Chapitre 7

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Mon père, ma mère et ma soeur me regardaient comme si j'étais un extraterrestre venu d'une autre planète et que j'avais les yeux jaunes avec la peau verte. Bon, ok, ma métaphore n'est pas fameuse, mais c'est comme cela que je me sentais quand je vis tous ses regards sur moi. Personne n'osait parler, et, ça ne sera pas moi qui fera le premier pas. D'ailleurs, mon père qui est présent, ça, c'est l'énervement le plus rare de la Terre entier. Faudrait que je met un X sur le calendrier, puisqu'il est là jamais à l'an jamais. Je me fis un petit sourire, je me fais rire à moi-même, je suis vraiment rendu désespéré.

Hinata : Boruto, on a trouvé des affaires bizarre dans ta chambre. 

-Hein? Qu'est-ce que vous avez trouvé?

Hinata : Une lettre. 

Non, ils n'ont pas trouvé cette lettre! F-U-C-K!

- Je ne sais pas de quelle lettre vous parlez, est-ce que je peux la voir?

Mon père me tendit ma lettre. Je commença à lire en souhaitant que ça ne soit pas celle que je pense. 

" Ma solitude, 

Je me sens tellement épuisé de t'avoir auprès de moi depuis plus d'un an. Le simple fait que je te sens si proche de moi me répugne. Je ne comprends pas pourquoi tu m'as choisi, moi qui aimait tant la vie, les amis, un cercle entouré. J'ai l'impression que tu grossis à chaque jour. Je te sens devenir de plus en plus grosse, de prendre ta place si pesante, si pressante. Pourquoi tu n'as jamais quitté mon être. Je ne comprends pas la noirceur et le bien que cela me procure. Tu es la solitude, mais tu es aussi présente que mon coeur bat à chaque seconde. Je te sens m'envahir de mon être, comme les vaisseaux sanguins qu'un corps à besoin pour alimenter tout. Je ne comprends pas comment ça, après plus d'un an,  je ne suis plus en mesure de te gérer. J'ai tellement mal. Que je me fais mal. Je ne me sens pas mieux après, mais j'en aie besoin, comme un enfant a besoin de sa mère quand il tombe pour la première fois. Sauf que moi, ce n'est pas seulement qu'une seule fois. Un jour, la solitude, quand je vais t'accepter, ça sera le jour où mon âme partira. Ou mon corps cessera d'alimenter mes organes. Bientôt je vais venir taire ce sentiment."

- Ce n'est vraiment pas ce que vous pensez! J'avais écrit cette lettre après un moment de colère et de peine, y'a un an.

Naruto : C'est grave, Boruto.

- Non, ce n'est pas grave! Je vais bien, je suis heureux aujourd'hui, cette lettre ne me représente plus! Je vous jure, maman, que je ne sens plus cette solitude de cette façon. C'était après l'évènement de papa, je ne me sentais pas bien et j'avais besoin de sortir ces pensées. Je regrette tellement de vous avoir fait peur avec ça! 

Hinata : Tu me le promets Boruto?

- Oui, maman, je te promet que cette lettre est du passé. Je vais beaucoup mieux!

Je partis rapidement, je ne voulais pas avouer à mes parents que je ne me sentais pas bien, ni mal. C'est tellement compliqué pour moi, que je ne comprenais pas comment je pourrais leur expliquer. Je regarde mon écran de mon téléphone, toujours pas de nouvelles de Sarada. J'espère qu'elle ne sera puni par ma faute. Je regarde mes demandes que j'ai faite la veille, université de Konoha, Suna et plusieurs autres des autres régions. Je ne pouvais pas imaginer si j'allais avoir une réponse d'ici quelques semaines, mais l'espoir d'aller à la même université que Sarada m'envahit. 

22h35. Je retourne mon écran, pour voir si j'avais un message, toujours pas. Je commence à m'inquiéter et je me lève, m'habille et je sors par ma fenêtre pour retrouver la chambre de Sarada. Je regarde à travers sa fenêtre, je vis une ombre assise à son bureau, en train de faire des leçons ou des devoirs, pourtant nous avons fini nos cours. Sans m'en rendre compte, je cogne à la vitrine. Je la vis se retourner et se levée pour venir vers moi. Elle ouvrit sa fenêtre et je vis son sourire s'afficher. 

Sarada : Que fais-tu ici, Boru?

- Je m'inquiétais, je n'ai eu aucunes nouvelles de ta part, ça va?

Sarada : Ma mère m'a puni pour les prochaines semaines, deux. J'ai été discrète trop longtemps de ma voie studieuse.

- De quoi tu parles, tu es celle qui étudie et est studieuse le plus au monde!

Sarada : Je sais, c'est ma mère. Donc privé de sorti, privé de te voir et privé de téléphone.

- Tu ne peux plus me voir!

Sarada : J'aime le fait que la seule chose que tu aies remarqué dans mes punitions fut que je ne pourrais plus te voir.

- On désobéit déjà à cette punition. Pour le reste, je vais venir te voir à chaque soir, vers 23h. Quand ta mère travaille ? Je passerai la nuit avec toi.

Sarada : Tu sais que je suis folle de toi! Elle fait toutes les nuits cette semaine. Donc, théoriquement, je suis seule présentement. 

- C'est une invitation ?

Sans dire un mot de plus, elle pris mon collet et colla ses lèvres aux miennes. Je continue le baiser, vraiment intensément, elle est parfaite. Elle m'attira dans sa chambre et je tomba sur le sol. Elle se mit en califourchon sur moi et on se regarda pendant plusieurs secondes. Puis, sans m'en rendre compte, je commençais déjà à enlever son t-shirt. Ses seins n'avaient pas de soutien-gorge et je déposa ma bouche sur son mamelon. Au début, je fis quelques bisous, puis j'intégra ma langue. Je suça rapidement ses seins, avant de retourner Sarada au sol et que je prends le contrôle de la suite des choses. Elle gloussa quand j'enlevasse ses pantalons et sa culotte. Je descendis ma bouche vers son sexe et je commença des coups de langue, en inséra deux doigts pour commencer des mouvements de va-et-vient. Quand je sentis ma partenaire assez prête, j'enlèva mes pantalons et mon boxer. À ma surprise, Sarada avait repris le contrôle et elle descend vers mon entre-jambe. Elle déposa ses lèvres autour de ma verge et commença des mouvements assez rapide. 

-Sar... Doux, j'aime quand tu.... 

Je n'ai même pas eu le temps de finir ma phrase qu'elle allait déjà à mon rythme demandé. Elle s'arrêta avec plusieurs minutes et je la regarda droit dans les yeux. Je pris la taille de ma douce, je la dépose sur son bureau et j'enfile un fichu condom. Je suis responsable, mais mon doux que j'avais besoin de sentir mon membre en elle, là, tout de suite. Après m'être installer de façon à être 100% protéger des évènements non désirés, je commença mes mouvements de va-et-vient assez rapidement. J'entendis ma partenaire gémir de plus en plus forte. Je suis satisfait, elle semble satisfaite. Je me retire après avoir délivrer ma semence. On resta pendant plusieurs heures, les yeux dans les yeux. Je flattais chaque partielle de sa peau. À ma grande surprise, je me endormi auprès d'elle. 


Boruto x sarada : un hiver glacéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant