Acte V : La grande nuit de Walpurgis

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De retour aux vieux village, où notre hôtel, si on pouvait appeler ça comme ça. Nous tentions de nous remettre de notre courte aventure. Depuis que j'avais quittée le village, l'arbre avait cessé de me murmurait dans la tête.

Cette après-midi, dans cette hôtel lugubre qui finit par devenir un peu rassurant au fil du temps, nous nous attelions à prendre soin de nos corps malmenée par la balade effrayante. Quand soudain quelqu'un toca à la porte.

-Salut les filles ! Nous salua celle qui semblait ce moquer ouvertement de nous. Vous prenez soin de vos corp, c'est bien ça, parce que ce soir, vous êtes invitée à la nuit de Walpurgis !
-Walpur...Quoi ? S'insurgea Jade.
-Une fête réunissant les plus grands mage de notr
galaxie. C'est aussi ce soir que vous serez baptisée et que vous devrez prêter serment...
-Une secte je te dit !!! M'ecriais-je. Je ne rentrerais pas dans vos combine !!!
-Pourtant vous n'aurez pas le choix, ricane-t-elle. Vous y êtes très attendue ! Bref, soupire-t-elle. Puisque ce soir la fête demande de vous que vous soyez le plus distinguées possible, cette après midi, c'est shopping...
-Ouaisss !!! S'écria Raïssa qui avait carrément oubliée ses craintes.
-Je vous laisse ma carte de crédit, ricane-t-elle. Amusez vous bien, sourit-elle avant de partir.

Sans comprendre on se regarda dans les yeux, et on se jeta sur la carte. Puisqu'elle voulait qu'on s'apprête, on la ruinerait. Et c'est donc ainsi, que muni de cette fameuse carte, on déambula dans cette ville aux aspect lugubre.

Même les gens y était bizarre, les vieux, les femmes, les hommes, les enfants, tout était laids. Dans une boutique qui semblait vendre des robes, les filles semblaient s'être prise au jeux. Mais moi, une toute autres chose me trottait dans la tête.

J'étais seule, aucun garde-fou, pour m'arrêtait. Je tenais ma chance. Tanpis pour elle, je me tirerais quand même. J'ouvris rapidement la boutique, et j'accoura dans la rue pavée. L'odeur salée du vent, m'indiquait que je n'étais pas loin du port. Tant mieux, c'était la que je voulais aller. Alors qu'à cours de souffle je déambulait dans les rues, je me fit bousculer par une autre personne aussi pressée que moi.

-Maître faîtes attention ! S'inquiéta un homme en tentant dans ramasser un autre parterre.
-Tu peux pas faire attention ! M'insurgeais-je en constatant que je m'étais bien fait mal.
-Ah veuillez me pardonner ! S'excusa le jeune homme qui paraissait tout de même plus vieux que moi.
-Ah, merde ! Me relevais-je difficilement.
-Vous avez mal quelques part ? Se précipita sur moi le blond.
-Maître nous n'avons pas le temps ! Se pressa l'accompagnateur.
-Eh ! M'agaçais-je devant celui qui semblait ce soucier que de sa personne. Tu te prends pour qui, ton maitre m'a fait mal ! Reste à ta place esclave !
-Comment oses-tu...
-Datalian ! Se fit plus ferme celui qui paraissait tête en l'air. Elle a raison, ton impolitesse m'embarrasse...
-Bien fait ! Me moquais-je ouvertement.
-Mademoiselle, se retourna l'homme. Veuillez acceptée que je vous offre à boire en guise de pardon, ainsi nous pourrions voir si vous n'êtes pas blessée....
-Non merci, refusais-je. Ça ira, j'ai des choses à faire !
-Comment osez-vous refuser une invitation du grand Salomon ! S'énerva le larbin.
-Chutt ! Souffla le patron. Vous ne pouvez pas refuser ! Venez !

Il me tira par le bras et m'emmena dans un endroit, qui semblait luxueux. Rien à voir avec dehors, ici le temps semblait reprendre son cours normal. Bien que l'ambiance régnant dans cette sorte de café, semblait elle aussi sombre, je m'y sentais plus à l'aise.

-Alors que voulez-vous Mademoiselle ? Demanda mon hôte.
-Je suis pas d'ici, soufflais-je en regardant à chaque recoins du bar. Je dois prendre le bateau pour rentrer chez moi...
-Chez vous ? Relève-t-il en arcant un sourcil.
-Oui, en France, des fous mon embarqué de force, mais j'ai réussis à m'échapper...
-Alors vous êtes une des sorcières recrutait par le conseil ? Demanda le blondinet.
-C'est pas vrai, soupirais-je. Un autre chtarbé...
-Vous serez donc à la nuit de Walpurgis ce soir ? Souria l'homme. J'espère sincèrement, que l'on s'y verra...
-Une sorcière de votre rang, ne sait pas la chance qu'elle a de parlait ainsi avec le grand Salomon ! Se vanta le larbin.
-Oui, bah c'est pas tout, je me releva et je tenta de fuir. J'ai des choses à faire...
-Non, prenons un café, me retient-il par une force invisible sur ma chaise. Ne partez pas tenez moi compagnie ! J'ai rarement l'occasion de discuter avec de nouvelle personne..
-Tsss !

Les Mémoires de Ambre Olivia De CruzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant