Gojo Satoru : L'Interdit

Chapitre 5 : Effet papillon

-Ça fait une semaine tout de même depuis l'averse...-

Je regardais à travers la fenêtre de ma chambre, les rayons chaleureux du soleil qui venait illuminé les arbres et la partie commune verdoyante de l'école d'exorcisme de Tokyo.
Une semaine après la mission, l'orage et ce qu'il c'était passé avec Satoru, je n'avais pas vraiment eu de nouvelles.
Directement après la fin de nos ébats, il avait repris ses esprits et un coup de téléphone avait interrompu un moment d'explication, il avait dû partir rappidement.. depuis j'étais dans le flou.
À l'école, il semblait m'ignorer.

-Merde ! On a couché ensemble tout de même !-
Je frappais mon point contre le mur de ma chambre étudiante.
Mes cheveux étaient libre, tombaient le long de mon dos pendant que je regardais le sol, mon poing sur le mur tremblait.
Et puis comment pouvais je l'approchait désormais, il est soit avec les autres professeurs, soit des élèves étaient présents près de lui.

C'était impossible.

J'essayais de me reprendre en main, et en ce jour de week-end, je m'habillais sans mon uniforme scolaire, une jolie robe blanche d'été.
Je sortais de ma chambre, on croisait tout un tas de monde le samedi. Beaucoup d'élève en profiter pour aller faire du shopping en ville ou boire des coups dans des bars.

_Tiens, Tomoé en forme ?

_Tiens, Megumi, tout baigne et toi ?

_Ca va, je vais en ville avec Yuji et Nobara.

_Tu as raison de profiter.

Le jeune élève de seconde s'en allait donc après m'avoir salué, il était vraiment gentil celui là même si au premier abord, on aurait tendance à le fuir du à son caractère.
En sortant, je pris un sac avec moi, un sac à dos noir que je transportais sur mon épaule droite.
Je décidais de me baladais dans les jardins de l'école, restant dans mon monde, dans ma bulle mais j'en fus vite sortie, quand je voyais au loin qui marchaient dans ma direction, des vieux du conseil.

_Tiens, on laisse encore Kimura en totale liberté dans l'école. Radotait l'un.

_Je suis d'accord avec toi, elle n'a rien à faire ici. Répondait un homme derrière lui.

_Vous avez que je vous entend ?

_Je ne m'en cache pas.

_J'ai mérité ma place ici, je suis forte, très forte et vous le savez, c'est pour ça que je ne suis qu'une vulgaire classe 1.

_Tu n'aura jamais ta recommandation en classe S, je m'en veillerais personnellement, estimes toi déjà heureuse de vivre en ces lieux.

_WOW deux pauvres vieillards qui s'en prennent à une seule jeune vite, vous avez pas honte à votre âge si avancer, les ancêtres.

La voix de l'homme qui m'ignorait depuis 1 semaine retentissait, posant une main sur mon épaule en observant à travers son bandeau les hommes qui siégeait au conseil.

_Elle a sa place ici, dois-je vous rappelez l'accord que j'ai passé avec vous ? Si Kimura n'étais pas admise, je démissionnais personnellement.

_pff les jeunes et leur manque d'éducation. Nous avons autoriser son admission, mais sa en restera là. Dit-il avant de s'en allait dans les bâtiments principaux de l'école, ne restant que nous 2.

Qu'est ce que devrais dire ?
-Oh Satoru, l'abonné absent pendant une semaine alors que vous avez forniquer avec moi ?-
Non, ça ne le faisais pas trop effectivement.
Il retirait sa main de son épaule.

_On dirait qu'on arrive enfin à être seul ?

_Bien sur, trouvez vous des excuses.

Sur le coup je ne voulais pas vraiment entendre des excuses stupide, depuis une semaine je me torturais avec moi-même, demandant ce que j'avais bien pu dire ou faire de mal. Je fais quelque pas avant que la main de Satoru attrapait la mienne, même stoppant.

_Attend, c'est pas vraiment ce que tu crois.

_Ah oui ? Dis-je en me retournant pour lui faire face. Je savais qu'il daignerait moins à me mentir yeux dans les yeux.

L'exorciste de classe S se grattait la tété innocemment et lève les bras en l'air comme pour mimait une arrestation.

_ C'était pas vraiment le moment cette semaine, j'ai eu pas mal de chose à régler, entre le conseil qui cherche constamment un moyen de t'évaser et l'arriver du réceptacle de Sukuna.

_Vous en faite pas, ne prenez pas de pincette avec moi.

_Déjà, je t'ai dit de me tutoyer, c'est d'autant plus bizarre qu'avec ce qu'il s'est passé. J'ai pas vraiment eu envie de t'ignorer mais j'avais besoin de trouver mes mots pour expliquer mes sentiments et mes pensées.

_Et quelles sont vos pensées ?

_Écoute... Ce qu'il s'est passé c'était génial, excitant si on peut dire. Tu m'attires et j'ai cru comprendre que c'était réciproque.

_Vous vous trompez... Je vous... Je t' aime...
Avais-je dit avec honnêteté.

C'était dit, mes plus profonde pensée, mon plus gros secret dévoilait en plein jour à celui donc jetait obsédé depuis des années, je serrais de peur et d'anxiété la lanière de mon sac. Il semblait pas vraiment surpris à ce que je dise ça, il restait calme, mains dans les poches de la veste qu'il m'avait prêtée lors de cette pluie d'été. Je pouvais encore devinez l'odeur de son parfum même de loin.

_Je m'en doutais, Tomoé...Et j'en suis désolé, ce qu'il s'est passé, ça était fait contre nos volontés, on est attiré l'un à l'autre mais, ça devras rester ainsi.

_C'est à dire ? ... Demandais-je peu sûr de moi.

_Que nous deux, ils n'y aura pas suite, je reste avant tout ton professeur et tu es mon élève, on se serait rencontré dans d'autres circonstances, sa aurait été différent.

_Ne fallait-il pas y penser avant de coucher avec moi ? Putain, tu a entendu ce que je t'ai dit. Je t'aime, je connais même tes sucreries préférés je-

_Je regrette pas Tomoé, mais, je peux pas t'offrir ce que tu demandes. Satoru avait stopper la jeune fille.