Acte I : L'introduction de Ambre Olivia De Cruz

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Tout à commencé un matin de novembre. Nous sommes le huit, un mardi. A cette époque là, je n'avais que seize ans, en pemière année de la section peinture de mon lycée technique. Je me souviens qu'à cette âge là, j'étais une enfant trés spécial. Au grand désarrois de mes parents, en plus d'être une buse et une pertubatrice de cours, je n'avais aucun rêve d'avenir.

-Tant que il y a de l'argent et que je n'ai pas trop de responsabilitée, peu m'importe la nature du travail.>>

Tel etais mon discours quand on m'interrogeai sur mes percepective d'avenir. Je n'avais pas de souhait particulier, aucune passion, rien. Pour moi, la vie était un long fleuve tranquille et ennuyant. Maintenant quand j'y pense, bien qu'au départ je me croyais maudite, finalement cela c'est avéré être la meilleure chance de ma vie.

Dans ce monde je trouvais tout, si terne et fatiguant, je vivais une vie de simple humaine sans avenir certain. Enfin, c'est comme cela que ça aurait du être. Mais en ce matin de novembre, rien ni personne aurait pu prédire ce destin tout autre qui s'offrait à moi.

Le vent d'automne chantant les louanges de l'hiver, venait clamait son désarois sur mon visage rougis par le froid. Il était neuf heures et demi, et le soleil peine à se dégager dans le ciel. Devant les portails vert de mon lycée technique, mes parents semblait s'agacer à attendre celui qui les avaient convoqués. Ma mère n'était pas de nature à ce déplacer pour n'importe quoi, elle avait l'habitude de mes frasques et ne prenais plus la peine de venir au convocation de mon école. Et mon père n'en parlons pas pour lui, je pense que j'étais une honte. Enfin, je peux pas trop lui en vouloir, après tout j'étais loin de l'enfant idéale.

Quand le portail s'ouvrit un vieil homme nous fit signe d'entré, c'était le directeur. C'était une brave personne qui venait parler à tout les élèves du lycée. Il était agréable et sympathique, je l'aimais bien. Au moins lui,n'était pas comme ces vieilles morues qui ne cessaient de brailler comme des phacochères vous postillonnant dessus de leurs salives acidifiée.

Une fois dans le bureau du dit, proviseur, mes parents s'installèrent sur des chaise qui grinçait contre le sol carrelée de la pièce. À l'intérieur cela sentais comme dans les bureaux. Vous savez cette odeur qui vous fiche un de ces mal de crâne, tellement énervante que je ne saurait la d'écrire. Je me demandai comment des gens pouvais vivre avec cela, c'est comme cette lumière qui ne servait strictement à rien. Dans ce bureau, il faisait sombre et les couleurs grises omniprésentes dans la salle n'arrangeait cela en rien. Et ces rideaux en acrylique, empêchant le soleil de rentré, bien que ce jours là il n'y en ait pas, je trouvai ça particulièrement énervant.

Les Mémoires de Ambre Olivia De CruzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant