Chapitre 13

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Elio

Lorsque j'atteins enfin son string, je me rends compte qu'elle est mouillée, elle est mouillée pour moi et comment vous dire que ma queue grossie encore plus qu'elle ne l'était déjà. La voir excitée sous mes doigts est vraiment magnifique et dès que j'effectue une pression sur son intimité cela lui fait écartée les cuisses, je n'ai pas le choix que d'aller plus loin. Mais je ne veux pas aller plus loin ici sur ce canapé, à côté de nos meilleurs potes endormis, elle mérite mieux et je veux la découvrir dans les moindres détails.

- Hmm Lia tu vas me rendre fou.

Tout en lui avouant cela, je retire ma main et l'assis à califourchon sur moi. Dans un premier temps elle écarquille les yeux, ne comprenant surement pas pourquoi je réagis comme cela mais je ne compte pas la lâcher en l'emmener dans ma chambre. Installée de cette manière, elle sent réellement l'effet qu'elle me fait et le désir que je ressens pour elle.

- Je n'ai pas envie qu'ils voient quoique ce soit, on va dans ma chambre, si ça te va ?

Je ne peux m'empêcher de lui demander, j'ai entendu sa conversation ce soir avec Ella, juste avant notre bataille de coussins avec James, je sais qu'elle a peur et qu'elle a besoin de temps pour lâcher prise, c'est pour cette raison que j'essaie de prendre le plus de temps même si mes sentiments pour elle ne cesse de grandir au fils des jours.

- D'accord. Me dit-elle tout en se collant encore plus à moi.

Je me lève donc du canapé avec Lia dans mes bras en espérant me taper et trébucher sur rien pour que l'on arrive en un seul morceau dans ma chambre. Durant le trajet du salon à ma chambre, Lia s'amuse à m'embrasser partout dans le cou ce qui fait que je resserre ma prise sur ses fesses.

Oui mon cou est mon point sensible.

Une fois que l'on est dans ma chambre, je ferme la porte et me dirige vers mon lit, je la dépose délicatement mais je ne m'éloigne pas d'elle. Je prends quelques secondes pour la dévorer du regard. Elle est magnifique, elle a les joues un peu roses et les lèvres un peu gonflées dû à ses baisers. Je ne résiste pas et je l'embrasse. Dans un premier temps mon baiser est doux mais très vite j'en veux plus et il devient plus passionné. Ma langue passe la barrière de ses lèvres, je joue des hanches afin qu'elle me laisse m'appuyer entre ses jambes de mon poids. Petit à petit je la guide à se coucher sur mon lit et je maintiens mon corps au-dessus d'elle à l'aide de mon bras, l'autre étant toujours autour de sa taille.

Je quitte sa bouche pour embrasser sa mâchoire, son cou et descendre sur ses clavicules. A chaque passage sur sa peau, je sens son souffle s'accélérer et son cœur battre plus vite, elle ne laisse jamais mon corps s'éloigner trop loin d'elle. Je me détache tout de même d'elle pour lui retirer son haut de pyjama et je me rends compte qu'elle ne porte pas de soutien-gorge en dessous pour mon plus grand bonheur, je profite en même temps pour retirer mon t-shirt. J'ai envie de sentir sa peau contre la mienne. Avoir sa poitrine dénudée face à moi ne me laisse pas d'autres choix que de m'y approcher avec ma bouche. Je prends un de ses seins avec ma main que je pétrie légèrement tout en passant mon pouce sur son téton qui durcit immédiatement pendant que je titille l'autre téton avec ma langue ainsi que mes dents. J'alterne entre les caresses et les petites morsures, Lia gémit et je sens ma queue pulsée dans mon jogging, ça me ferait presque mal.

Ne tenant plus beaucoup, je lui enlève son short sans trop de délicatesse et je découvre son string noir qui me fait de l'œil depuis tout à l'heure.

- Ne t'avise même pas de le déchirer. Me dit-elle

- Pourquoi ça ?

- Parce qu'il est beau et que je l'aime bien.

- Je l'aimerais bien aussi mais pas sur toi, parterre par exemple.

Face à ma réponse Lia rit et me montre fièrement son majeur, je ne peux retenir mon rire et je me joins à elle. Elle vient passer ses bras au niveau de mes épaules et me rapproche d'elle, elle vient sceller sa bouche à la mienne et je viens instinctivement coller mon corps au sien. Ma main retrouve le chemin qu'elle avait parcouru dans le salon et je viens effleurer son intimité, elle est toujours aussi mouillée et je dois bien admettre que cela est très agréable. Je fais des petits allers et retours de haut en bas afin de passer sur son petit bouton pour le stimuler encore plus et la voir se cambrer contre moi.

- Elio...

Lorsqu'elle susurre mon prénom, je ne tiens plus et je passe la barrière de son string, je touche son intimité avec mes doigts, je les humidifie avec sa mouille et je viens délicatement insérer un doigt en elle, un hoquet lui prend pour commencer, je fais quelques va-et-vient puis j'insère un autre doigt en elle. Un deuxième hoquet accompagne mon geste. Mes va-et-vient vont de plus en plus vite et lorsque je sens qu'elle est proche de l'orgasme je retire mes doigts et me positionne au-dessus d'elle mais toutefois j'enlève mon jogging ainsi que mon boxer juste avant.

- Tu veux me torturer là ? me demande-t-elle

- Absolument pas.

Je la regarde fièrement mais je perds très vite mon sourire lorsque je sens sa main se poser sur ma queue, elle effectue quelques va-et-vient tout en changement sont rythmes et ses pressions. Elle passe également son pouce sur mon gland et je ne peux que gémir son prénom tout en m'accrochant à elle.

Il me faut prendre sur moi pour me retirer de sa main et pour prendre un préservatif, je ne perds pas de temps à l'enfiler et je m'installe au-dessus d'elle, j'écarte ses jambes à l'aide de mon genou et je me poste juste à l'entrée de son intimité. Je la pénètre centimètre par centimètre afin qu'elle s'habitue à ma grosseur car je sens qu'elle est assez serrée pour moi. Je fais des mouvements délicats pour faire grimper gentiment notre désir, je la sens bouger sous moi cherchant des mouvements plus rapides, c'est ce que je finis par faire et mes mouvements deviennent de plus en plus rapides.

Son souffle est plus que saccadé, elle s'accroche à mes épaules tout en murmurant mon prénom, je sens ses ongles me griffer la peau mais j'aime savoir que je la pousse au bout de ses sensations.

- Elio, je... je...

- Je sais mon ange, vas-y.

Et sur mes paroles, elle explose, son orgasme prend le dessus, il est tellement puissant qu'il me prend avec que j'explose à peine 30 secondes après elle. Une fois nos orgasmes passés, il nous faut quelques minutes pour reprendre notre souffle et se remettre de cde que nous venons de vivre. Je me reitre d'elle et enlève immédiatement le préservatif afin de me recoucher à ses côtés et de la prendre dans mes bras. Elle vient directement s'y loger. Nous ne parlons pas, nous restons là dans les bras l'un de l'autre.

- Elio, il faut... commence-t-elle par me dire

Je suis persuadé qu'elle va me demander de lui laisser du temps, de gérer la situation et tout ce que cela veut dire. Je connais Lia je sais qu'elle a un certain besoin de tout contrôler surtout ce qui concerne ses émotions et ses sentiments c'est pour cette raison que je lui coupe la parole et que je cherche son regard.

- Lia, je ne te demande pas de m'épouser, promis, on va prendre le temps et surtout il faudra que tu me dises quand ça va trop vite pour toi.

Elle ne me répond pas tout de suite, elle se contente de m'observer mais je vois qu'à son regard humide c'est droit ce qu'elle avait besoin d'entendre, elle prend mon visage en coupe entre ses mains et vient m'assaillir de baiser, je ne m'attendais pas à une telle réaction de sa part que je me retrouve sur le dos avec Lia à moitié sur le torse en train de rire.

- Merci, merci Elio.

- C'est normal mon ange.

Et je l'embrasse une nouvelle fois avec un baiser passionnée qui j'espère lui montrera l'ampleur de mes sentiments pour elle. 

La fille qui n'aime pas NoëlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant