Les Mémoires de Ambre Olivia De Cruz

Acte II: Bienvenue en Terre-Sainte

         Parti 3: La visite du village des bergers.

La voiture venait de s'arrêter depuis quelques heures maintenant. Doucement, je reprenais mes esprits. Je me releva et remarqua  que le paysage avait encore changé. Je m'approcha de la fenêtre et observa le spectacle qui s'offrait à nous.

Nous étions toujours dans la forêt, les arbres étaient encore omniprésents. Mais au milieu de tout ça, pleins de maisons était érigeait. Les maisons étaient couleur terre et avait le toit rouge. Du foin était un peu éparpillés sur le sol.

-Allez, on descend ?! Nous proposa Duncan.

Les filles qui venait de se lever elle aussi, se levèrent et je fis de même. En descendant du camping-car, je jeta des regards furtifs au alentours. Guettant le moindre danger.

-Ne vous inquiétez pas, ici vous n'avez rien à craindre, se moqua Duncan.

Je le regarda suspicieusement et je fini par m'écarter pour mieux prendre conscience de l'endroit. Malgrés l'étrangeté qui se dégagé de ce village. Une partie de moi ne pouvait qu'être fasciné par tout cela. Au milieu de toutes ces maisons, il y avait une fontaines ou jaillissait de l'eau aussi clair que le ciel. Les pierres dans lesquels retombé l'eau semblait vieille et épuisée. La statue d'où ressortait l'eau, représenté une femme dansante. Sous le foin, je pouvait remarqué que le sol était pavé. Sans s'avoir ou j'allais je continua mon excursion. Dans une sorte d'enclos non loin de la fontaine, il y avait, des moutons, des brebis, des vaches.

-Bon, me coupa le brun dans ma contemplation du village, suivez nous !!!

En silence on suivit Duncan et Eliott qui nous dirigeaient vers une grande bâtisse toute en pierre. Le jeune homme au cheveux blanc en poussa les grande porte en bois. A l'intérieur un tas de personne y était assis à la manière d'une réunion dans une église. On se croirait dans la petite maison dans la prairie. Les gens étaient assis les uns des autres sur un banc. Écoutant un vieil homme habillé en noir. Dans ma tête je ne pus m'empêcher de me demander si on était dimanche. Mais à cette pensée, une autre me traversa l'esprit. Après avoir observait c'est personne bien trop calme et silencieuse, un frisson me parcoura le long du dos. Peu importe la manière dont je voyais les choses, cela restait pareil. Je ne pouvais m'enlever cette horrible idée que j'avais affaire à une secte. Ou alors était-ce une paroisse très pieuse comme on en voit dans les films américains.

Dans ces films, souvent le héros est le nouveau venu dans un village ou simplement de passage. Tout à l'air normale en apparence, mais plus le temps passe et plus le personnage principale se sent oppressé par une force obscure.

À cette idée, je ne pus me retenir de faire quelques pas en arrière. Mon instinct de peureuse me faisait prendre conscience du danger dans lequel je me trouvais. Je voulais prendre mes jambes à mon cou, mais je me mis à réfléchir. N'est-ce pas le premier qui s'enfuit qui crèvent en premier ? N'est-ce pas mieux de faire semblant de n'avoir rien remarquer et de marcher dans leur jeu ? Oui et comme ça à la première occasion je pourrais me tirer. Parce que même si je pars seul, comment je ferais pour m'y retrouver dans cette forêt ?

Je mettais décidée, je ferais croire que je marche dans leur jeu. Ensuite dés que je peux je me tire le plus loin possible. Je regarda mes compagnes de mésaventures, et je pensa, comment vais-je faire pour elles ? Oui, mais si je leur dis, elles risquent de me faire remarquer. Tanpis, je sauve ma peau d'abord et les autres on verra après.

-Duncan, Eliott, s'écria celui qui semblait être le chef de cette secte. Je suis heureux que vous soyez venus aussi vite.

-Monsieur Tsoukanov, on est venus dès qu'on a pu, répondit Duncan, nous avons avec nous de nouvelles recrues. Avec ces bras en plus, on pourra menait la mission à bien.