi à mourir!

Il continue à m'envoyer ses chaînes que je continuer à esquiver, quant à moi, j'essayais de l'attaquer pour essayer de l'assommer, mais il ne me laissa pas l'approcher. Je décidais alors de me tourner vers les yeux mais le blond se met alors en face de moi cette fois-ci, je le regardais dans les yeux ses alors que je vis une espèce de lueur dans ses yeux.

Kurapika: Tu ne toucheras pas à ses yeux!

Je pouvais ressentir une rage monstrueuse en lui, ses yeux avaient une lueur de rouge... ne me dit pas que...

Kurapika: A ta façon de me regarder, je vois que tu as compris

Je ne pus m'empêcher de laisser sortir un petit rire, je crois que je ne pourrai sans doute jamais me lasser de lui IL ME LE FAUT!! IL NE PEUT APPARTENIR QU'A MOI!!

Kurapika: Je suis le dernier survivant du clan Kurata, le clan que vous avez décidé de décimé pour leur yeux rouges!

Kurapika commença à bouger je pensais qu'il se rapprocherait de moi pour m'attaquer, mais il s'était rapproché des yeux et venait de retirer l'aiguille de nen qui était sur le bocal.

Kurapika: Tout à l'heure, quand j'ai senti que tu étais là, je me suis demandé comment vous aviez su qu'on avait amené les yeux ici. Donc il n'y avait que deux possibilités la première et qu'il devait avoir un traître parmi le clan Nostrad, la seconde était que l'un d'entre vous avait utilisé le nen, je crois savoir que dans votre brigade, un des membres est capable de créer des fils de nen

Kuroro: Comment sais-tu ça ?!

Il en sait beaucoup sur nous, c'est étrange serait-ce un utilisateur de nen qu'il lui aurait donné ses informations? Je le découvrirai bien assez tôt. Je souris à nouveau, je vais lui laisser les yeux je n'en ai pas besoin de plus, je crois que je préfère 100 fois mieux ces yeux à lui.

Kuroro: Je dois bien avouer que tu m'impressionnes et juste pour ça je vais te laisser les yeux il est temps pour moi de partir

Il me lance ses chaînes, mais je les arrêtai avec ma main je fis alors apparaître mon livre et utilisai un nen de corrosion que j'ai pris à une personne dont je ne me souviens plus. Ses chaînes commençaient alors à se détériorer, mais pas entièrement. Décidément il m'attire de plus en plus. J'utilise cette fois-ci, un nen de téléportation.