Chapitre 6

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Chapitre 6 :

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Chapitre 6 :

Le château de Mr. Jamil.

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8h37/limousine/

La voiture roule depuis plusieurs heures maintenant. La fatigue commence à ce faire ressentir. Je regarde par la fenêtre, le paysage défile rapidement mais j'arrive à voir la grande forêts qui entoure l'autoroute sur laquelle nous roulons.

À l'avant, il y a le chauffeur et a cotée de lui se trouve Assar. Sur la banquette arrière il y a la femme en uniforme et moi.

Je me sens mal à l'aise et les bijoux que je porte me dérange. Mon corps mon démange de partout je veux me dégourdir les jambes. J'ai l'impression d'être un enfant de cinq ans qui attends impatiemment l'heure de la récré.
Je commence à taper des pieds et tapoter du doigts sur la vitre.

Du coin de l'œil, je remarque que la femme en uniforme tourne la tête vers moi. Instinctivement, j'arrête tout mouvement des pieds ou de la main. J'avale ma salive, me retourne et je regarde la femme.
Elle ne me sourie pas je ne vois pas pourquoi je le ferai. Elle fini par détourner le regard.
Mon attention se retourne vers le paysage derrière la fenêtre.

Sa fait un moment que la voiture roule sur l'autoroute, mais cette autoroute est vide, a part celle dans laquelle je suis, il n'y a pas d'autre voitures.

Tout le monde a l'aire d'étendue sauf moi. Plus on avance plus j'ai envie de courir.Je vraiment l'impression que je vais faire f*irer  ce rendez-vous.

Après plusieurs minute la voiture s'arrête devant un énorme châteaux. Celui-ci est très sombre alors que l'Elisabeth a la grande réputation d'être brillante, en or et en blanc.

Le conducteur descend, ouvre la porte à Assar puis à la femme et moi.

Je descends de la voiture et la fatigue me frappe.
Pour remédier à ça il faut que je cours, mais avec ma robe moulante et mes bijoux je ne vais pas aller bien loin. Ma mère s'approche de moi et elle remets l'une de mes mèches derrière mon oreilles. Je reste neutre face à cela et ça a l'aire de la contrarié.

Je tourne ma tête en direction du châteaux et devant nous se dresse des longs escaliers.
Heureusement que j'ai pris des ballerines a la place de mes grands talons.

Monter ces escaliers va sûrement m'aider à mes dégourdir les jambes.

Je monte les escalier avec Assar, guidée de la femme qui est devant nous.
Le chauffeur, lui, est rester dans la voiture.

Après plusieurs minutes ont arrivent au bouts des escaliers.  Les portes du château sont grande ouverte. Un homme se tiens debout juste en face de nous.
Sourire au lèvres, il tend sa main à Assar.

Hayatha Nadir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant