Toute la journée sans parler à la reine de fléaux.
Au bord du ruisseau de mon cœur tranquilles étaient les eaux.
Pénétrant mes os , la rancoeur déchirait les rideaux de mon bateau.
Soleil dans le verseau, douleur dans ma peau, manifester par mon dos, devenu sujet des ragots.
Malheur sans peur, terreur sans pleur,
Traversaient l'épaisseur de mon horreur.
Corroyé la douleur; la valeur de la splendeur de mon humeur a perdu son ampleur.
Chaleur de haine sans vaporisateur, clameur telle une vapeur.
Reine disparue apparue au songe adouci;
Assombri, par un Clabaud abruti sans souci;
Abalourdi, abasourdi et alourdi par sa mauvaise foi imprévue,
Songe atterri et abouti à un sens dépourvu.
Amour virtuel à une reine rationnelle, loin du sensuelle.
Ponctuelle aux songes, manifestant aux heures habituelles,
Née Olivia surnommée mon actuelle,
Vivant dans mon cœur et ma tête opérationnelle.
Dévouement amoureux aux amants tolérants, au cœur en diamant.
Vivant pleinement le moment adolescent de leur vie sans méchant.
Réalisant des œuvres romantiquement charmant.
Au terre sans piton, demeurant sans vagabond l'amour croit en resplendissant.
Derlino d'Ogip
VOUS LISEZ
Ma passion poétique
PoetryLa lecture est un exercice par lequel le lecteur réussit à transformer les indications graphiques en informations claires et distinctes. C'est par une lecture sérieuse qu'on n'acquiert réellement des nouvelles connaissance. C'est cette lecture qui a...
